Le projet pilote touchera les circuits 20, 39, 48, 60, 63 et 73. Les usagers qui monteront à bord du véhicule n’auront qu’à taper leur carte sur le terminal de paiement sans contact pour défrayer le coût du passage.
Par ce projet pilote, on veut ainsi faciliter l’accès au transport en commun, la clientèle n’ayant pas à se soucier d’avoir la monnaie exacte lorsqu’elle empruntera les circuits ciblés.
«Le projet s’étendra jusqu’à l’automne et pour le moment, ça touche 172 autobus», a révélé David De Cotis, président du conseil d’administration de la STL, ajoutant que cette façon de payer son passage était déjà en vigueur à Paris, Sydney et Newark. Une fois le projet terminé, nous allons partager les résultats avec l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) et les autres sociétés de transport en commun du Québec.»
Bon échantillonnage
Les lignes choisies pour ce nouveau mode de paiement ont été ciblées pour des raisons opérationnelles et d’entretien, a souligné Guy Picard, directeur général de la STL.
«La mécanique est assez complexe puisque les autobus qui partent sur la route le matin peuvent être appelés à faire plusieurs circuits. Mais ces six lignes représentent bien la situation à Laval et elles donneront un échantillonnage assez important.»
C’est la deuxième annonce majeure que la STL fait en deux semaines, la Société ayant dévoilé son programme Engagement Qualité STL le 3 avril dernier.
Pour plus d’information: www.stl.laval.qc.ca
Le projet pilote touchera les circuits 20, 39, 48, 60, 63 et 73. Les usagers qui monteront à bord du véhicule n’auront qu’à taper leur carte sur le terminal de paiement sans contact pour défrayer le coût du passage.
Par ce projet pilote, on veut ainsi faciliter l’accès au transport en commun, la clientèle n’ayant pas à se soucier d’avoir la monnaie exacte lorsqu’elle empruntera les circuits ciblés.
«Le projet s’étendra jusqu’à l’automne et pour le moment, ça touche 172 autobus», a révélé David De Cotis, président du conseil d’administration de la STL, ajoutant que cette façon de payer son passage était déjà en vigueur à Paris, Sydney et Newark. Une fois le projet terminé, nous allons partager les résultats avec l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) et les autres sociétés de transport en commun du Québec.»
Bon échantillonnage
Les lignes choisies pour ce nouveau mode de paiement ont été ciblées pour des raisons opérationnelles et d’entretien, a souligné Guy Picard, directeur général de la STL.
«La mécanique est assez complexe puisque les autobus qui partent sur la route le matin peuvent être appelés à faire plusieurs circuits. Mais ces six lignes représentent bien la situation à Laval et elles donneront un échantillonnage assez important.»
C’est la deuxième annonce majeure que la STL fait en deux semaines, la Société ayant dévoilé son programme Engagement Qualité STL le 3 avril dernier.
Pour plus d’information: www.stl.laval.qc.ca