Il en va carrément de l’avenir de la démocratie lavalloise pour les quatre prochaines années, a déclaré M. Trottier, le 13 novembre, lors d’un premier point de presse tenu en présence de son conseiller de Fabreville, Claude Larochelle.
«Ce n’est pas souhaitable qu’on revienne à l’époque de M. Vaillancourt», poursuit-il en évoquant l’absence de débat et de discussion qui a marqué le règne du maire déchu.
Mme Revelakis, qui a été réélue dans Chomedey avec 47 % des voix, compte parmi les 2 seuls élus opposés au Mouvement lavallois – Équipe Marc Demers, qui a raflé la mairie et 19 des 21 postes de conseillers aux élections du 5 novembre.
«C’est une personne avec qui on pourrait travailler facilement», poursuit Michel Trottier tout en rappelant que pour être débattue au conseil municipal, une proposition doit être appuyée par un second conseiller, et ce, indépendamment de l’enjeu local ou sa pertinence.
Opposition constructive
M. Trottier promet «une opposition non partisane, ouverte et constructive, mais non complaisante», espérant que le parti au pouvoir fasse preuve de la même ouverture à l’égard des propositions que soumettra son élu au conseil.
Parmi les principaux enjeux identifiés, la sécurité dans les quartiers dont un meilleur éclairage de rue et recours au dos d’âne allongé, la gratuité dans les autobus de la STL pour les étudiants de niveau postsecondaire, une implantation plus harmonieuse des voies réservées pour le transport collectif et actif de même que la réduction de la période du stationnement hivernal de sept à cinq mois.
La dernière de ces mesures tirées de la plateforme électorale de Parti Laval a d’ailleurs suscité un grand intérêt auprès des Lavallois, souligne son chef.
«Cet engagement [lié au stationnement sur rue] a rejoint 114 500 personnes sur les réseaux sociaux en plus de générer 2000 réactions [J’aime], 585 commentaires favorables et 449 partages», de détailler celui qui fera des «services de proximité» son principal cheval de bataille.
Rallier les forces
Lorsqu’on fait remarquer à Michel Trottier qu’avec 46,2 % des suffrages, obtenus le 5 novembre, le maire sortant Marc Demers a augmenté de deux points de pourcentage son score de 2013, il répond que «54 % des Lavallois qui ont voté lui ont dit non, mais que leur vote s’est divisé à travers trois partis».
Il estime qu’avec un parti de moins, il aurait fait élire une demi-douzaine de ses candidats. Outre la victoire de Claude Larochelle dans Fabreville, le Parti Laval a terminé 2e dans 11 des 20 autres districts dont celui de Laval-des-Rapides où le conseiller sortant Pierre Anthian a été évincé par 161 voix.
M. Trottier se donne d’ailleurs pour mandat d’ici les quatre prochaines années «de rallier les oppositions en une seule et unique alternative au parti au pouvoir pour 2021, ce qui serait souhaitable pour la 3e grande ville au Québec».
Il en va carrément de l’avenir de la démocratie lavalloise pour les quatre prochaines années, a déclaré M. Trottier, le 13 novembre, lors d’un premier point de presse tenu en présence de son conseiller de Fabreville, Claude Larochelle.
«Ce n’est pas souhaitable qu’on revienne à l’époque de M. Vaillancourt», poursuit-il en évoquant l’absence de débat et de discussion qui a marqué le règne du maire déchu.
Mme Revelakis, qui a été réélue dans Chomedey avec 47 % des voix, compte parmi les 2 seuls élus opposés au Mouvement lavallois – Équipe Marc Demers, qui a raflé la mairie et 19 des 21 postes de conseillers aux élections du 5 novembre.
«C’est une personne avec qui on pourrait travailler facilement», poursuit Michel Trottier tout en rappelant que pour être débattue au conseil municipal, une proposition doit être appuyée par un second conseiller, et ce, indépendamment de l’enjeu local ou sa pertinence.
Opposition constructive
M. Trottier promet «une opposition non partisane, ouverte et constructive, mais non complaisante», espérant que le parti au pouvoir fasse preuve de la même ouverture à l’égard des propositions que soumettra son élu au conseil.
Parmi les principaux enjeux identifiés, la sécurité dans les quartiers dont un meilleur éclairage de rue et recours au dos d’âne allongé, la gratuité dans les autobus de la STL pour les étudiants de niveau postsecondaire, une implantation plus harmonieuse des voies réservées pour le transport collectif et actif de même que la réduction de la période du stationnement hivernal de sept à cinq mois.
La dernière de ces mesures tirées de la plateforme électorale de Parti Laval a d’ailleurs suscité un grand intérêt auprès des Lavallois, souligne son chef.
«Cet engagement [lié au stationnement sur rue] a rejoint 114 500 personnes sur les réseaux sociaux en plus de générer 2000 réactions [J’aime], 585 commentaires favorables et 449 partages», de détailler celui qui fera des «services de proximité» son principal cheval de bataille.
Rallier les forces
Lorsqu’on fait remarquer à Michel Trottier qu’avec 46,2 % des suffrages, obtenus le 5 novembre, le maire sortant Marc Demers a augmenté de deux points de pourcentage son score de 2013, il répond que «54 % des Lavallois qui ont voté lui ont dit non, mais que leur vote s’est divisé à travers trois partis».
Il estime qu’avec un parti de moins, il aurait fait élire une demi-douzaine de ses candidats. Outre la victoire de Claude Larochelle dans Fabreville, le Parti Laval a terminé 2e dans 11 des 20 autres districts dont celui de Laval-des-Rapides où le conseiller sortant Pierre Anthian a été évincé par 161 voix.
M. Trottier se donne d’ailleurs pour mandat d’ici les quatre prochaines années «de rallier les oppositions en une seule et unique alternative au parti au pouvoir pour 2021, ce qui serait souhaitable pour la 3e grande ville au Québec».