Avec les 61 M$ investis pour la construction du centre aquatique au centre-ville, «le petit gars de Saint-François ne risque pas d’y aller souvent pour faire son cours du soir», a illustré le candidat à la mairie et actuel conseiller municipal de Fabreville devant ses sympathisants, lors du lancement de sa campagne au bois de l’Équerre, dimanche dernier.
Selon le fondateur de Parti Laval, les quartiers ont été négligés et il faut rapprocher des services près du domicile des citoyens, sans toutefois négliger les investissements au centre-ville. «Ça prend un équilibre. Actuellement, les quartiers sont laissés pour compte. Ils n’ont pas d’infrastructures. L’aspect du vieillissement de la population fait que les jeunes familles ne peuvent pas pratiquer des activités physiques [à proximité de chez elles]», considère-t-il.
Également, M. Trottier souhaite créer des conseils de quartier citoyens, en collaboration avec les conseillers politiques – peu importe leur allégeance – qu’il serait prêt à financer à hauteur de 300 000 $ par année pour la réalisation de projets «pensés et souhaités» par eux.
Le candidat vise plus d’autonomie et moins de bureaucratie, alors que l’administration du maire Demers investit 60 M$ de plus par année dans la fonction publique en engageant 485 cadres et professionnels depuis 3 ans. «C’est énorme et pour payer certaines de nos mesures, on va regarder si on a besoin de tous [ces employés]. Il y a très peu de cols bleus et les gens nous disent qu’ils n’ont plus de services sur le terrain», avance le candidat.
Transport en commun et taxes
Par ailleurs, Michel Trottier a promis de rendre l’autobus gratuit pour les étudiants à temps plein postsecondaires âgés de 17 à 25 ans, ce qui leur permettait d’économiser environ 840 $ par année. «Il faut trouver une façon d’arrêter l’achat des voitures. Ici, c’est un problème majeur. À 17 ans, aussitôt que les jeunes rentrent au cégep, on leur achète une voiture. Je crois que les parents vont y penser à deux fois avec la passe d’autobus gratuite», considère-t-il.
Le chef de l’opposition a réitéré sa volonté d’appliquer un gel de taxes pour toute la durée de son mandat, mais aussi de redistribuer les 10 M$ récupérés de l’administration Vaillancourt par un crédit de taxes foncières en 2018. «C’est vraiment ce que les citoyens nous demandent, assure M. Trottier. Les gens [veulent savoir] pourquoi ils n’ont pas reçu leur part de ce qu’ils se sont faits voler.»
Avec les 61 M$ investis pour la construction du centre aquatique au centre-ville, «le petit gars de Saint-François ne risque pas d’y aller souvent pour faire son cours du soir», a illustré le candidat à la mairie et actuel conseiller municipal de Fabreville devant ses sympathisants, lors du lancement de sa campagne au bois de l’Équerre, dimanche dernier.
Selon le fondateur de Parti Laval, les quartiers ont été négligés et il faut rapprocher des services près du domicile des citoyens, sans toutefois négliger les investissements au centre-ville. «Ça prend un équilibre. Actuellement, les quartiers sont laissés pour compte. Ils n’ont pas d’infrastructures. L’aspect du vieillissement de la population fait que les jeunes familles ne peuvent pas pratiquer des activités physiques [à proximité de chez elles]», considère-t-il.
Également, M. Trottier souhaite créer des conseils de quartier citoyens, en collaboration avec les conseillers politiques – peu importe leur allégeance – qu’il serait prêt à financer à hauteur de 300 000 $ par année pour la réalisation de projets «pensés et souhaités» par eux.
Le candidat vise plus d’autonomie et moins de bureaucratie, alors que l’administration du maire Demers investit 60 M$ de plus par année dans la fonction publique en engageant 485 cadres et professionnels depuis 3 ans. «C’est énorme et pour payer certaines de nos mesures, on va regarder si on a besoin de tous [ces employés]. Il y a très peu de cols bleus et les gens nous disent qu’ils n’ont plus de services sur le terrain», avance le candidat.
Transport en commun et taxes
Par ailleurs, Michel Trottier a promis de rendre l’autobus gratuit pour les étudiants à temps plein postsecondaires âgés de 17 à 25 ans, ce qui leur permettait d’économiser environ 840 $ par année. «Il faut trouver une façon d’arrêter l’achat des voitures. Ici, c’est un problème majeur. À 17 ans, aussitôt que les jeunes rentrent au cégep, on leur achète une voiture. Je crois que les parents vont y penser à deux fois avec la passe d’autobus gratuite», considère-t-il.
Le chef de l’opposition a réitéré sa volonté d’appliquer un gel de taxes pour toute la durée de son mandat, mais aussi de redistribuer les 10 M$ récupérés de l’administration Vaillancourt par un crédit de taxes foncières en 2018. «C’est vraiment ce que les citoyens nous demandent, assure M. Trottier. Les gens [veulent savoir] pourquoi ils n’ont pas reçu leur part de ce qu’ils se sont faits voler.»