D’emblée, il a rappelé la recommandation faite à la Ville par l’IGOPP (Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques) dans son rapport de juin 2014 à l’effet «de faire plus de place à des administrateurs indépendants réputés pour leur intégrité, leur compétence et leur expérience». Cette recommandation apparaissant en page 28 visait précisément l’OMH de Laval.
En réplique, Nicolas Borne a fait valoir que l’IGOPP suggérait de «nommer un maximum de deux élus au sein d’un conseil». Son affirmation suivait celle de son collègue Stéphane Boyer, qui avait mentionné que c’est en considérant les conclusions du rapport en question que son mandat au CA de l’OMH n’a pas été renouvelé.
Sympathisants
Au-delà de la présence des élus du Mouvement lavallois (ML), M. Trottier a également dénoncé des nominations de sympathisants du parti du maire Demers au sein de différents CA.
À l’OMH, par exemple, il a cité le nom de l’administratrice représentant le milieu socio-économique.
«Lyne Sylvain est vice-présidente du Mouvement lavallois et candidate à l’investiture du parti en vue des prochaines élections, a-t-il signifié au conseil. On a décrié ça à l’époque de Vaillancourt et on fait la même chose ici.»
Ce à quoi le maire Demers a rétorqué que la principale intéressée était impliquée dans plusieurs organismes communautaires de même qu’à la Commission scolaire de Laval et à l’OMH, et ce, bien avant de rejoindre les rangs de sa formation politique. «C’est totalement injuste», s’est-il insurgé.
En soirée, par voie de communiqué, Michel Trottier en rajoutait, précisant que Mme Sylvain avait contribué pour une somme de 200$ à la caisse du parti du ML en 2015.
27 comités
Par ailleurs, le chef de Parti Laval soutient que les élus du Mouvement lavallois composent 95 % de tous les conseillers municipaux siégeant au sein des 27 comités formés à la Ville.
En chiffres absolus, cela représente 66 des 70 sièges occupés par les élus.
Quant aux quatre postes représentés par l’un ou l’autre des six conseillers indépendants ou membres d’un autre parti, il s’agit dans chacun des cas de fonction non rémunérée, ajoute M. Trottier.
«De plus, les postes occupés par des représentants de la communauté sont généralement pourvus par des sympathisants du Mouvement lavallois», termine celui qui s’engage à assurer l’indépendance des comités et nommer des conseillers de toutes allégeances politiques au lendemain du scrutin municipal du 5 novembre.
D’emblée, il a rappelé la recommandation faite à la Ville par l’IGOPP (Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques) dans son rapport de juin 2014 à l’effet «de faire plus de place à des administrateurs indépendants réputés pour leur intégrité, leur compétence et leur expérience». Cette recommandation apparaissant en page 28 visait précisément l’OMH de Laval.
En réplique, Nicolas Borne a fait valoir que l’IGOPP suggérait de «nommer un maximum de deux élus au sein d’un conseil». Son affirmation suivait celle de son collègue Stéphane Boyer, qui avait mentionné que c’est en considérant les conclusions du rapport en question que son mandat au CA de l’OMH n’a pas été renouvelé.
Sympathisants
Au-delà de la présence des élus du Mouvement lavallois (ML), M. Trottier a également dénoncé des nominations de sympathisants du parti du maire Demers au sein de différents CA.
À l’OMH, par exemple, il a cité le nom de l’administratrice représentant le milieu socio-économique.
«Lyne Sylvain est vice-présidente du Mouvement lavallois et candidate à l’investiture du parti en vue des prochaines élections, a-t-il signifié au conseil. On a décrié ça à l’époque de Vaillancourt et on fait la même chose ici.»
Ce à quoi le maire Demers a rétorqué que la principale intéressée était impliquée dans plusieurs organismes communautaires de même qu’à la Commission scolaire de Laval et à l’OMH, et ce, bien avant de rejoindre les rangs de sa formation politique. «C’est totalement injuste», s’est-il insurgé.
En soirée, par voie de communiqué, Michel Trottier en rajoutait, précisant que Mme Sylvain avait contribué pour une somme de 200$ à la caisse du parti du ML en 2015.
27 comités
Par ailleurs, le chef de Parti Laval soutient que les élus du Mouvement lavallois composent 95 % de tous les conseillers municipaux siégeant au sein des 27 comités formés à la Ville.
En chiffres absolus, cela représente 66 des 70 sièges occupés par les élus.
Quant aux quatre postes représentés par l’un ou l’autre des six conseillers indépendants ou membres d’un autre parti, il s’agit dans chacun des cas de fonction non rémunérée, ajoute M. Trottier.
«De plus, les postes occupés par des représentants de la communauté sont généralement pourvus par des sympathisants du Mouvement lavallois», termine celui qui s’engage à assurer l’indépendance des comités et nommer des conseillers de toutes allégeances politiques au lendemain du scrutin municipal du 5 novembre.