Le 21 novembre, l’humoriste a sorti un premier livre, Je me souviens… de rien, où il s’exprime sur des enjeux et défis auxquels est confronté le Québec d’aujourd’hui.
«C’est un document sans prétention que j’ai écrit à force de rencontrer les gens après mes spectacles, de confier Guy Nantel. C’est un appel à la souveraineté du peuple québécois, qu’il y ait rupture du lien politique ou non avec le reste du Canada.»
L’artiste de 49 ans aborde de nombreuses questions, que ce soit, entre autres, l’immigration, la laïcité et l’importance de la communauté anglophone.
«C’est un exercice fait de façon naïve et détachée par un gars qui n’est ni auteur ni politicien, mais humoriste de profession, précise-t-il. Tant mieux si ç’a des répercussions dans le cœur et la tête des gens.»
Après le scandale
Guy Nantel sort actuellement d’une controverse entourant son nouveau spectacle, Nos droits et libertés, dont un passage sur le consentement sexuel et l’affaire Alice Paquet a soulevé un tollé médiatique retentissant.
«C’est le reflet d’une société de plus en plus puritaine exacerbée par les médias sociaux chez les médias traditionnels et intellectuels voulant imposer une morale à l’art, réagit-il. Des gens viennent me voir à la fin de ma prestation, pensant que j’ai enlevé ce segment, alors qu’il n’en est rien.»
Dans ce cinquième spectacle en solo, Guy Nantel remet tout en question. L’humoriste y parle de liberté religieuse, politique, droit à la vérité de la part des élus, droits sociaux, d’égalité des sexes et du prix à payer pour penser librement en 2017.
«Je parle aussi de la liberté d’expression et individuelle de changer de vie sinon d’emploi, ajoute-t-il. Je creuse plus encore les questions qui habitent l’humour que je pratique depuis 30 ans, en laissant le public être le metteur en scène.»
Guy Nantel sera en spectacle les 5, 6 décembre prochain, ainsi que les 23 février, 30 et 31 mars 2018, à 20h, à la salle André-Mathieu (475, boulevard de l’Avenir). Information: 450 667-2040.
Le 21 novembre, l’humoriste a sorti un premier livre, Je me souviens… de rien, où il s’exprime sur des enjeux et défis auxquels est confronté le Québec d’aujourd’hui.
«C’est un document sans prétention que j’ai écrit à force de rencontrer les gens après mes spectacles, de confier Guy Nantel. C’est un appel à la souveraineté du peuple québécois, qu’il y ait rupture du lien politique ou non avec le reste du Canada.»
L’artiste de 49 ans aborde de nombreuses questions, que ce soit, entre autres, l’immigration, la laïcité et l’importance de la communauté anglophone.
«C’est un exercice fait de façon naïve et détachée par un gars qui n’est ni auteur ni politicien, mais humoriste de profession, précise-t-il. Tant mieux si ç’a des répercussions dans le cœur et la tête des gens.»
Après le scandale
Guy Nantel sort actuellement d’une controverse entourant son nouveau spectacle, Nos droits et libertés, dont un passage sur le consentement sexuel et l’affaire Alice Paquet a soulevé un tollé médiatique retentissant.
«C’est le reflet d’une société de plus en plus puritaine exacerbée par les médias sociaux chez les médias traditionnels et intellectuels voulant imposer une morale à l’art, réagit-il. Des gens viennent me voir à la fin de ma prestation, pensant que j’ai enlevé ce segment, alors qu’il n’en est rien.»
Dans ce cinquième spectacle en solo, Guy Nantel remet tout en question. L’humoriste y parle de liberté religieuse, politique, droit à la vérité de la part des élus, droits sociaux, d’égalité des sexes et du prix à payer pour penser librement en 2017.
«Je parle aussi de la liberté d’expression et individuelle de changer de vie sinon d’emploi, ajoute-t-il. Je creuse plus encore les questions qui habitent l’humour que je pratique depuis 30 ans, en laissant le public être le metteur en scène.»
Guy Nantel sera en spectacle les 5, 6 décembre prochain, ainsi que les 23 février, 30 et 31 mars 2018, à 20h, à la salle André-Mathieu (475, boulevard de l’Avenir). Information: 450 667-2040.