Essentiellement, la Ville souhaite permettre le partage des milliers de cases de stationnement des terrains commerciaux et institutionnels avoisinant le secteur du centre-ville avec d’autres utilisateurs que leurs clients, ce que le règlement en vigueur interdit.
Des 21 zones visées par ce changement de zonage, 10 ont fait l’objet d’une demande d’approbation référendaire déposée par des résidents à la suite de l’adoption du second projet de règlement L-2001-3702, le 7 février dernier.
Conséquemment, l’administration Demers a tenu, le 18 avril, une rencontre d’information et d’échange en présence de 70 citoyens «afin de bien expliquer le projet, les impacts de cette démarche ainsi que les autres solutions proposées». Parmi celles-ci, il a été évoqué de prolonger en soirée les heures d’interdiction de stationnement dans les rues résidentielles de manière à éviter les débordements les soirs de matchs du Rocket et d’événements.
Urbania
Au cours de la soirée, deux administrateurs du Syndicat des copropriétaires d’Urbania ont dénoncé la situation que subissent depuis des années les quelque 700 résidents de ce projet d’habitation situé à un jet de pierre de la station de métro Montmorency.
Après avoir fait leur deuil des places de stationnement en bordure des rues Lucien-Paiement et Émile-Martineau, les jours de semaine, voilà qu’ils craignent de voir leur cauchemar s’étendre aux soirs et week-ends lors d’événements de la Place Bell.
Quant à l’idée d’un système de vignettes, tel que le proposait en mars 2016 le conseiller du secteur Pierre Anthian, alors appuyé d’une pétition de 350 noms, elle est rejetée d’emblée par la Ville.
Celle-ci fait valoir qu’Urbania n’a pas et n’a jamais eu de vocation résidentielle, voire que l’unicité de ce projet de développement mis en chantier au début des années 2000 était justement sa proximité avec la station de métro, située au cœur d’un centre-ville en devenir
Registres
Or, le mardi 25 avril s’ouvriront, entre 9h et 19h, les registres permettant aux citoyens de s’opposer au projet de règlement en question.
«C’est l’occasion rêvée pour les résidents de renvoyer les fonctionnaires à leur planche à dessin et obliger la Ville à leur offrir la vignette», affirme M. Anthian qui exhorte les résidents d’Urbania à aller signer le registre.
Selon lui, 88 signatures suffiraient à contraindre la Ville à revoir son règlement ou encore à tenir un référendum.
Essentiellement, la Ville souhaite permettre le partage des milliers de cases de stationnement des terrains commerciaux et institutionnels avoisinant le secteur du centre-ville avec d’autres utilisateurs que leurs clients, ce que le règlement en vigueur interdit.
Des 21 zones visées par ce changement de zonage, 10 ont fait l’objet d’une demande d’approbation référendaire déposée par des résidents à la suite de l’adoption du second projet de règlement L-2001-3702, le 7 février dernier.
Conséquemment, l’administration Demers a tenu, le 18 avril, une rencontre d’information et d’échange en présence de 70 citoyens «afin de bien expliquer le projet, les impacts de cette démarche ainsi que les autres solutions proposées». Parmi celles-ci, il a été évoqué de prolonger en soirée les heures d’interdiction de stationnement dans les rues résidentielles de manière à éviter les débordements les soirs de matchs du Rocket et d’événements.
Urbania
Au cours de la soirée, deux administrateurs du Syndicat des copropriétaires d’Urbania ont dénoncé la situation que subissent depuis des années les quelque 700 résidents de ce projet d’habitation situé à un jet de pierre de la station de métro Montmorency.
Après avoir fait leur deuil des places de stationnement en bordure des rues Lucien-Paiement et Émile-Martineau, les jours de semaine, voilà qu’ils craignent de voir leur cauchemar s’étendre aux soirs et week-ends lors d’événements de la Place Bell.
Quant à l’idée d’un système de vignettes, tel que le proposait en mars 2016 le conseiller du secteur Pierre Anthian, alors appuyé d’une pétition de 350 noms, elle est rejetée d’emblée par la Ville.
Celle-ci fait valoir qu’Urbania n’a pas et n’a jamais eu de vocation résidentielle, voire que l’unicité de ce projet de développement mis en chantier au début des années 2000 était justement sa proximité avec la station de métro, située au cœur d’un centre-ville en devenir
Registres
Or, le mardi 25 avril s’ouvriront, entre 9h et 19h, les registres permettant aux citoyens de s’opposer au projet de règlement en question.
«C’est l’occasion rêvée pour les résidents de renvoyer les fonctionnaires à leur planche à dessin et obliger la Ville à leur offrir la vignette», affirme M. Anthian qui exhorte les résidents d’Urbania à aller signer le registre.
Selon lui, 88 signatures suffiraient à contraindre la Ville à revoir son règlement ou encore à tenir un référendum.