L’entraîneur de l’équipe, David Cerasuolo, ne s’en est pas caché; il est grandement satisfait de la force de caractère que démontre ses joueuses début le début de la saison. Après avoir échappé le match du 2 juin contre le FC Sélect Rive-Sud, les joueuses ont rebondi de belle façon, une semaine plus tard, avec une victoire convaincante de 4 à 3, sur le terrain des Lakers du Lac Saint-Louis.
«C’était important pour notre confiance collective de remporter ce match-là, explique David Cerasuolo. Notre équipe se devait de démontrer qu’elle était en mesure de surmonter les obstacles. Le groupe est très mature et les messages passent bien.»
Pour illustrer davantage son propos, l’entraîneur souligne que ses protégées ont relevé leurs manches après un but encaissé à la 28e minute de jeu du match à Pierrefonds. La machine s’est alors mise en marche et le CS Monteuil a marqué quatre buts sans réplique, dont trois provenant du pied de Marika Guay.
«Trois buts inscrits de façon différente! ajoute-t-il. Nous avons relâché quelque peu notre concentration, ce qui a permis aux Lakers de resserrer le pointage, mais en somme, nous méritions cette victoire.»
Pas une proie facile
On ne savait pas trop à quoi s’attendre du CS Monteuil lors du lancement de la saison en mai. L’aspect nouveauté de la PLSQ féminine était très intrigant, mais après les premières semaines, une parité semble déjà bien installée.
«On se doutait que toutes les équipes seraient compétitives, mais quand on jette un coup d’œil au classement (en date du 11 juin), on se rend compte que c’est très serré», constate Cerasuolo.
L’entraîneur a néanmoins une certitude. «On ne sera jamais une proie facile, insiste-t-il. Étant donné qu’il s’agit de la saison inaugurale et qu’on partait pratiquement de zéro, il était impossible de dire ce qui allait se produire. Mais au fur et à mesure que l’identité de l’équipe se forme, l’intention de gagner se solidifie.»
Rivalité en devenir
Dans le cadre du conseil d’administration de la Fédération de soccer du Québec (FSQ), à Rimouski, le commissaire de la PLSQ, Kambiz Ebadi, y est allé d’une annonce importante en confirmant que le CS Fabrose fera son entrée dans la PLSQ féminine, en 2019.
La candidature du club lavallois a été acceptée à l’unanimité par les gouverneurs de la ligue. C’est donc dire que le circuit féminin comptera six équipes l’an prochain.
«En deux ans, nous aurons donc ajouté quatre équipes à Laval (le CS Fabrose et le CS Monteuil auront chacun une équipe dans la PLSQ masculine et dans la PLSQ féminine en 2019), ce qui nous donnera deux derbys, un masculin et un féminin», a soutenu le commissaire Ebadi dans un communiqué de presse.
Cette annonce d’une deuxième formation sur le territoire lavallois réjouit David Cerasuolo, qui voit déjà une rivalité s’installer.
«Dans un premier temps, c’est une bonne nouvelle pour le circuit qui verra naître une autre équipe, souligne-t-il. C’est également parfait pour créer de nouvelles rivalités. On a toujours besoin d’adversité pour se pousser et s’améliorer. Nous avons déjà hâte à ces premiers affrontements tout lavallois.»
L’entraîneur de l’équipe, David Cerasuolo, ne s’en est pas caché; il est grandement satisfait de la force de caractère que démontre ses joueuses début le début de la saison. Après avoir échappé le match du 2 juin contre le FC Sélect Rive-Sud, les joueuses ont rebondi de belle façon, une semaine plus tard, avec une victoire convaincante de 4 à 3, sur le terrain des Lakers du Lac Saint-Louis.
«C’était important pour notre confiance collective de remporter ce match-là, explique David Cerasuolo. Notre équipe se devait de démontrer qu’elle était en mesure de surmonter les obstacles. Le groupe est très mature et les messages passent bien.»
Pour illustrer davantage son propos, l’entraîneur souligne que ses protégées ont relevé leurs manches après un but encaissé à la 28e minute de jeu du match à Pierrefonds. La machine s’est alors mise en marche et le CS Monteuil a marqué quatre buts sans réplique, dont trois provenant du pied de Marika Guay.
«Trois buts inscrits de façon différente! ajoute-t-il. Nous avons relâché quelque peu notre concentration, ce qui a permis aux Lakers de resserrer le pointage, mais en somme, nous méritions cette victoire.»
Pas une proie facile
On ne savait pas trop à quoi s’attendre du CS Monteuil lors du lancement de la saison en mai. L’aspect nouveauté de la PLSQ féminine était très intrigant, mais après les premières semaines, une parité semble déjà bien installée.
«On se doutait que toutes les équipes seraient compétitives, mais quand on jette un coup d’œil au classement (en date du 11 juin), on se rend compte que c’est très serré», constate Cerasuolo.
L’entraîneur a néanmoins une certitude. «On ne sera jamais une proie facile, insiste-t-il. Étant donné qu’il s’agit de la saison inaugurale et qu’on partait pratiquement de zéro, il était impossible de dire ce qui allait se produire. Mais au fur et à mesure que l’identité de l’équipe se forme, l’intention de gagner se solidifie.»
Rivalité en devenir
Dans le cadre du conseil d’administration de la Fédération de soccer du Québec (FSQ), à Rimouski, le commissaire de la PLSQ, Kambiz Ebadi, y est allé d’une annonce importante en confirmant que le CS Fabrose fera son entrée dans la PLSQ féminine, en 2019.
La candidature du club lavallois a été acceptée à l’unanimité par les gouverneurs de la ligue. C’est donc dire que le circuit féminin comptera six équipes l’an prochain.
«En deux ans, nous aurons donc ajouté quatre équipes à Laval (le CS Fabrose et le CS Monteuil auront chacun une équipe dans la PLSQ masculine et dans la PLSQ féminine en 2019), ce qui nous donnera deux derbys, un masculin et un féminin», a soutenu le commissaire Ebadi dans un communiqué de presse.
Cette annonce d’une deuxième formation sur le territoire lavallois réjouit David Cerasuolo, qui voit déjà une rivalité s’installer.
«Dans un premier temps, c’est une bonne nouvelle pour le circuit qui verra naître une autre équipe, souligne-t-il. C’est également parfait pour créer de nouvelles rivalités. On a toujours besoin d’adversité pour se pousser et s’améliorer. Nous avons déjà hâte à ces premiers affrontements tout lavallois.»