Les Prédateurs auront disputé trois saisons au Colisée de Laval. Avec l’arrivée du club-école du Canadien de Montréal, le Rocket de Laval, l’avenir ne s’annonçait pas très rose pour la concession lavalloise.
Dès sa première année de vie, l’équipe éprouvait des ennuis financiers, mais a pu compter sur un nouveau groupe de propriétaires. Ceux-ci ont d’ailleurs dû éponger des pertes importantes afin de sauver la formation.
Cette année, la baisse d’assistance généralisée à travers la LNAH a conduit à la perte des Prédateurs. «Avec une moyenne de 600 spectateurs au Colisée Laval, le calcul n’est pas difficile à faire, aucune formation de LNAH ne peut faire ses frais», a spécifié dans un communiqué le relationniste des Prédateurs, Nicolas Pelletier.
Déménagement?
L’un des propriétaires des Prédateurs, Hugo Bernard, a tenté de déménager l’équipe dans trois villes différentes, sans succès.
«En fait, l’organisation lavalloise avait une possibilité de relocalisation dans une autre ville, mais uniquement pour la saison 2018-2019», mentionne M. Pelletier.
«On a trouvé de nouveaux investisseurs qui ont élaboré un plan de relance afin de sauver l’équipe, a précisé Hugo Bernard sur la page Web. Sur neuf demandes formulées à la LNAH, aucune n’a été retenue par les gouverneurs. Une demande concernait le nom de l’équipe que nous aurions voulu renommer les Chiefs.»
Toujours selon M. Bernard, tout le personnel hockey et joueurs étaient prêts à subir une réduction salariale pour conserver les Prédateurs à Laval. «Avec un refus catégorique à nos demandes, il appert qu’au niveau de la LNAH on semble souhaiter notre départ», de conclure Hugo Bernard.
En avril dernier, une autre formation de la LNAH, le Blizzard de Trois-Rivières, a également mis la clé dans la porte.
Les Prédateurs auront disputé trois saisons au Colisée de Laval. Avec l’arrivée du club-école du Canadien de Montréal, le Rocket de Laval, l’avenir ne s’annonçait pas très rose pour la concession lavalloise.
Dès sa première année de vie, l’équipe éprouvait des ennuis financiers, mais a pu compter sur un nouveau groupe de propriétaires. Ceux-ci ont d’ailleurs dû éponger des pertes importantes afin de sauver la formation.
Cette année, la baisse d’assistance généralisée à travers la LNAH a conduit à la perte des Prédateurs. «Avec une moyenne de 600 spectateurs au Colisée Laval, le calcul n’est pas difficile à faire, aucune formation de LNAH ne peut faire ses frais», a spécifié dans un communiqué le relationniste des Prédateurs, Nicolas Pelletier.
Déménagement?
L’un des propriétaires des Prédateurs, Hugo Bernard, a tenté de déménager l’équipe dans trois villes différentes, sans succès.
«En fait, l’organisation lavalloise avait une possibilité de relocalisation dans une autre ville, mais uniquement pour la saison 2018-2019», mentionne M. Pelletier.
«On a trouvé de nouveaux investisseurs qui ont élaboré un plan de relance afin de sauver l’équipe, a précisé Hugo Bernard sur la page Web. Sur neuf demandes formulées à la LNAH, aucune n’a été retenue par les gouverneurs. Une demande concernait le nom de l’équipe que nous aurions voulu renommer les Chiefs.»
Toujours selon M. Bernard, tout le personnel hockey et joueurs étaient prêts à subir une réduction salariale pour conserver les Prédateurs à Laval. «Avec un refus catégorique à nos demandes, il appert qu’au niveau de la LNAH on semble souhaiter notre départ», de conclure Hugo Bernard.
En avril dernier, une autre formation de la LNAH, le Blizzard de Trois-Rivières, a également mis la clé dans la porte.