Dévoilée le 12 février, cette entente vise les marchés des produits de santé naturelle et de la médecine vétérinaire.
«Nous sommes ravis de faire équipe avec Tetra, un chef de file biopharmaceutique dans le développement de médicaments et de traitements novateurs à base de cannabinoïdes», a déclaré le président et chef de la direction de Neptune, Jim Hamilton.
Ce partenariat s’inscrit en droite ligne avec la volonté publiquement exprimée par M. Hamilton le 28 novembre dernier de faire de Neptune «le centre d’excellence mondial» en matière d’«extraits de cannabinoïdes sous diverses formes».
Ce jour-là, il prévoyait débuter la production d’huile de cannabis d’ici le troisième trimestre de 2018.
Atouts majeurs
Du côté de la biopharma montréalaise, on reconnaît en Neptune des atouts majeurs pour le marché des produits médico-pharmaceutiques de cannabis à base d’huile, nommément son savoir-faire en termes d’extraction et la certification BPF (bonnes pratiques de fabrication) de son usine de Sherbrooke.
«Nous unirons nos expertises complémentaires en recherche, affaires réglementaires, sciences, formules et dispositifs d’administration dans le but de commercialiser de nouveaux produits sur le futur marché de détail canadien des produits du cannabis et le marché nord-américain de la médecine vétérinaire», a expliqué le chef de la direction de Tetra, Bernard Fortier.
Énorme marché
Selon le magazine économique américain Forbes, le marché du cannabidiol devrait augmenter de 700 % d’ici 2020 aux États-Unis.
Précisons ici que des quelque 100 différents cannabinoïdes présents dans la plante de cannabis, le cannabidiol est le deuxième le plus étudié après le THC.
Par ailleurs, avec la légalisation du cannabis et des produits à base de cannabis au Canada en 2018, le marché devrait évoluer dans la même direction, estiment Neptune et Tetra qui se positionnent pour en devenir les leaders.
Quant au marché de la santé animale, à savoir les produits de médecine vétérinaire servant au traitement, au diagnostic et à la prévention des maladies, il approcherait les 40 milliards de dollars d’ici 2021.
Dévoilée le 12 février, cette entente vise les marchés des produits de santé naturelle et de la médecine vétérinaire.
«Nous sommes ravis de faire équipe avec Tetra, un chef de file biopharmaceutique dans le développement de médicaments et de traitements novateurs à base de cannabinoïdes», a déclaré le président et chef de la direction de Neptune, Jim Hamilton.
Ce partenariat s’inscrit en droite ligne avec la volonté publiquement exprimée par M. Hamilton le 28 novembre dernier de faire de Neptune «le centre d’excellence mondial» en matière d’«extraits de cannabinoïdes sous diverses formes».
Ce jour-là, il prévoyait débuter la production d’huile de cannabis d’ici le troisième trimestre de 2018.
Atouts majeurs
Du côté de la biopharma montréalaise, on reconnaît en Neptune des atouts majeurs pour le marché des produits médico-pharmaceutiques de cannabis à base d’huile, nommément son savoir-faire en termes d’extraction et la certification BPF (bonnes pratiques de fabrication) de son usine de Sherbrooke.
«Nous unirons nos expertises complémentaires en recherche, affaires réglementaires, sciences, formules et dispositifs d’administration dans le but de commercialiser de nouveaux produits sur le futur marché de détail canadien des produits du cannabis et le marché nord-américain de la médecine vétérinaire», a expliqué le chef de la direction de Tetra, Bernard Fortier.
Énorme marché
Selon le magazine économique américain Forbes, le marché du cannabidiol devrait augmenter de 700 % d’ici 2020 aux États-Unis.
Précisons ici que des quelque 100 différents cannabinoïdes présents dans la plante de cannabis, le cannabidiol est le deuxième le plus étudié après le THC.
Par ailleurs, avec la légalisation du cannabis et des produits à base de cannabis au Canada en 2018, le marché devrait évoluer dans la même direction, estiment Neptune et Tetra qui se positionnent pour en devenir les leaders.
Quant au marché de la santé animale, à savoir les produits de médecine vétérinaire servant au traitement, au diagnostic et à la prévention des maladies, il approcherait les 40 milliards de dollars d’ici 2021.