L’annonce de cet important investissement s’est faite lors d’un point de presse au kiosque du Québec dans le cadre du Congrès international de Biotechnology Innovation Organization (BIO) 2018 qui se déroule présentement à Boston.
Au profit de la recherche
Dans un communiqué publié le 5 juin par la Ville de Laval, on apprend que ces fonds publics serviront notamment à la mise en place d’une plateforme de résonance magnétique nucléaire (RMN) consacrée à la recherche et la découverte de nouveaux médicaments de même qu’à la mise en activité d’un laboratoire de niveau de confinement 3 (BSL 3) pour le travail avec des agents pathogènes.
L’ouverture d’une aile de confinements de niveau 1 et 2 (BSL 1et 2) est également prévue au Centre national de biologie expérimentale (CNBE) afin de répondre aux besoins de l’industrie pharmaceutique.
Enfin, les 20 M$ allongés par Québec et Ottawa permettront d’effectuer des travaux de réfection majeure à l’intérieur du bâtiment central de l’INRS–IAF, lequel voisine avec le CNBE au cœur même de la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine du Montréal métropolitain.
«L’INRS–Institut Armand-Frappier est un collaborateur de longue date de la Ville de Laval, a rappelé le maire Marc Demers. Sa présence est un atout majeur pour Laval et son secteur des biotechnologies en raison de la synergie créée entre la recherche à l’université et le monde des affaires.»
Quant au directeur général de l’INRS, Luc-Alain Giraldeau, il n’a pas caché sa fierté de poursuivre ainsi sa croissance dans la Cité de la Biotech à Laval. «Cet investissement permettra l’avancement d’importants travaux de recherche et ainsi de mieux collaborer avec l’industrie pharmaceutique», a-t-il déclaré. (S.ST-A.)
L’annonce de cet important investissement s’est faite lors d’un point de presse au kiosque du Québec dans le cadre du Congrès international de Biotechnology Innovation Organization (BIO) 2018 qui se déroule présentement à Boston.
Au profit de la recherche
Dans un communiqué publié le 5 juin par la Ville de Laval, on apprend que ces fonds publics serviront notamment à la mise en place d’une plateforme de résonance magnétique nucléaire (RMN) consacrée à la recherche et la découverte de nouveaux médicaments de même qu’à la mise en activité d’un laboratoire de niveau de confinement 3 (BSL 3) pour le travail avec des agents pathogènes.
L’ouverture d’une aile de confinements de niveau 1 et 2 (BSL 1et 2) est également prévue au Centre national de biologie expérimentale (CNBE) afin de répondre aux besoins de l’industrie pharmaceutique.
Enfin, les 20 M$ allongés par Québec et Ottawa permettront d’effectuer des travaux de réfection majeure à l’intérieur du bâtiment central de l’INRS–IAF, lequel voisine avec le CNBE au cœur même de la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine du Montréal métropolitain.
«L’INRS–Institut Armand-Frappier est un collaborateur de longue date de la Ville de Laval, a rappelé le maire Marc Demers. Sa présence est un atout majeur pour Laval et son secteur des biotechnologies en raison de la synergie créée entre la recherche à l’université et le monde des affaires.»
Quant au directeur général de l’INRS, Luc-Alain Giraldeau, il n’a pas caché sa fierté de poursuivre ainsi sa croissance dans la Cité de la Biotech à Laval. «Cet investissement permettra l’avancement d’importants travaux de recherche et ainsi de mieux collaborer avec l’industrie pharmaceutique», a-t-il déclaré. (S.ST-A.)