M. Martel succède donc à Viviane Godin, présidente intérimaire, qui avait pris la place de Carole Pageau, démissionnaire en raison des procédures judiciaires l’impliquant.
Le Courrier Laval a tenté d’obtenir une entrevue avec le nouveau président, mais c’est par courriel qu’il a répondu à nos questions.
Trouve-t-il difficile d’accéder à ce poste avec des procédures judiciaires entourant d’anciens membres? «Non, je savais qu’il y avait litige et le dossier a toujours été, et continue à être, très bien géré par le conseil d’administration.»
Disparition de 120 000 $
Rappelons que le 22 décembre, le Club de patinage artistique de Laval Inc. a décidé d’intenter une poursuite au civil contre Carole Pageau et trois membres de sa famille. L’organisme sportif aimerait que la bénévole depuis près de 30 ans, son mari Camille Pageau, sa fille Sonia Pageau et son gendre Patrick Barnabé remboursent une somme de 120 000 $.
L’image du club a subi un dur coup avec la disparition de l’argent des cotisations. Pourtant, M. Martel ne sent pas la méfiance ni la grogne s’installer chez les parents et les bénévoles. «Non, mais je crois comprendre que certains pourraient l’espérer!»
Principal défi
Marc Martel a avoué que sa priorité à la barre du plus gros club au Québec est d’assurer un suivi pour que tous les membres continuent à pouvoir bénéficier des services du CPA Laval.
Michel Nadeau, directeur général de l’Institut sur la gouvernance des organismes publics et privés (IGOPP), a agi à titre de président d’assemblée. Robert Boulet, de la Ville, était présent comme observateur. «L’assemblée n’était pas sous haute surveillance. Tout s’est bien déroulé dans le calme pour le bien-être et l’intérêt de nos membres présents», assure Patinage Laval.
Inscriptions à la baisse
Le patinage artistique a subi une baisse d’inscriptions à travers le Canada et Patinage Laval ne fait pas exception à la règle. «Nos inscriptions ont subi une légère baisse, mais se maintiennent malgré les fermetures d’arénas qui ont lieu depuis 2015», précise M. Martel.
Plusieurs athlètes en patinage synchronisé auraient déserté le Club, préférant joindre les rangs des Suprêmes de Saint-Léonard. Patinage Laval n’a pas confirmé le tout. «Le synchro aura toujours une place importante au sein de Patinage Laval.»
Sans directeur général
Par ailleurs, Denis Beaudoin, directeur général de Patinage Laval, a décidé d’un commun accord avec le club de tirer sa révérence et de ne pas renouveler son contrat qui a pris fin en mars dernier. Le conseil d’administration assure la direction générale depuis son départ.
Interrogatoires à Montréal
Qu’arrive-t-il avec les procédures judiciaires impliquant Patinage Laval et le quatuor? L’organisme sportif a indiqué: «Les procédures suivent leur cours. Carole Pageau et Patrick Barnabé ont été interrogés au palais de Justice de Montréal le 16 juin.»
M. Martel succède donc à Viviane Godin, présidente intérimaire, qui avait pris la place de Carole Pageau, démissionnaire en raison des procédures judiciaires l’impliquant.
Le Courrier Laval a tenté d’obtenir une entrevue avec le nouveau président, mais c’est par courriel qu’il a répondu à nos questions.
Trouve-t-il difficile d’accéder à ce poste avec des procédures judiciaires entourant d’anciens membres? «Non, je savais qu’il y avait litige et le dossier a toujours été, et continue à être, très bien géré par le conseil d’administration.»
Disparition de 120 000 $
Rappelons que le 22 décembre, le Club de patinage artistique de Laval Inc. a décidé d’intenter une poursuite au civil contre Carole Pageau et trois membres de sa famille. L’organisme sportif aimerait que la bénévole depuis près de 30 ans, son mari Camille Pageau, sa fille Sonia Pageau et son gendre Patrick Barnabé remboursent une somme de 120 000 $.
L’image du club a subi un dur coup avec la disparition de l’argent des cotisations. Pourtant, M. Martel ne sent pas la méfiance ni la grogne s’installer chez les parents et les bénévoles. «Non, mais je crois comprendre que certains pourraient l’espérer!»
Principal défi
Marc Martel a avoué que sa priorité à la barre du plus gros club au Québec est d’assurer un suivi pour que tous les membres continuent à pouvoir bénéficier des services du CPA Laval.
Michel Nadeau, directeur général de l’Institut sur la gouvernance des organismes publics et privés (IGOPP), a agi à titre de président d’assemblée. Robert Boulet, de la Ville, était présent comme observateur. «L’assemblée n’était pas sous haute surveillance. Tout s’est bien déroulé dans le calme pour le bien-être et l’intérêt de nos membres présents», assure Patinage Laval.
Inscriptions à la baisse
Le patinage artistique a subi une baisse d’inscriptions à travers le Canada et Patinage Laval ne fait pas exception à la règle. «Nos inscriptions ont subi une légère baisse, mais se maintiennent malgré les fermetures d’arénas qui ont lieu depuis 2015», précise M. Martel.
Plusieurs athlètes en patinage synchronisé auraient déserté le Club, préférant joindre les rangs des Suprêmes de Saint-Léonard. Patinage Laval n’a pas confirmé le tout. «Le synchro aura toujours une place importante au sein de Patinage Laval.»
Sans directeur général
Par ailleurs, Denis Beaudoin, directeur général de Patinage Laval, a décidé d’un commun accord avec le club de tirer sa révérence et de ne pas renouveler son contrat qui a pris fin en mars dernier. Le conseil d’administration assure la direction générale depuis son départ.
Interrogatoires à Montréal
Qu’arrive-t-il avec les procédures judiciaires impliquant Patinage Laval et le quatuor? L’organisme sportif a indiqué: «Les procédures suivent leur cours. Carole Pageau et Patrick Barnabé ont été interrogés au palais de Justice de Montréal le 16 juin.»