Québec accorde une somme de 1,05 million de dollars à TechnoMontréal pour la création du Centre québécois d’innovation en commerce (CQIC) qui s’implantera à Laval.
Initié par l’administration Demers, qui s’est allié la Grappe industrielle des technologies du Grand Montréal, ce projet est le premier d’une série de neuf centres d’excellence numérique que financera à hauteur de 6,7 M$ le ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation.
Laboratoire ouvert
Son mandat: mobiliser l’industrie du commerce et l’écosystème d’innovation pour développer le commerce du futur.
«Le Québec pose un geste important pour assurer la transformation numérique du secteur du commerce de détail non seulement ici à Laval, mais partout au Québec», a déclaré le 14 mai Saul Polo, député de Laval-des-Rapides et adjoint parlementaire du ministre des Finances.
En clair, le CQIC sera un laboratoire ouvert à portée provinciale où l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur de l’industrie du commerce pourra collaborer, développer, tester et commercialiser des stratégies innovantes.
Une des approches privilégiées «mettra l’accent sur la recherche, l’expérimentation et la transformation des modèles d’affaires autour de piliers stratégiques et numériques, tels que les données consommateurs, l’intelligence artificielle et le commerce ubiquitaire», fait-on valoir.
Un must
Le maire Marc Demers a insisté sur la «nécessité d’innover pour assurer la pérennité des commerces de détail et de gros», rappelant que ceux-ci «doivent composer avec une concurrence numérique de plus en plus forte».
Mine de rien, un emploi sur quatre à Laval est tributaire de ce secteur d’activité.
«C’est une partie de notre richesse foncière qui est en jeu», a-t-il enchaîné avant d’ajouter que le maintien et la croissance de ces entreprises sont primordiaux à la vitalité économique régionale.
À cet égard, le directeur général de la Ville, Serge Lamontagne, a marqué l’importance d’un pôle d’excellence pour bien les accompagner dans l’intégration des nouvelles technologies et des bonnes pratiques d’affaires.
«Il faut bien s’entourer et s’associer aux meilleurs», a-t-il appuyé en citant en exemple le partenariat avec TechnoMontréal.
Incidemment, la présidente-directrice générale de cette grappe technologique, Lidia Divry, voit en Laval «un lieu privilégié pour propulser de nouveaux commerces et expérimenter de nouveaux concepts de services innovants visant à transformer l’expérience client.»
Parmi la trentaine de partenaires privés, publics et institutionnels impliqués dans le CQIC, Cadillac Fairview possède l’un des plus prestigieux portefeuilles de centres commerciaux en Amérique du Nord.
«Il est pertinent que cette nouvelle initiative prenne place à Laval», a soutenu son vice-président principal développement de l’Est du Canada, Brian G. Salpeter, non sans préciser que le Carrefour Laval est à la fois le plus important centre commercial au Québec avec une superficie locative de 1,3 million de pieds carrés et le plus grand employeur privé de la région avec plus de 5000 travailleurs.
C’est d’ailleurs dans l’atrium du Carrefour Laval que la création du Centre québécois d’innovation en commerce a été annoncée en début de semaine.
La Ville et ses partenaires doubleront la mise du gouvernement, alors que ce nouveau pôle d’innovation disposera d’un budget de 2,1 M$ pour les trois prochaines années.
À lire aussi: Laval s’attaque à la révolution numérique
À lire aussi: Le commerce de détail au cœur des priorités
Initié par l’administration Demers, qui s’est allié la Grappe industrielle des technologies du Grand Montréal, ce projet est le premier d’une série de neuf centres d’excellence numérique que financera à hauteur de 6,7 M$ le ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation.
Laboratoire ouvert
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En clair, le CQIC sera un laboratoire ouvert à portée provinciale où l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur de l’industrie du commerce pourra collaborer, développer, tester et commercialiser des stratégies innovantes.
Une des approches privilégiées «mettra l’accent sur la recherche, l’expérimentation et la transformation des modèles d’affaires autour de piliers stratégiques et numériques, tels que les données consommateurs, l’intelligence artificielle et le commerce ubiquitaire», fait-on valoir.
Un must
Le maire Marc Demers a insisté sur la «nécessité d’innover pour assurer la pérennité des commerces de détail et de gros», rappelant que ceux-ci «doivent composer avec une concurrence numérique de plus en plus forte».
Mine de rien, un emploi sur quatre à Laval est tributaire de ce secteur d’activité.
«C’est une partie de notre richesse foncière qui est en jeu», a-t-il enchaîné avant d’ajouter que le maintien et la croissance de ces entreprises sont primordiaux à la vitalité économique régionale.
À cet égard, le directeur général de la Ville, Serge Lamontagne, a marqué l’importance d’un pôle d’excellence pour bien les accompagner dans l’intégration des nouvelles technologies et des bonnes pratiques d’affaires.
«Il faut bien s’entourer et s’associer aux meilleurs», a-t-il appuyé en citant en exemple le partenariat avec TechnoMontréal.
Incidemment, la présidente-directrice générale de cette grappe technologique, Lidia Divry, voit en Laval «un lieu privilégié pour propulser de nouveaux commerces et expérimenter de nouveaux concepts de services innovants visant à transformer l’expérience client.»
Parmi la trentaine de partenaires privés, publics et institutionnels impliqués dans le CQIC, Cadillac Fairview possède l’un des plus prestigieux portefeuilles de centres commerciaux en Amérique du Nord.
«Il est pertinent que cette nouvelle initiative prenne place à Laval», a soutenu son vice-président principal développement de l’Est du Canada, Brian G. Salpeter, non sans préciser que le Carrefour Laval est à la fois le plus important centre commercial au Québec avec une superficie locative de 1,3 million de pieds carrés et le plus grand employeur privé de la région avec plus de 5000 travailleurs.
C’est d’ailleurs dans l’atrium du Carrefour Laval que la création du Centre québécois d’innovation en commerce a été annoncée en début de semaine.
La Ville et ses partenaires doubleront la mise du gouvernement, alors que ce nouveau pôle d’innovation disposera d’un budget de 2,1 M$ pour les trois prochaines années.
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