Vincent a été élu par les autres entraîneurs et les membres des médias dans chacune des 30 villes du circuit.
Fidèle à lui-même, il ne fait pas la grosse tête. «J’ai été fort surpris quand le directeur des opérations hockey Brad Andrews me l’a annoncé avant de sauter sur la glace, lance Pascal Vincent. Quand tu es entraîneur, tu ne penses pas vraiment à ces honneurs. Je crois vraiment que ce trophée n’est pas l’affaire d’un seul homme, mais de toute notre équipe: les recruteurs, dirigeants, adjoints et joueurs.»
Belle progression
À sa deuxième saison à la barre du Moose, le Lavallois de 46 ans a permis à ses protégés de passer du septième rang dans la section Centrale à une place parmi les formations de tête. Pourtant, la troupe de Vincent a été affligée par de nombreux joueurs blessés. «L’an dernier, nous avions une jeune équipe. Nous avons raté les séries, mais les jeunes ont appris. Nous avons fait une bonne analyse de nos effectifs.» Notons que le club-école des Jets de Winnipeg s’est qualifié pour les séries éliminatoires cette année.
Il n’a pas caché qu’il a été bien entouré. «Les dirigeants des Jets ont bien travaillé, admet-il. Le développement de nos joueurs est une priorité. Ma défensive a été excellente. J’ai pu compter sur des unités spéciales de qualité autant en supériorité qu’en infériorité.»
Vincent en est à sa septième campagne dans l’organisation des Jets de Winnipeg. Avant d’arriver derrière le banc du Moose en 2016-17, il avait agi à titre d’entraîneur-adjoint avec la formation de la Ligue nationale de hockey (LNH). Il a aussi dirigé le Junior de Montréal et les Screaming Eagles du Cape Breton dans les rangs juniors.
Retour dans la LNH
L’ancien entraîneur des Régents de Laval-Laurentides-Lanaudière midget AAA aimerait bien faire un retour dans le circuit Bettman. Il est conscient que les emplois sont rares. «Évidemment que je pense à retourner dans la LNH, souligne-t-il. Est-ce que ce titre m’ouvre des portes? Certainement, ça ne peut pas nuire. Le « timing » est important, il faut que tu sois le type d’entraîneur qu’une organisation cherche. Je crois que tu dois être capable de t’adapter.»
Chose certaine, l’excellente saison que connaît le Moose du Manitoba forcera sûrement plusieurs équipes de la LNH à regarder du côté du Lavallois dans son processus d’embauche pour un poste d’entraîneur-chef.
Vincent a été élu par les autres entraîneurs et les membres des médias dans chacune des 30 villes du circuit.
Fidèle à lui-même, il ne fait pas la grosse tête. «J’ai été fort surpris quand le directeur des opérations hockey Brad Andrews me l’a annoncé avant de sauter sur la glace, lance Pascal Vincent. Quand tu es entraîneur, tu ne penses pas vraiment à ces honneurs. Je crois vraiment que ce trophée n’est pas l’affaire d’un seul homme, mais de toute notre équipe: les recruteurs, dirigeants, adjoints et joueurs.»
Belle progression
À sa deuxième saison à la barre du Moose, le Lavallois de 46 ans a permis à ses protégés de passer du septième rang dans la section Centrale à une place parmi les formations de tête. Pourtant, la troupe de Vincent a été affligée par de nombreux joueurs blessés. «L’an dernier, nous avions une jeune équipe. Nous avons raté les séries, mais les jeunes ont appris. Nous avons fait une bonne analyse de nos effectifs.» Notons que le club-école des Jets de Winnipeg s’est qualifié pour les séries éliminatoires cette année.
Il n’a pas caché qu’il a été bien entouré. «Les dirigeants des Jets ont bien travaillé, admet-il. Le développement de nos joueurs est une priorité. Ma défensive a été excellente. J’ai pu compter sur des unités spéciales de qualité autant en supériorité qu’en infériorité.»
Vincent en est à sa septième campagne dans l’organisation des Jets de Winnipeg. Avant d’arriver derrière le banc du Moose en 2016-17, il avait agi à titre d’entraîneur-adjoint avec la formation de la Ligue nationale de hockey (LNH). Il a aussi dirigé le Junior de Montréal et les Screaming Eagles du Cape Breton dans les rangs juniors.
Retour dans la LNH
L’ancien entraîneur des Régents de Laval-Laurentides-Lanaudière midget AAA aimerait bien faire un retour dans le circuit Bettman. Il est conscient que les emplois sont rares. «Évidemment que je pense à retourner dans la LNH, souligne-t-il. Est-ce que ce titre m’ouvre des portes? Certainement, ça ne peut pas nuire. Le « timing » est important, il faut que tu sois le type d’entraîneur qu’une organisation cherche. Je crois que tu dois être capable de t’adapter.»
Chose certaine, l’excellente saison que connaît le Moose du Manitoba forcera sûrement plusieurs équipes de la LNH à regarder du côté du Lavallois dans son processus d’embauche pour un poste d’entraîneur-chef.