Nadine Lussier, chef de division, Communications et relations avec les médias à la Ville, y met cependant un bémol puisqu’une plainte peut se rapporter à la même problématique, dit-elle.
Sur l’île, des opérations de colmatage sont lancées dès que les conditions climatiques se montrent propices à ce genre de travaux, indique la porte-parole. «Dans tous les secteurs, deux à trois équipes en moyenne par secteur participent à cette « opération colmatage », ce qui peut représenter environ 15 équipes regroupant une soixantaine de personnes. De façon générale, les nids-de-poule ont tendance à réapparaître en début du printemps.»
Ces trous se forment habituellement lorsque des fissures apparaissent dans le revêtement, permettant à l’eau de s’infiltrer sous la chaussée en période de dégel. Si les températures rebaissent, le liquide devient solide, soulevant partiellement l’asphalte. L’eau s’écoule ensuite au prochain dégel, laissant une cavité derrière elle.
«Au fil des années, l’enrobée bitumineuse perd de son élasticité et résiste moins bien au mouvement sous l’effet du gel et du dégel (contraintes thermiques). Après plusieurs cycles, des fissures apparaissent et amplifient le phénomène de dégradation, ce qui se traduit en nids-de-poule», poursuit Nadine Lussier.
L’an dernier, un montant d’environ 1 535 000 $ a été consacré aux opérations de réparation de nids-de-poule, dont 635 000 $ pour l’asphalte. «Le reste de l’argent est allé à la location d’équipements spécialisés à certains moments», mentionne Mme Lussier.
Recours
Durant les 5 dernières années, 10 dossiers ont été ouverts à la Ville concernant des réclamations pour bris de véhicule sur les routes de la municipalité. De ce nombre, cinq ont été traités aux petites créances et deux étaient toujours à l’étude six ans plus tard.
«Il y en a eu deux autres qui ont été traités par notre service juridique et qui ont résulté en des règlements monétaires, tandis le dernier a été fermé sans qu’il y ait eu de compensation», explique Nadine Lussier.
Selon les informations avancées par CAA-Québec, la facture pour réparer un pneu ou une roue peut varier entre 200 à 300 $ et atteindre plus de 1000 $ pour la suspension.
Sur notre page Facebook, des internautes nous ont laissé savoir quelles routes à Laval étaient les plus mal en point. Parmi celles nommées, mentionnons la montée Saint-François, la rue de Vassan, la rue d’Aragon, le boulevard Saint-Martin Ouest, entre l’A15 et Curé-Labelle, et le rang Saint-Antoine.
Nadine Lussier, chef de division, Communications et relations avec les médias à la Ville, y met cependant un bémol puisqu’une plainte peut se rapporter à la même problématique, dit-elle.
Sur l’île, des opérations de colmatage sont lancées dès que les conditions climatiques se montrent propices à ce genre de travaux, indique la porte-parole. «Dans tous les secteurs, deux à trois équipes en moyenne par secteur participent à cette « opération colmatage », ce qui peut représenter environ 15 équipes regroupant une soixantaine de personnes. De façon générale, les nids-de-poule ont tendance à réapparaître en début du printemps.»
Ces trous se forment habituellement lorsque des fissures apparaissent dans le revêtement, permettant à l’eau de s’infiltrer sous la chaussée en période de dégel. Si les températures rebaissent, le liquide devient solide, soulevant partiellement l’asphalte. L’eau s’écoule ensuite au prochain dégel, laissant une cavité derrière elle.
«Au fil des années, l’enrobée bitumineuse perd de son élasticité et résiste moins bien au mouvement sous l’effet du gel et du dégel (contraintes thermiques). Après plusieurs cycles, des fissures apparaissent et amplifient le phénomène de dégradation, ce qui se traduit en nids-de-poule», poursuit Nadine Lussier.
L’an dernier, un montant d’environ 1 535 000 $ a été consacré aux opérations de réparation de nids-de-poule, dont 635 000 $ pour l’asphalte. «Le reste de l’argent est allé à la location d’équipements spécialisés à certains moments», mentionne Mme Lussier.
Recours
Durant les 5 dernières années, 10 dossiers ont été ouverts à la Ville concernant des réclamations pour bris de véhicule sur les routes de la municipalité. De ce nombre, cinq ont été traités aux petites créances et deux étaient toujours à l’étude six ans plus tard.
«Il y en a eu deux autres qui ont été traités par notre service juridique et qui ont résulté en des règlements monétaires, tandis le dernier a été fermé sans qu’il y ait eu de compensation», explique Nadine Lussier.
Selon les informations avancées par CAA-Québec, la facture pour réparer un pneu ou une roue peut varier entre 200 à 300 $ et atteindre plus de 1000 $ pour la suspension.
Sur notre page Facebook, des internautes nous ont laissé savoir quelles routes à Laval étaient les plus mal en point. Parmi celles nommées, mentionnons la montée Saint-François, la rue de Vassan, la rue d’Aragon, le boulevard Saint-Martin Ouest, entre l’A15 et Curé-Labelle, et le rang Saint-Antoine.