Le spécialiste des longues remises a paraphé un nouveau contrat d’un an avec la formation montréalaise. Il s’est dit enchanté de l’offre des dirigeants des Alouettes.
«Je voulais vraiment rester et poursuivre ma carrière à Montréal, mentionne-t-il dans un entretien téléphonique avec le Courrier Laval. Je suis reconnaissant d’avoir obtenu cette offre pour vivre encore ma passion chez nous. Je me sens privilégié.»
Quand il a amorcé le football avec les Cowboys de Laval Centre-Sud Martin Bédard était loin d’imaginer qu’il endosserait le bleu, blanc et rouge pendant 10 ans. «J’ai grandi à Laval en encourageant les Alouettes, se souvient-il. Je rêvais à la Ligue canadienne de football (LCF). C’est assez rare pour un joueur d’évoluer toute sa carrière pour une seule équipe aussi longtemps. Il y a tellement de mouvement de personnel.»
S’il a signé son contrat avant les fêtes, la direction des Alouettes a confirmé l’entente, le 18 janvier, au Stade olympique.
Un fan d’entraînement
Même après une décennie et deux conquêtes de la Coupe Grey (2009 et 2010), Bédard a toujours le feu sacré. «J’adore jouer au football et m’entraîner, souligne-t-il. J’ai toujours aimé aller au gymnase. Quand je vais prendre ma retraite, je vais continuer à le fréquenter. Ce n’est pas forçant pour moi.»
L’athlète de 33 ans aime prendre soin de lui. «Je fais attention à moi, poursuit-il. Je me nourris bien. Je ne sors pas trop. Je me sens comme si j’avais 23 ans. Je suis en excellente condition physique.»
Positif
Malgré la saison de misère des Alouettes en 2017, Bédard a toujours gardé le moral. Il n’a jamais songé à quitter Montréal pour tenter sa chance ailleurs. «C’était important de rester positif, affirme-t-il. C’est dans ma nature. Je vois toujours le bon côté des choses. Il n’était pas question de baisser les bras.»
Il est conscient qu’il joue à une position moins propice aux blessures. «Je touche du bois, car je n’ai pas eu trop de blessures. Si on compare à un porteur de ballon qui absorbe des coups à chaque jeu, c’est certain qu’à ma position je reçois moins de coups. Cela aide à la longévité de ma carrière.»
Troisième Coupe Grey
Bien entendu, Martin Bédard aimerait bien ajouter une troisième conquête de la Coupe Grey en 2018. «C’est le but ultime de tous les joueurs, de toutes les équipes de la Ligue canadienne.»
En 2017, Bédard a multiplié les bonnes remises en plus d’amasser 8 plaqués sur les unités spéciales, en 17 matchs. «Je suis perfectionniste. Je veux toujours faire mieux et j’aimerais bien revoir certains jeux», stipule celui qui a disputé 135 parties en carrière dans la LCF.
Il aimerait connaître autant de succès la prochaine saison et travailler avec le botteur Boris Bédé. «J’aimerais bien que Boris soit de retour.»
Bédard voit l’arrivée des nouveaux entraîneurs d’un bon œil. Mike Sherman a été l’entraîneur-chef des Packers de Green Bay dans la NFL, de 2000 à 2005. Bédard a déjà discuté avec Bruce Read, le coordonnateur des unités spéciales. «Je suis confiant que l’expérience des nouveaux entraîneurs aidera les Alouettes», conclut-il.
Enfin, Bédard a bien hâte de participer au camp d’entraînement qui s’amorcera à la mi-mai.
Le spécialiste des longues remises a paraphé un nouveau contrat d’un an avec la formation montréalaise. Il s’est dit enchanté de l’offre des dirigeants des Alouettes.
«Je voulais vraiment rester et poursuivre ma carrière à Montréal, mentionne-t-il dans un entretien téléphonique avec le Courrier Laval. Je suis reconnaissant d’avoir obtenu cette offre pour vivre encore ma passion chez nous. Je me sens privilégié.»
Quand il a amorcé le football avec les Cowboys de Laval Centre-Sud Martin Bédard était loin d’imaginer qu’il endosserait le bleu, blanc et rouge pendant 10 ans. «J’ai grandi à Laval en encourageant les Alouettes, se souvient-il. Je rêvais à la Ligue canadienne de football (LCF). C’est assez rare pour un joueur d’évoluer toute sa carrière pour une seule équipe aussi longtemps. Il y a tellement de mouvement de personnel.»
S’il a signé son contrat avant les fêtes, la direction des Alouettes a confirmé l’entente, le 18 janvier, au Stade olympique.
Un fan d’entraînement
Même après une décennie et deux conquêtes de la Coupe Grey (2009 et 2010), Bédard a toujours le feu sacré. «J’adore jouer au football et m’entraîner, souligne-t-il. J’ai toujours aimé aller au gymnase. Quand je vais prendre ma retraite, je vais continuer à le fréquenter. Ce n’est pas forçant pour moi.»
L’athlète de 33 ans aime prendre soin de lui. «Je fais attention à moi, poursuit-il. Je me nourris bien. Je ne sors pas trop. Je me sens comme si j’avais 23 ans. Je suis en excellente condition physique.»
Positif
Malgré la saison de misère des Alouettes en 2017, Bédard a toujours gardé le moral. Il n’a jamais songé à quitter Montréal pour tenter sa chance ailleurs. «C’était important de rester positif, affirme-t-il. C’est dans ma nature. Je vois toujours le bon côté des choses. Il n’était pas question de baisser les bras.»
Il est conscient qu’il joue à une position moins propice aux blessures. «Je touche du bois, car je n’ai pas eu trop de blessures. Si on compare à un porteur de ballon qui absorbe des coups à chaque jeu, c’est certain qu’à ma position je reçois moins de coups. Cela aide à la longévité de ma carrière.»
Troisième Coupe Grey
Bien entendu, Martin Bédard aimerait bien ajouter une troisième conquête de la Coupe Grey en 2018. «C’est le but ultime de tous les joueurs, de toutes les équipes de la Ligue canadienne.»
En 2017, Bédard a multiplié les bonnes remises en plus d’amasser 8 plaqués sur les unités spéciales, en 17 matchs. «Je suis perfectionniste. Je veux toujours faire mieux et j’aimerais bien revoir certains jeux», stipule celui qui a disputé 135 parties en carrière dans la LCF.
Il aimerait connaître autant de succès la prochaine saison et travailler avec le botteur Boris Bédé. «J’aimerais bien que Boris soit de retour.»
Bédard voit l’arrivée des nouveaux entraîneurs d’un bon œil. Mike Sherman a été l’entraîneur-chef des Packers de Green Bay dans la NFL, de 2000 à 2005. Bédard a déjà discuté avec Bruce Read, le coordonnateur des unités spéciales. «Je suis confiant que l’expérience des nouveaux entraîneurs aidera les Alouettes», conclut-il.
Enfin, Bédard a bien hâte de participer au camp d’entraînement qui s’amorcera à la mi-mai.