Le Service de police de Laval a rappelé qu’il collaborera pleinement à cette équipe par le biais, notamment, de deux ressources dédiées à ce phénomène.
Cette nouvelle mesure permettra de lutter plus efficacement contre les réseaux de proxénétisme et donnera aux enquêteurs une capacité supplémentaire d’agir sur le plan national, affirme la Police de Laval, par voie de communiqué.
«Les réseaux structurés de proxénètes n’ont pas de frontière, comme nous l’avons vu récemment, alors que de jeunes filles en fugue ont été retrouvées à Toronto et Calgary», de souligner Pierre Brochet, directeur du Service de police, dans la communication écrite.
Le directeur adjoint du Secteur des enquêtes, Serge Gaignard, sera représentant de ce dossier au Service de police de Laval.
CISSS
De son côté, le CISSS de Laval a tenu à signifier son appui en affirmant que «le phénomène de l’exploitation sexuelle juvénile est national. Il s’agit d’un problème de société auquel il faut faire face collectivement en mettant en place un filet social pour protéger les jeunes de ce fléau. Il s’agit d’une problématique qui doit être travaillée sous plusieurs angles. L’annonce de l’entrée en fonction de l’escouade va en ce sens.»
Prévention jeunesse
Le 16 février 2016, les ministres Martin Coiteux, Lucie Charlebois et Francine Charbonneau étaient à Laval pour annoncer la création du programme Prévention jeunesse visant à soutenir les partenaires luttant contre l’exploitation sexuelle des jeunes filles en ajoutant une ressource additionnelle.
Le gouvernement a investi 3 M$ sur cinq ans dans cette démarche. Les organismes partenaires de ce programme sont le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC), la Police de Laval, le CISSS de Laval et les Mesures alternatives jeunesse de Laval (MAJL).
Le Service de police de Laval a rappelé qu’il collaborera pleinement à cette équipe par le biais, notamment, de deux ressources dédiées à ce phénomène.
Cette nouvelle mesure permettra de lutter plus efficacement contre les réseaux de proxénétisme et donnera aux enquêteurs une capacité supplémentaire d’agir sur le plan national, affirme la Police de Laval, par voie de communiqué.
«Les réseaux structurés de proxénètes n’ont pas de frontière, comme nous l’avons vu récemment, alors que de jeunes filles en fugue ont été retrouvées à Toronto et Calgary», de souligner Pierre Brochet, directeur du Service de police, dans la communication écrite.
Le directeur adjoint du Secteur des enquêtes, Serge Gaignard, sera représentant de ce dossier au Service de police de Laval.
CISSS
De son côté, le CISSS de Laval a tenu à signifier son appui en affirmant que «le phénomène de l’exploitation sexuelle juvénile est national. Il s’agit d’un problème de société auquel il faut faire face collectivement en mettant en place un filet social pour protéger les jeunes de ce fléau. Il s’agit d’une problématique qui doit être travaillée sous plusieurs angles. L’annonce de l’entrée en fonction de l’escouade va en ce sens.»
Prévention jeunesse
Le 16 février 2016, les ministres Martin Coiteux, Lucie Charlebois et Francine Charbonneau étaient à Laval pour annoncer la création du programme Prévention jeunesse visant à soutenir les partenaires luttant contre l’exploitation sexuelle des jeunes filles en ajoutant une ressource additionnelle.
Le gouvernement a investi 3 M$ sur cinq ans dans cette démarche. Les organismes partenaires de ce programme sont le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC), la Police de Laval, le CISSS de Laval et les Mesures alternatives jeunesse de Laval (MAJL).