Après avoir connu une dernière saison formidable, Tatiana a fait écarquiller les yeux de plusieurs recruteurs des universités américaines. Elle a accueilli avec joie cette heureuse nouvelle quelques jours avant de célébrer son 17e anniversaire en novembre dernier.
Certaines avaient approché la talentueuse sprinteuse lavalloise, mais après avoir étudié les offres, elle a opté pour l’Université du Kentucky.
«J’ai été impressionnée par l’encadrement pour l’athlétisme, mais aussi pour mes études, lance-t-elle après avoir également visité celles du Michigan et de Maryland. Je suis super excitée. Je vais me préparer mentalement et physiquement. Le calibre est relevé.»
En demande
Les universités du Michigan, Maryland, TCU, UCLA, USC ont toutes montré de l’intérêt à l’égard de la talentueuse athlète. On l’avait à l’œil pour son brio dans trois disciplines: saut en longueur, les haies et le sprint.
Son choix s’est concrétisé lorsque Tatiana a rencontré l’entraîneur d’athlétisme Edrick Floréal, un Canadien, lors de sa visite au Kentucky. Ce dernier a permis à ses athlètes de remporter six médailles, dont deux en or, aux Jeux olympiques de 2012, à Londres.
«Floréal est renommé en athlétisme aux États-Unis, mentionne celle qui sait pertinemment qu’elle doublera son temps d’entraînement aux États-Unis, passant de 10 à 20 heures. Il m’a avertie que ce serait difficile. Je suis prête à fournir les efforts pour réussir.»
Tatiana a pris un pari en quittant le confort du Centre Claude-Robillard à Montréal, où elle s’entraînait en compagnie d’Annie Potvin. Elle croit fermement que ce pari rapportera avec l’équipe des Wildcats. «Ça ne me fait pas peur de quitter le nid familial. C’est le chemin que je dois emprunter.»
Encadrement
L’adolescente sait pertinemment qu’en septembre prochain elle côtoiera la crème des athlètes et bénéficiera d’un encadrement plus poussé de la part des entraîneurs, physiothérapeutes, nutritionnistes, massothérapeutes, psychologues sportifs, etc. «J’ai hâte de m’entraîner dans ces installations modernes. On ne voit pas cela tous les jours.»
Tatiana a également hâte que Laval se dote de sa piste d’athlétisme en 2020. «Je pourrai m’y entraîner l’été. Ce sera formidable pour les entraîneurs et athlètes. Le CADL regorge de talent. Avec ce genre d’infrastructures, il sera plus performant. Nous serons encore plus fiers de représenter Laval.»
Des fleurs
Elle a eu aussi de bons mots pour son entraîneuse Annie Potvin et pour sa famille qui l’a toujours supportée. «Sans eux, je n’amorcerais pas cette aventure au Kentucky, avoue-t-elle. Annie m’a permis de vivre des expériences inoubliables et d’avoir un avant-goût d’une carrière internationale. J’ai beaucoup appris et il me reste encore beaucoup de choses à apprendre. Ma famille a également toujours été là derrière moi.»
Études et Olympiques
Malgré son jeune âge, Tatiana complètera un diplôme d’études collégiales (DEC) en sciences humaines au Collège Vanier avant d’entreprendre un parcours en science politique.
La jeune championne de saut en longueur aimerait bien devenir avocate au terme de ses études universitaires. D’ici là, elle voudrait représenter le Canada au saut en longueur aux Jeux olympiques de Tokyo, en 2020. «Je figure parmi les deux meilleures au Canada dans cette discipline. Je crois en mes chances. Mes entraîneurs Annie et Floréal vont me préparer en ce sens afin de réaliser mon rêve.»
Après avoir connu une dernière saison formidable, Tatiana a fait écarquiller les yeux de plusieurs recruteurs des universités américaines. Elle a accueilli avec joie cette heureuse nouvelle quelques jours avant de célébrer son 17e anniversaire en novembre dernier.
Certaines avaient approché la talentueuse sprinteuse lavalloise, mais après avoir étudié les offres, elle a opté pour l’Université du Kentucky.
«J’ai été impressionnée par l’encadrement pour l’athlétisme, mais aussi pour mes études, lance-t-elle après avoir également visité celles du Michigan et de Maryland. Je suis super excitée. Je vais me préparer mentalement et physiquement. Le calibre est relevé.»
En demande
Les universités du Michigan, Maryland, TCU, UCLA, USC ont toutes montré de l’intérêt à l’égard de la talentueuse athlète. On l’avait à l’œil pour son brio dans trois disciplines: saut en longueur, les haies et le sprint.
Son choix s’est concrétisé lorsque Tatiana a rencontré l’entraîneur d’athlétisme Edrick Floréal, un Canadien, lors de sa visite au Kentucky. Ce dernier a permis à ses athlètes de remporter six médailles, dont deux en or, aux Jeux olympiques de 2012, à Londres.
«Floréal est renommé en athlétisme aux États-Unis, mentionne celle qui sait pertinemment qu’elle doublera son temps d’entraînement aux États-Unis, passant de 10 à 20 heures. Il m’a avertie que ce serait difficile. Je suis prête à fournir les efforts pour réussir.»
Tatiana a pris un pari en quittant le confort du Centre Claude-Robillard à Montréal, où elle s’entraînait en compagnie d’Annie Potvin. Elle croit fermement que ce pari rapportera avec l’équipe des Wildcats. «Ça ne me fait pas peur de quitter le nid familial. C’est le chemin que je dois emprunter.»
Encadrement
L’adolescente sait pertinemment qu’en septembre prochain elle côtoiera la crème des athlètes et bénéficiera d’un encadrement plus poussé de la part des entraîneurs, physiothérapeutes, nutritionnistes, massothérapeutes, psychologues sportifs, etc. «J’ai hâte de m’entraîner dans ces installations modernes. On ne voit pas cela tous les jours.»
Tatiana a également hâte que Laval se dote de sa piste d’athlétisme en 2020. «Je pourrai m’y entraîner l’été. Ce sera formidable pour les entraîneurs et athlètes. Le CADL regorge de talent. Avec ce genre d’infrastructures, il sera plus performant. Nous serons encore plus fiers de représenter Laval.»
Des fleurs
Elle a eu aussi de bons mots pour son entraîneuse Annie Potvin et pour sa famille qui l’a toujours supportée. «Sans eux, je n’amorcerais pas cette aventure au Kentucky, avoue-t-elle. Annie m’a permis de vivre des expériences inoubliables et d’avoir un avant-goût d’une carrière internationale. J’ai beaucoup appris et il me reste encore beaucoup de choses à apprendre. Ma famille a également toujours été là derrière moi.»
Études et Olympiques
Malgré son jeune âge, Tatiana complètera un diplôme d’études collégiales (DEC) en sciences humaines au Collège Vanier avant d’entreprendre un parcours en science politique.
La jeune championne de saut en longueur aimerait bien devenir avocate au terme de ses études universitaires. D’ici là, elle voudrait représenter le Canada au saut en longueur aux Jeux olympiques de Tokyo, en 2020. «Je figure parmi les deux meilleures au Canada dans cette discipline. Je crois en mes chances. Mes entraîneurs Annie et Floréal vont me préparer en ce sens afin de réaliser mon rêve.»