Dans la soirée du 28 septembre, à 19h30, la suspecte s’était rendue à son poste de police de quartier pour y rapporter des faits troublants remontant au début du mois.
«Elle n’est pas sûre de la date, car on comprend qu’elle était possiblement intoxiquée à ce moment-là», de préciser Geneviève Major, des Affaires publiques de la Police de Laval.
Les agents en place ont pris immédiatement un rapport, mais pas sa déclaration qui doit être captée sur vidéo en présence d’enquêteurs spécialisés.
Plus tard, elle s’est dirigée vers le domicile de son oncle où se seraient produits les événements, et ce, avec une arme qu’elle avait chez elle. La scène s’est produite dans le portique d’un bâtiment à logements du boulevard de la Concorde Est, près de la rue Saint-André. La suspecte a tiré trois projectiles vers l’homme, l’atteignant deux fois à l’abdomen. On n’a jamais craint pour sa vie.
«La jeune fille semble avoir compris que nous ne prenions pas sa plainte au sérieux, s’attendant probablement à ce qu’on arrête cet homme de 42 ans sur-le-champ, mais ça ne marche pas comme ça, d’ajouter la sergente Major. Pour l’instant, elle est incarcérée, donc n’est pas en état physiquement de faire sa déclaration.»
La jeune femme sera de retour en cour le vendredi 13 octobre pour son enquête sur remise en liberté. Elle fait face à accusations de tentative de meurtre, possession d’une arme prohibée, avoir déchargé une arme dans un dessein dangereux et voies de fait.
En tant que victime potentielle d’agression sexuelle, son identité est jusqu’ici protégée.
Dans la soirée du 28 septembre, à 19h30, la suspecte s’était rendue à son poste de police de quartier pour y rapporter des faits troublants remontant au début du mois.
«Elle n’est pas sûre de la date, car on comprend qu’elle était possiblement intoxiquée à ce moment-là», de préciser Geneviève Major, des Affaires publiques de la Police de Laval.
Les agents en place ont pris immédiatement un rapport, mais pas sa déclaration qui doit être captée sur vidéo en présence d’enquêteurs spécialisés.
Plus tard, elle s’est dirigée vers le domicile de son oncle où se seraient produits les événements, et ce, avec une arme qu’elle avait chez elle. La scène s’est produite dans le portique d’un bâtiment à logements du boulevard de la Concorde Est, près de la rue Saint-André. La suspecte a tiré trois projectiles vers l’homme, l’atteignant deux fois à l’abdomen. On n’a jamais craint pour sa vie.
«La jeune fille semble avoir compris que nous ne prenions pas sa plainte au sérieux, s’attendant probablement à ce qu’on arrête cet homme de 42 ans sur-le-champ, mais ça ne marche pas comme ça, d’ajouter la sergente Major. Pour l’instant, elle est incarcérée, donc n’est pas en état physiquement de faire sa déclaration.»
La jeune femme sera de retour en cour le vendredi 13 octobre pour son enquête sur remise en liberté. Elle fait face à accusations de tentative de meurtre, possession d’une arme prohibée, avoir déchargé une arme dans un dessein dangereux et voies de fait.
En tant que victime potentielle d’agression sexuelle, son identité est jusqu’ici protégée.