Celui qui a porté les couleurs du Vert et Bleu au niveau collégial AAA en 2012 et 2013 s’est illustré récemment au camp Kohl’s, réservé aux botteurs et aux spécialistes, à Jacksonville, en Floride. Son brio lui a permis de recevoir une invitation pour un camp d’évaluation professionnel qui s’est tenu à Phœnix, les 10 et 11 février.
Le footballeur a d’ailleurs fait bonne impression en Arizona. Ses longues remises ont été parmi les meilleures et ses performances seront analysées par les recruteurs de la NFL.
«J’ai réussi trois remises en 0,66 seconde, mon record personnel, précise Maxime Latour, qui a conclu son stage universitaire avec le Vert et Or de l’Université de Sherbrooke. Les joueurs professionnels tiennent une moyenne de 0,7 seconde.»
Il reconnaît qu’il n’était pas vraiment satisfait de sa première journée. «J’ai obtenu 19 points sur une possibilité de 30. Deux de mes relais en situation de botté de dégagement ont été jugés trop bas. Je m’en voulais.»
La position des lacets, la rotation du ballon et la vitesse étaient parmi les critères d’évaluation.
Ses remises en situation de placement ont été parfaites. Trente points sur une possibilité de 30. Il a pris le huitième rang grâce à une récolte de 49 points. «C’était très serré et le premier a obtenu 52 points, admet-il fièrement. J’étais content d’être sélectionné pour faire partie des 12 meilleurs et faire la vidéo le lendemain.»
Son agent Philippe Maltais pense que son protégé a une bonne chance de percer et obtenir sa chance dans la NFL. Le principal intéressé aussi y croit. «Je dois maintenant me trouver un agent de la NFL», indique celui qui participera au «Combine» de la Ligue canadienne de football (LCF), le 7 mars.
La LCF une option
Maxime Latour en est à son année de repêchage dans la Ligue canadienne de football (LCF). Il est plutôt rare de voir un joueur à sa position être sélectionné. Toutefois, il garde espoir de trouver preneur. «Je n’ai pas de préférence, mentionne Latour. Je sais qu’il y a des discussions avec certaines équipes et mon agent. Je jouerai là où je serai repêché.»
Plusieurs Québécois ont joué dans la NFL au cours des dernières années. Louis-Philippe Ladouceur, pour ne nommer que celui-là, fait partie de l’organisation des Cowboys de Dallas depuis la saison 2005 comme spécialiste des longues remises. Maxime souhaite suivre ses traces. Jean-Philippe Darche a aussi eu une belle carrière à ce poste avec les Seahawks de Seattle, notamment une participation au Super Bowl.
«C’est certain que ça me donne espoir d’évoluer un jour dans la NFL. Des Québécois ont réussi à le faire. Ils sont de bons exemples.»
Son passage à Montmorency
Maxime Latour conserve de bons souvenirs de son passage avec les Nomades. À sa première année, il a travaillé avec le botteur Félix Ménard-Brière, qui a excellé par la suite avec les Carabins de l’Université de Montréal et a participé au minicamp des Giants de New York, l’été dernier.
«On a fait les séries à ma première année. Nous avions battu les Élans à Québec. Par la suite, nous avions perdu en demi-finale face aux Cheetahs de Vanier. Cette victoire face aux Élans fera toujours partie de mes meilleurs moments à Montmorency», termine Maxime Latour.
Celui qui a porté les couleurs du Vert et Bleu au niveau collégial AAA en 2012 et 2013 s’est illustré récemment au camp Kohl’s, réservé aux botteurs et aux spécialistes, à Jacksonville, en Floride. Son brio lui a permis de recevoir une invitation pour un camp d’évaluation professionnel qui s’est tenu à Phœnix, les 10 et 11 février.
Le footballeur a d’ailleurs fait bonne impression en Arizona. Ses longues remises ont été parmi les meilleures et ses performances seront analysées par les recruteurs de la NFL.
«J’ai réussi trois remises en 0,66 seconde, mon record personnel, précise Maxime Latour, qui a conclu son stage universitaire avec le Vert et Or de l’Université de Sherbrooke. Les joueurs professionnels tiennent une moyenne de 0,7 seconde.»
Il reconnaît qu’il n’était pas vraiment satisfait de sa première journée. «J’ai obtenu 19 points sur une possibilité de 30. Deux de mes relais en situation de botté de dégagement ont été jugés trop bas. Je m’en voulais.»
La position des lacets, la rotation du ballon et la vitesse étaient parmi les critères d’évaluation.
Ses remises en situation de placement ont été parfaites. Trente points sur une possibilité de 30. Il a pris le huitième rang grâce à une récolte de 49 points. «C’était très serré et le premier a obtenu 52 points, admet-il fièrement. J’étais content d’être sélectionné pour faire partie des 12 meilleurs et faire la vidéo le lendemain.»
Son agent Philippe Maltais pense que son protégé a une bonne chance de percer et obtenir sa chance dans la NFL. Le principal intéressé aussi y croit. «Je dois maintenant me trouver un agent de la NFL», indique celui qui participera au «Combine» de la Ligue canadienne de football (LCF), le 7 mars.
La LCF une option
Maxime Latour en est à son année de repêchage dans la Ligue canadienne de football (LCF). Il est plutôt rare de voir un joueur à sa position être sélectionné. Toutefois, il garde espoir de trouver preneur. «Je n’ai pas de préférence, mentionne Latour. Je sais qu’il y a des discussions avec certaines équipes et mon agent. Je jouerai là où je serai repêché.»
Plusieurs Québécois ont joué dans la NFL au cours des dernières années. Louis-Philippe Ladouceur, pour ne nommer que celui-là, fait partie de l’organisation des Cowboys de Dallas depuis la saison 2005 comme spécialiste des longues remises. Maxime souhaite suivre ses traces. Jean-Philippe Darche a aussi eu une belle carrière à ce poste avec les Seahawks de Seattle, notamment une participation au Super Bowl.
«C’est certain que ça me donne espoir d’évoluer un jour dans la NFL. Des Québécois ont réussi à le faire. Ils sont de bons exemples.»
Son passage à Montmorency
Maxime Latour conserve de bons souvenirs de son passage avec les Nomades. À sa première année, il a travaillé avec le botteur Félix Ménard-Brière, qui a excellé par la suite avec les Carabins de l’Université de Montréal et a participé au minicamp des Giants de New York, l’été dernier.
«On a fait les séries à ma première année. Nous avions battu les Élans à Québec. Par la suite, nous avions perdu en demi-finale face aux Cheetahs de Vanier. Cette victoire face aux Élans fera toujours partie de mes meilleurs moments à Montmorency», termine Maxime Latour.