L’attaquant et assistant au capitaine Kenny Agotisno s’est prêté au jeu. Dans le cadre de ce deuxième portrait, des joueurs Rocket de Laval, le numéro 18 confie prendre des cours de français.
Quelle personne a été ton modèle en grandissant et pourquoi?
Considérant que j’étais un partisan des Ranger de New-York, mon joueur préféré en grandissant était Mark Messier. Je ne peux pas dire que je me suis inspiré de son style de jeu, mais il était tellement bon dans les deux sens de la patinoire.
Qu’admirais-tu le plus chez lui?
Il montrait toujours l’exemple, que ce soit sur et hors de la glace. Ses actions parlaient plus que ses mots. Par contre, quand il parlait, il utilisait toujours les bons mots.
Quel type de musique écoutes-tu?
On a justement eu cette conversation-là, il n’y a pas si longtemps. Les gars me félicitaient d’être un bon DJ. J’écoute vraiment n’importe quoi, ça dépend de mon état d’esprit. Je suis aussi du genre à motiver la chambre avant la rencontre.
Qu’est-ce que tu aimes le plus de Laval?
Les partisans sont définitivement formidables et tout le monde est si gentil ici. Par ailleurs, je commence des cours de français. Je suis vraiment excité.
Est-ce quelque chose que tu as toujours voulu?
Pas nécessairement, mais la culture française est tellement dominante ici que je veux être capable de tenir une conversation avec quelqu’un.
Que ferais-tu si tu n’étais pas un joueur de hockey?
Problablement que je serais chanteur dans un band. Je ne sais ni chanter ni jouer de la guitare, mais j’aurais appris.
Es-tu quelqu’un de superstitieux?
Non pas du tout. Je crois que ceux qui le sont, spécialement dans leur routine d’avant-match, ont trop de chance d’oublier quelque chose et de stresser avec ça.
Est-ce que tu fais les choses différemment quand ça va moins bien?
Tu apprends en devenant un professionnel que tu dois garder le jeu simple et travailler fort sur la glace, quand ça ne va pas comme tu le voudrais.
Qui est le clown dans le vestiaire?
On en a plusieurs, mais Maxime Lamarche est certainement le plus drôle. Il est plutôt sarcastique et à tout coup, je me fais prendre au jeu. Brett Lernout est du genre a toujours faire rire les gars, même chose pour Alex Belzile.