«Nous ne sommes pas contre, mais c’est la façon de faire [qu’on n’aime pas], mentionne Mme Bossé. On ne connaît pas l’identité des enseignants qui vont avoir l’obligation d’enseigner ces apprentissages. Ce sont des ajouts au programme, mais sans en faire des cours.»
La représentante syndicale indique que le milieu n’est pas encore prêt. «Dans certaines écoles, les équipes ne sont pas formées. Certains ne sont pas à l’aise et ils doivent pouvoir compter sur des ressources appropriées.»
Elle aimerait bien que les deux sexologues embauchés récemment par la Commission scolaire de Laval (CSDL) puissent rencontrer les élèves et être une ressource pour les enseignants.
Mme Bossé déplore les coupures de poste d’infirmière et de conseiller en orientation et le retrait du cours de formation//sociale lors des dernières années. «On fait des coupures et on enlève des cours pour se rendre compte quelques années plus tard qu’on en a trop enlevés.»
«Nous ne sommes pas contre, mais c’est la façon de faire [qu’on n’aime pas], mentionne Mme Bossé. On ne connaît pas l’identité des enseignants qui vont avoir l’obligation d’enseigner ces apprentissages. Ce sont des ajouts au programme, mais sans en faire des cours.»
La représentante syndicale indique que le milieu n’est pas encore prêt. «Dans certaines écoles, les équipes ne sont pas formées. Certains ne sont pas à l’aise et ils doivent pouvoir compter sur des ressources appropriées.»
Elle aimerait bien que les deux sexologues embauchés récemment par la Commission scolaire de Laval (CSDL) puissent rencontrer les élèves et être une ressource pour les enseignants.
Mme Bossé déplore les coupures de poste d’infirmière et de conseiller en orientation et le retrait du cours de formation//sociale lors des dernières années. «On fait des coupures et on enlève des cours pour se rendre compte quelques années plus tard qu’on en a trop enlevés.»