Aucune accusation n’a toujours pas été portée contre Guy Ouellette après son arrestation de plus en plus contestée par l’Unité permanente anticollusion (UPAC), le 25 octobre.
La présidente du caucus de l’aile parlementaire libérale, Filomena Rotiroti, avait alors annoncé que Guy Ouellette, qui représente le PLQ depuis 2007 dans Chomedey, lui avait signifié qu’il se retirait du caucus libéral jusqu’à ce que le directeur des poursuites criminelles et pénales se prononce sur les suites de son arrestation.
Par cette décision, M. Ouellette avait aussi perdu la présidence de la Commission des institutions, un poste qu’il désire également récupéré.
Depuis plusieurs semaines, Guy Ouellette soutient qu’il a été arrêté parce qu’il s’apprêtait à dévoiler des pratiques douteuses de l’Unité permanente anticollusion (UPAC) et l’Autorité des marchés financiers (AMF). On voudrait ainsi le réduire au silence pour éviter qu’un système de collusion soit mis au jour.
Sur la page Facebook de M. Ouellette, de nombreuses voix s’étaient d’ailleurs élevées, affirmant que l’élu «avait été piégé». L’association libérale de son comté l’a d’ailleurs soutenu dans démarche et réintégration au sein du caucus.
Rappelons que des informations dévoilées publiquement, entre autres, le printemps dernier, auraient motivé l’arrestation de Guy Ouellette. Celles-ci touchaient le projet d’enquête Mâchurer sur le financement du Parti libéral du Québec.
Après avoir déclenché une enquête interne, le commissaire Robert Lafrenière avait déclaré qu’«il n’est pas dans l’intérêt commun que des documents et des contenus d’enquête soient étalés sur la place publique. Cette divulgation pourrait être lourde de conséquences alors que les enquêteurs de l’UPAC sont maintenant soumis à des pressions inutiles qui pourraient entraver leur travail».
Aucune accusation n’a toujours pas été portée contre Guy Ouellette après son arrestation de plus en plus contestée par l’Unité permanente anticollusion (UPAC), le 25 octobre.
La présidente du caucus de l’aile parlementaire libérale, Filomena Rotiroti, avait alors annoncé que Guy Ouellette, qui représente le PLQ depuis 2007 dans Chomedey, lui avait signifié qu’il se retirait du caucus libéral jusqu’à ce que le directeur des poursuites criminelles et pénales se prononce sur les suites de son arrestation.
Par cette décision, M. Ouellette avait aussi perdu la présidence de la Commission des institutions, un poste qu’il désire également récupéré.
Depuis plusieurs semaines, Guy Ouellette soutient qu’il a été arrêté parce qu’il s’apprêtait à dévoiler des pratiques douteuses de l’Unité permanente anticollusion (UPAC) et l’Autorité des marchés financiers (AMF). On voudrait ainsi le réduire au silence pour éviter qu’un système de collusion soit mis au jour.
Sur la page Facebook de M. Ouellette, de nombreuses voix s’étaient d’ailleurs élevées, affirmant que l’élu «avait été piégé». L’association libérale de son comté l’a d’ailleurs soutenu dans démarche et réintégration au sein du caucus.
Rappelons que des informations dévoilées publiquement, entre autres, le printemps dernier, auraient motivé l’arrestation de Guy Ouellette. Celles-ci touchaient le projet d’enquête Mâchurer sur le financement du Parti libéral du Québec.
Après avoir déclenché une enquête interne, le commissaire Robert Lafrenière avait déclaré qu’«il n’est pas dans l’intérêt commun que des documents et des contenus d’enquête soient étalés sur la place publique. Cette divulgation pourrait être lourde de conséquences alors que les enquêteurs de l’UPAC sont maintenant soumis à des pressions inutiles qui pourraient entraver leur travail».