La supercherie était si bien présentée aux victimes que ces dernières acceptaient de remettre divers montants d’argent à l’accusée, dans l’espoir d’en obtenir un plus gros par la suite.
Actuellement, l’enquête démontre que six victimes connues lui ont remis une somme dépassant le million de dollars.
Les responsables de l’investigation croient que d’autres personnes auraient pu être flouées par Lucie Paquette. Ils recherchent des victimes qui auraient investi des sommes d’argent sans jamais avoir été remboursées. Les faits peuvent remonter aussi loin qu’au début des années 2000.
Ruse efficace
L’accusée utilisait toujours le même stratagème pour convaincre ses victimes de lui remettre de grosses sommes d’argent. Elle établissait d’abord un lien de confiance en leur expliquant qu’elle était en attente d’un héritage considérable.
Elle affirmait que celui-ci était en litige à la cour, qu’il engendrait des déboursés importants de frais de notaire et d’avocat, et qu’elle n’était plus en mesure de payer.
Lucie Paquette demandait alors de l’argent comptant, des chèques ou des virements bancaires en leur promettant plusieurs millions de dollars en retour, une fois qu’elle toucherait son héritage.
Antécédents et information
L’accusée a des antécédents semblables. En 2007, elle avait plaidé coupable à des accusations de fraude à la Cour du Québec, à Montréal, pour 9 dossiers ayant le même modus operandi. À cette occasion, c’est un montant totalisant 180 000 $ qu’elle avait dérobé à ses victimes.
Toute personne qui désire fournir de l’information, permettant de faire progresser l’enquête, peut le faire de façon confidentielle via la ligne info 450 662-INFO (4636) ou le 911, en mentionnant le dossier LVL 170518 009.
La supercherie était si bien présentée aux victimes que ces dernières acceptaient de remettre divers montants d’argent à l’accusée, dans l’espoir d’en obtenir un plus gros par la suite.
Actuellement, l’enquête démontre que six victimes connues lui ont remis une somme dépassant le million de dollars.
Les responsables de l’investigation croient que d’autres personnes auraient pu être flouées par Lucie Paquette. Ils recherchent des victimes qui auraient investi des sommes d’argent sans jamais avoir été remboursées. Les faits peuvent remonter aussi loin qu’au début des années 2000.
Ruse efficace
L’accusée utilisait toujours le même stratagème pour convaincre ses victimes de lui remettre de grosses sommes d’argent. Elle établissait d’abord un lien de confiance en leur expliquant qu’elle était en attente d’un héritage considérable.
Elle affirmait que celui-ci était en litige à la cour, qu’il engendrait des déboursés importants de frais de notaire et d’avocat, et qu’elle n’était plus en mesure de payer.
Lucie Paquette demandait alors de l’argent comptant, des chèques ou des virements bancaires en leur promettant plusieurs millions de dollars en retour, une fois qu’elle toucherait son héritage.
Antécédents et information
L’accusée a des antécédents semblables. En 2007, elle avait plaidé coupable à des accusations de fraude à la Cour du Québec, à Montréal, pour 9 dossiers ayant le même modus operandi. À cette occasion, c’est un montant totalisant 180 000 $ qu’elle avait dérobé à ses victimes.
Toute personne qui désire fournir de l’information, permettant de faire progresser l’enquête, peut le faire de façon confidentielle via la ligne info 450 662-INFO (4636) ou le 911, en mentionnant le dossier LVL 170518 009.