«Le choix des mots utilisés par l’ex-lieutenant-détective Anthony Donato pour décrire son opinion sur les intentions de l’ex-sergent-détective Dominico Di Genova est en effet déplorable, a affirmé le directeur du SPL, Pierre Brochet, via communiqué. Ce langage n’est aucunement représentatif de celui utilisé par l’ensemble des policiers de Laval, reconnus pour leur professionnalisme et leur intégrité.»
Rappel des faits
Les témoignages d’un enquêteur aux affaires internes, d’un ex-inspecteur responsable de l’opération policière visée par l’affaire et de la journaliste Monic Néron, de la station radiophonique 98,5 FM, a révélé que des mandats avaient été obtenus pour accéder au contenu de textos échangés entre le sergent détective Di Genova et deux journalistes.
Les propos du sergent détective Hugues Goupil ont permis d’apprendre que la Police de Laval avait ouvert une enquête sur de possibles fuites médiatiques, malgré les aveux du policier impliqué. L’affaire concernait l’arrestation d’un pompier suspecté de vendre des stupéfiants dans le stationnement de la caserne 5, à Saint-François.
Une fuite d’information, pendant que se déroulait cette importante opération policière, mettait en danger la sécurité des policiers impliqués, soutient la Police de Laval.
«La sécurité des policiers étant une priorité absolue, des recherches ont été effectuées afin d’identifier la provenance de la fuite. Quand l’ex-sergent-détective Di Genova a avoué être à l’origine de celle-ci, une enquête criminelle a alors été ouverte pour entrave, telle que le prévoit la Loi sur la police», écrit le SPL dans son communiqué.
Par respect pour les travaux en cours à la Commission Chamberland, la Police de Laval, comme l’ensemble de la Ville de Laval, n’entend pas commenter davantage la situation, attendant les conclusions du rapport à venir pour prendre connaissance des recommandations.
«Le choix des mots utilisés par l’ex-lieutenant-détective Anthony Donato pour décrire son opinion sur les intentions de l’ex-sergent-détective Dominico Di Genova est en effet déplorable, a affirmé le directeur du SPL, Pierre Brochet, via communiqué. Ce langage n’est aucunement représentatif de celui utilisé par l’ensemble des policiers de Laval, reconnus pour leur professionnalisme et leur intégrité.»
Rappel des faits
Les témoignages d’un enquêteur aux affaires internes, d’un ex-inspecteur responsable de l’opération policière visée par l’affaire et de la journaliste Monic Néron, de la station radiophonique 98,5 FM, a révélé que des mandats avaient été obtenus pour accéder au contenu de textos échangés entre le sergent détective Di Genova et deux journalistes.
Les propos du sergent détective Hugues Goupil ont permis d’apprendre que la Police de Laval avait ouvert une enquête sur de possibles fuites médiatiques, malgré les aveux du policier impliqué. L’affaire concernait l’arrestation d’un pompier suspecté de vendre des stupéfiants dans le stationnement de la caserne 5, à Saint-François.
Une fuite d’information, pendant que se déroulait cette importante opération policière, mettait en danger la sécurité des policiers impliqués, soutient la Police de Laval.
«La sécurité des policiers étant une priorité absolue, des recherches ont été effectuées afin d’identifier la provenance de la fuite. Quand l’ex-sergent-détective Di Genova a avoué être à l’origine de celle-ci, une enquête criminelle a alors été ouverte pour entrave, telle que le prévoit la Loi sur la police», écrit le SPL dans son communiqué.
Par respect pour les travaux en cours à la Commission Chamberland, la Police de Laval, comme l’ensemble de la Ville de Laval, n’entend pas commenter davantage la situation, attendant les conclusions du rapport à venir pour prendre connaissance des recommandations.