:«J’en ai entendu parler dans les Laurentides jeudi, a-t-il lancé d’entrée de jeu, avouant avoir déjà porté l’épinglette à l’effigie du projet. On aura d’autres détails au budget, mais actuellement, le projet est dans la catégorie Étude. Ça ne veut pas dire qu’il ne se passe rien! C’est un dossier qui évolue très bien. J’espère qu’à l’été, ou au début de l’été, on tombera dans la deuxième étape et là, on sera plus précis en termes d’échéancier et d’investissement.»
Sur l’annonce faite par son prédécesseur, Jean Charest, pour le début des travaux lors d’une conférence de presse en juin 2010, M. Couillard a indiqué que les processus n’étaient pas les mêmes à l’époque. «Les erreurs que les gouvernements ont faites par le passé, c’était de donner des prix et des échéanciers trop tôt», a admis le premier ministre, réitérant que l’autoroute 19 faisait partie des deux projets autoroutiers prioritaires dans la région, avec la 50, «que l’on veut mettre à quatre voies d’un bout à l’autre, jusqu’à Mirabel.»
Tournée des régions
Son arrêt sur l’île Jésus s’inscrivait dans le cadre d’une tournée des régions qui se déroulera jusqu’en mai. Il a visité Perspective Carrière en matinée et Pelican International en après-midi, un manufacturier en équipement de sport et plein air.
M. Couillard a d’ailleurs profité de l’occasion pour rencontrer des personnes immigrantes en transition de carrière ou en recherche d’emploi chez Perspective Carrière, boulevard Le Corbusier. Certaines ont raconté leur cheminement, de leur pays d’origine jusqu’au Québec, en passant par les étapes qui les ont menées ou les mèneront vers le marché du travail.
«Ma citoyenneté n’est pas meilleure que la vôtre, parce que nos ancêtres sont tous venus d’ailleurs. Pour ma part, ça remonte à la 11e génération», a fait valoir Philippe Couillard aux participants qui étaient visiblement impressionnés de pouvoir interagir avec lui, prenant même des selfies à la fin de l’entretien!
Questionné sur les outils disponibles pour aider ces gens, il a déclaré que tout n’est jamais en place. «J’ai constaté qu’ils s’exprimaient bien en français et c’était émouvant de les entendre. Ils ont suivi le processus de francisation et on voit que ça fonctionne très bien. Un organisme comme celui-ci est très important pour ces personnes qui ont besoin d’être accompagnées et dirigées vers l’accomplissement de leurs rêves.»
Santé et économie
Sur la santé et les nombreuses manifestations tenues au cours des derniers mois, il a reconnu que c’était un domaine où «les demandes sont immenses et les ressources toujours un peu plus limitées». «Il faut de bons principes, comme avoir les soins le plus près possible des gens, rapporte celui qui a oeuvré dans ce milieu durant 20 ans. C’est pour ça, par exemple, qu’on a favorisé l’ouverture d’un centre de cancérologie à Laval pour que les patients ne soient plus obligés d’aller dans des hôpitaux du centre-ville. Il y aura d’ailleurs bientôt de super bonnes nouvelles pour Laval qui permettront aux gens de faire autre chose que d’aller attendre des heures à l’urgence pour des soins de base ou des choses que l’on peut normalement régler assez rapidement.»
Sur le sujet, Saul Polo, député de Laval-des-Rapides, a mentionné que le modèle de super clinique que Gaétan Barrette veut implanter à travers le Québec est basé sur la Polyclinique Concorde, située sur le boulevard du même nom, à Duvernay.
Finalement, sur l’économie locale, Philippe Couillard, qui a vécu quelques années à Vimont à la fin des années 80, a confié voir un progrès extraordinaire en ce qui a trait aux infrastructures lavalloises.
«Ce n’est plus une ville où tu viens juste dormir pour ensuite aller travailler ailleurs. Il y a une vie économique à Laval qui est encore plus évidente qu’elle ne l’était à l’époque. Une ville de cette importance a besoin du soutien du gouvernement et elle l’aura pour les infrastructures et les autres services publics. Que l’on soit au municipal, provincial ou fédéral, on fait tout ça pour la même personne, le citoyen, qui nous envoie où on est. Il faut travailler ensemble au service du citoyen», a-t-il conclu.
:«J’en ai entendu parler dans les Laurentides jeudi, a-t-il lancé d’entrée de jeu, avouant avoir déjà porté l’épinglette à l’effigie du projet. On aura d’autres détails au budget, mais actuellement, le projet est dans la catégorie Étude. Ça ne veut pas dire qu’il ne se passe rien! C’est un dossier qui évolue très bien. J’espère qu’à l’été, ou au début de l’été, on tombera dans la deuxième étape et là, on sera plus précis en termes d’échéancier et d’investissement.»
Sur l’annonce faite par son prédécesseur, Jean Charest, pour le début des travaux lors d’une conférence de presse en juin 2010, M. Couillard a indiqué que les processus n’étaient pas les mêmes à l’époque. «Les erreurs que les gouvernements ont faites par le passé, c’était de donner des prix et des échéanciers trop tôt», a admis le premier ministre, réitérant que l’autoroute 19 faisait partie des deux projets autoroutiers prioritaires dans la région, avec la 50, «que l’on veut mettre à quatre voies d’un bout à l’autre, jusqu’à Mirabel.»
Tournée des régions
Son arrêt sur l’île Jésus s’inscrivait dans le cadre d’une tournée des régions qui se déroulera jusqu’en mai. Il a visité Perspective Carrière en matinée et Pelican International en après-midi, un manufacturier en équipement de sport et plein air.
M. Couillard a d’ailleurs profité de l’occasion pour rencontrer des personnes immigrantes en transition de carrière ou en recherche d’emploi chez Perspective Carrière, boulevard Le Corbusier. Certaines ont raconté leur cheminement, de leur pays d’origine jusqu’au Québec, en passant par les étapes qui les ont menées ou les mèneront vers le marché du travail.
«Ma citoyenneté n’est pas meilleure que la vôtre, parce que nos ancêtres sont tous venus d’ailleurs. Pour ma part, ça remonte à la 11e génération», a fait valoir Philippe Couillard aux participants qui étaient visiblement impressionnés de pouvoir interagir avec lui, prenant même des selfies à la fin de l’entretien!
Questionné sur les outils disponibles pour aider ces gens, il a déclaré que tout n’est jamais en place. «J’ai constaté qu’ils s’exprimaient bien en français et c’était émouvant de les entendre. Ils ont suivi le processus de francisation et on voit que ça fonctionne très bien. Un organisme comme celui-ci est très important pour ces personnes qui ont besoin d’être accompagnées et dirigées vers l’accomplissement de leurs rêves.»
Santé et économie
Sur la santé et les nombreuses manifestations tenues au cours des derniers mois, il a reconnu que c’était un domaine où «les demandes sont immenses et les ressources toujours un peu plus limitées». «Il faut de bons principes, comme avoir les soins le plus près possible des gens, rapporte celui qui a oeuvré dans ce milieu durant 20 ans. C’est pour ça, par exemple, qu’on a favorisé l’ouverture d’un centre de cancérologie à Laval pour que les patients ne soient plus obligés d’aller dans des hôpitaux du centre-ville. Il y aura d’ailleurs bientôt de super bonnes nouvelles pour Laval qui permettront aux gens de faire autre chose que d’aller attendre des heures à l’urgence pour des soins de base ou des choses que l’on peut normalement régler assez rapidement.»
Sur le sujet, Saul Polo, député de Laval-des-Rapides, a mentionné que le modèle de super clinique que Gaétan Barrette veut implanter à travers le Québec est basé sur la Polyclinique Concorde, située sur le boulevard du même nom, à Duvernay.
Finalement, sur l’économie locale, Philippe Couillard, qui a vécu quelques années à Vimont à la fin des années 80, a confié voir un progrès extraordinaire en ce qui a trait aux infrastructures lavalloises.
«Ce n’est plus une ville où tu viens juste dormir pour ensuite aller travailler ailleurs. Il y a une vie économique à Laval qui est encore plus évidente qu’elle ne l’était à l’époque. Une ville de cette importance a besoin du soutien du gouvernement et elle l’aura pour les infrastructures et les autres services publics. Que l’on soit au municipal, provincial ou fédéral, on fait tout ça pour la même personne, le citoyen, qui nous envoie où on est. Il faut travailler ensemble au service du citoyen», a-t-il conclu.