L’enthousiasme des enfants était palpable lors de la cérémonie d’ouverture. Séparés en 8 équipes, les jeunes se sont créé des identités de groupe similaires à celles des délégations sportives.
Chaque groupe a défilé avec son drapeau respectif, avant qu’Antoine Matte et Elena Rousselin ne prononcent le serment solennel des athlètes qui concourront dans des épreuves de volleyball, basketball, judo et foot-salle.
«Nous sommes venus à Laval en raison d’une solide structure de camps de jour à caractère sportif déjà présente, de confier Michèle Demers, directrice des communications de Sports Québec. Nous voulons initier ces jeunes aux sports fédérés dans le but de les faire bouger et s’amuser. Qui sait si certains d’entre eux ne seront pas des finales provinciales prévues ici en 2020.»
Coprésidente d’honneur de l’initiative, la cycliste lavalloise Joëlle Numainville a raconté son parcours, ayant pris part à trois Jeux du Québec avant de se rendre aux Olympiques de Londres.
Souvenirs d’athlètes
«Tout part d’un rêve, ensuite l’important demeure la motivation, la persévérance et le résultat, a dit aux enfants l’ancienne des Espoirs de Laval qui a grandi dans Duvernay. Se coucher de bonne heure, bien s’alimenter, analyser ses performances.»
Joëlle Numainville n’a pas passé sous silence sa contre-performance du 3 août 2012, «le plus grand jour de ma vie».
«Il y a eu une pluie torrentielle avec tonnerre et éclairs, raconte-t-elle. J’ai pensé à mes parties de soccer sur les terrains de Laval en de telles conditions. On annulait. Mais pas ce jour-là, à Londres, sur l’asphalte glissant. Je m’étais entraînée durant 10 ans et je n’étais pas concentrée sur le moment présent.»
En après-midi, le lanceur de baseball et porte-parole de la Fondation des Jeux du Québec, Derek Aucoin, a visité les participants.
Demain, pour la cérémonie de clôture, la double médaillée olympique en plongeon Roseline Filion sera de la partie.
Pour le futur
Après avoir suivi des ateliers auprès d’entraîneurs professionnels fédérés, chaque enfant repartira de l’aventure avec un passeport indiquant les disciplines et domaines où il s’est démarqué.
«Nous dresserons bientôt un bilan de ce projet-pilote du camp de jour Mes Premiers Jeux, souligne Michèle Demers. L’objectif est d’offrir un clef en main aux villes intéressées à bonifier l’animation de leurs camps de jour avec fiches d’animation et autres éléments nécessaires.»
«Je me souviens encore de mes premiers Jeux du Québec en ski de fond et de l’effort que ça m’avait demandé, plus encore que mes médailles, d’ajouter Joëlle Numainville.
Ç’a toujours été une belle expérience avec plein de rencontres. C’est gros et la fin du monde pour toi en tant qu’enfant!»
L’enthousiasme des enfants était palpable lors de la cérémonie d’ouverture. Séparés en 8 équipes, les jeunes se sont créé des identités de groupe similaires à celles des délégations sportives.
Chaque groupe a défilé avec son drapeau respectif, avant qu’Antoine Matte et Elena Rousselin ne prononcent le serment solennel des athlètes qui concourront dans des épreuves de volleyball, basketball, judo et foot-salle.
«Nous sommes venus à Laval en raison d’une solide structure de camps de jour à caractère sportif déjà présente, de confier Michèle Demers, directrice des communications de Sports Québec. Nous voulons initier ces jeunes aux sports fédérés dans le but de les faire bouger et s’amuser. Qui sait si certains d’entre eux ne seront pas des finales provinciales prévues ici en 2020.»
Coprésidente d’honneur de l’initiative, la cycliste lavalloise Joëlle Numainville a raconté son parcours, ayant pris part à trois Jeux du Québec avant de se rendre aux Olympiques de Londres.
Souvenirs d’athlètes
«Tout part d’un rêve, ensuite l’important demeure la motivation, la persévérance et le résultat, a dit aux enfants l’ancienne des Espoirs de Laval qui a grandi dans Duvernay. Se coucher de bonne heure, bien s’alimenter, analyser ses performances.»
Joëlle Numainville n’a pas passé sous silence sa contre-performance du 3 août 2012, «le plus grand jour de ma vie».
«Il y a eu une pluie torrentielle avec tonnerre et éclairs, raconte-t-elle. J’ai pensé à mes parties de soccer sur les terrains de Laval en de telles conditions. On annulait. Mais pas ce jour-là, à Londres, sur l’asphalte glissant. Je m’étais entraînée durant 10 ans et je n’étais pas concentrée sur le moment présent.»
En après-midi, le lanceur de baseball et porte-parole de la Fondation des Jeux du Québec, Derek Aucoin, a visité les participants.
Demain, pour la cérémonie de clôture, la double médaillée olympique en plongeon Roseline Filion sera de la partie.
Pour le futur
Après avoir suivi des ateliers auprès d’entraîneurs professionnels fédérés, chaque enfant repartira de l’aventure avec un passeport indiquant les disciplines et domaines où il s’est démarqué.
«Nous dresserons bientôt un bilan de ce projet-pilote du camp de jour Mes Premiers Jeux, souligne Michèle Demers. L’objectif est d’offrir un clef en main aux villes intéressées à bonifier l’animation de leurs camps de jour avec fiches d’animation et autres éléments nécessaires.»
«Je me souviens encore de mes premiers Jeux du Québec en ski de fond et de l’effort que ça m’avait demandé, plus encore que mes médailles, d’ajouter Joëlle Numainville.
Ç’a toujours été une belle expérience avec plein de rencontres. C’est gros et la fin du monde pour toi en tant qu’enfant!»