Le Ministère ajoute que 682 dossiers de réclamations ont été ouverts à Laval, soit une soixantaine de plus que les données émises par la CAQ dans un communiqué où le parti mené par François Legault mentionne que seulement 34 demandes (5,5 %) ont été traitées et fermées à ce jour.
C’est l’élue caquiste Sylvie D’Amours, qui dit avoir obtenu, en vertu de la Loi sur l’accès à l’information, des chiffres alarmants démontrant l’échec gouvernemental dans la gestion des inondations s’étant produites entre le 5 avril et le 16 mai 2017 dans des municipalités du Québec. La députée de Mirabel s’en prend particulièrement à la lourdeur bureaucratique de la paperasse à remplir et soumettre du programme d’aide financière, ainsi qu’au délai, près d’un an après les événements.
Pour sa part, via communiqué, le ministère de la Sécurité publique assure que tous les sinistrés dont la réclamation a été jugée admissible ont reçu au moins un versement destiné à la réalisation de leurs travaux de rénovation.
«Les dossiers peuvent donc être très avancés. Ils demeurent ainsi ouverts pour que les sinistrés puissent faire d’autres réclamations», peut-on lire, précisant qu’un dossier est reconnu comme étant «fermé» seulement lorsque tous les travaux ont été réalisés et que le sinistré s’est fait rembourser la dernière somme à laquelle il a droit.
Autres précisions
Par ailleurs, dans certains cas, des pièces justificatives (pièces d’identité, factures) n’ont pas encore été fournies au MSP.
Tout au long du traitement d’une demande d’aide financière, plusieurs avances de fonds peuvent être versées à différents moments selon l’évolution du dossier. Ces avances peuvent totaliser jusqu’à 90 % du coût admissible, les 10 % restants étant versés sur réception des dernières factures.
Également, dit le MSP, des avances de fonds sont faites dès les premiers jours afin de permettre aux sinistrés d’assumer des frais déjà engagés (nettoyage, mesures préventives) et d’amorcer les travaux de rénovation, le cas échéant. Plusieurs autres paiements sont effectués, par la suite, selon l’avancement des travaux et le remplacement des biens.
Le Ministère ajoute que 682 dossiers de réclamations ont été ouverts à Laval, soit une soixantaine de plus que les données émises par la CAQ dans un communiqué où le parti mené par François Legault mentionne que seulement 34 demandes (5,5 %) ont été traitées et fermées à ce jour.
C’est l’élue caquiste Sylvie D’Amours, qui dit avoir obtenu, en vertu de la Loi sur l’accès à l’information, des chiffres alarmants démontrant l’échec gouvernemental dans la gestion des inondations s’étant produites entre le 5 avril et le 16 mai 2017 dans des municipalités du Québec. La députée de Mirabel s’en prend particulièrement à la lourdeur bureaucratique de la paperasse à remplir et soumettre du programme d’aide financière, ainsi qu’au délai, près d’un an après les événements.
Pour sa part, via communiqué, le ministère de la Sécurité publique assure que tous les sinistrés dont la réclamation a été jugée admissible ont reçu au moins un versement destiné à la réalisation de leurs travaux de rénovation.
«Les dossiers peuvent donc être très avancés. Ils demeurent ainsi ouverts pour que les sinistrés puissent faire d’autres réclamations», peut-on lire, précisant qu’un dossier est reconnu comme étant «fermé» seulement lorsque tous les travaux ont été réalisés et que le sinistré s’est fait rembourser la dernière somme à laquelle il a droit.
Autres précisions
Par ailleurs, dans certains cas, des pièces justificatives (pièces d’identité, factures) n’ont pas encore été fournies au MSP.
Tout au long du traitement d’une demande d’aide financière, plusieurs avances de fonds peuvent être versées à différents moments selon l’évolution du dossier. Ces avances peuvent totaliser jusqu’à 90 % du coût admissible, les 10 % restants étant versés sur réception des dernières factures.
Également, dit le MSP, des avances de fonds sont faites dès les premiers jours afin de permettre aux sinistrés d’assumer des frais déjà engagés (nettoyage, mesures préventives) et d’amorcer les travaux de rénovation, le cas échéant. Plusieurs autres paiements sont effectués, par la suite, selon l’avancement des travaux et le remplacement des biens.