Mis à jour le 18 Décembre 2025 à 13h24
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Virginie Dufour dresse un bilan de fin de session parlementaire marqué par de nombreuses tournées aux quatre coins du Québec, afin d’assurer avec proximité et rigueur son rôle de porte-parole de l’opposition officielle en matière d’environnement et d’habitation à l’Assemblée nationale du Québec. Outaouais, Laurentides, Lanaudière, Laval, Estrie et Centre-du-Québec : la députée de Mille-Îles est allée à la rencontre d’entrepreneurs, d’élus municipaux, de résidents et d’organismes en lien avec ses responsabilités parlementaires, dans le but de relayer leurs préoccupations et d’exiger des résultats concrets de la part du gouvernement, qui cumule les échecs.
À titre de l’une des 50 membres de la Coalition interparlementaire pour mettre fin à la pollution plastique, Mme Dufour a rencontré de nombreux groupes environnementaux d’ici afin de porter la voix de l’organisation. Elle a également adressé une lettre à l’honorable Julie Aviva Dabrusin, ministre de l’Environnement du Canada, et échangé avec Bernard Drainville, ministre de l’Environnement du Québec, dans le but de soulever les risques graves que représente la pollution plastique pour la santé humaine et l’environnement.
La porte-parole de l’opposition officielle en matière d’environnement a aussi déposé une pétition visant à lutter contre les polluants éternels. Cette initiative s’ajoute au dépôt de son projet de loi visant à établir un cadre de surveillance et de contrôle des polluants éternels dans les cours d’eau du Québec. Sur le plan des travaux parlementaires, la députée de Mille-Îles s’est démarquée en siégeant sur les consultations sur la cible de réduction des émissions de gaz à effet de serre du Québec, ainsi que sur le projet de loi 104 en affaires municipales.
En période de questions à l’Assemblée nationale du Québec, Virginie Dufour a talonné la ministre de l’Habitation sur la crise du logement : « La crise du logement n’est plus seulement une crise de l’offre, mais désormais une crise d’abordabilité, créée de toutes pièces par le gouvernement, qui a nié la crise trop longtemps. Le manque de logements abordables est maintenant la première cause de l’itinérance au Québec. » Elle a également interpellé la ministre concernant la fermeture du programme d’indemnisation de la mérule pleureuse, ainsi que l’abandon d’une génération entière de premiers acheteurs. « Sous le leadership du gouvernement, l’accès à la propriété a reculé pour la première fois en 50 ans », ajoute-t-elle.
Dans sa circonscription, la députée de Mille-Îles rapporte que la mauvaise gestion du gouvernement suscite de vives inquiétudes chez ses concitoyens de l’est de Laval : « Le constat est sans équivoque. Les gens me parlent tous de leurs difficultés à recevoir des services publics et à joindre les deux bouts en raison de la hausse du coût de la vie, notamment pour se loger et se nourrir. Chaque jour, je mets les bouchées doubles pour talonner le gouvernement et exiger des résultats : de meilleurs services de santé, un financement adéquat en éducation, du soutien aux PME, ainsi qu’un allègement de la paperasse qui étouffe nos agriculteurs. Les Lavallois sont prêts pour du changement. »



