Le malheur des uns fait souvent le bonheur des autres. En l’absence du gardien numéro un de l’Avalanche du Colorado Semyon Varlamov, le cerbère lavallois a remporté 8 de ses 10 derniers départs.
«J’ai toujours cru en mes moyens, souligne celui qui a joué son hockey mineur à Laval. Je savais que j’allais rebondir et connaître du succès dans la LNH. Après une année difficile à Toronto, j’ai repris confiance à Anaheim avec une série de victoires, 12 en 14. Puis, cette année, tout fonctionne bien.»
En neuf campagnes avec les Ducks, les Maple Leafs, les Kings de Los Angeles et l’Avalanche, Bernier montre une fiche de 123-103-28 avec 16 blanchissages en 274 parties. Il a alloué 2,65 buts et affiche un taux d’efficacité de 0.915.
Bernier n’est pas surpris de son brio. «Je mets les efforts et je suis récompensé, reconnaît-il. Notre succès est une affaire d’équipe. Je joue bien et les gars ont confiance.»
Il doit une fière chandelle à l’entraîneur des gardiens Jussi Parkkila. «Je mets beaucoup de temps avec Jussi. Il est excellent sur l’aspect mental et est bon techniquement. Il a apporté certains changements dans mon jeu. J’utilise encore plus mes jambes. J’ai toujours eu beaucoup de vitesse.»
Un autre Jonathan s’illustre
C’est un autre Jonathan qui lui a volé la vedette, le 23 janvier, au Centre Bell. Sans doute motivé par cette confrontation face à Nathan MacKinnon, son ancien compagnon de trio chez les Mooseheads de Halifax, Drouin a amassé un but et deux passes permettant au Tricolore de l’emporter 4 à 2. Bernier a reçu 39 tirs dans la défaite.
«Ça n’a pas été notre meilleur match, a admis sans détour Bernier au terme de sa défaite. On a manqué de jambes et d’énergie. Ils ont travaillé plus fort que nous.»
Une première pour frérot
Son frère Marc-André, qui a déjà été repêché par les Canucks de Vancouver et qui a passé sa carrière en Europe, a assisté à une première partie de Jonathan dans la LNH. «Ce fut un moment spécial pour moi, avoue-t-il. J’aurais bien aimé pouvoir gagner ce match. Mes parents aussi étaient dans les estrades.»
Sa bête noire
Le Canadien s’avère la bête noire de Jonathan Bernier. Ce dernier a encaissé le dixième revers de sa carrière en temps régulier face au bleu, blanc et rouge. Depuis son entrée dans la LNH, le Lavallois affiche une piètre fiche de 1-10-3 face à la formation montréalaise.
La séquence de victoires de l’ancien porte-couleurs des Régents de Laval-Lanaudière-Laurentides (midget AAA) s’arrête à deux du record d’équipe. Seul Patrick Roy a fait mieux dans l’histoire de la concession, avec 11 triomphes d’affilée lors de la saison 1998-99. Stéphane Fiset a également remporté neuf victoires consécutives dans l’uniforme de l’Avalanche, en 1995.
Retour à Toronto
La veille, le numéro 45 a permis à l’Avalanche d’enregistrer une 10e victoire de suite en venant à bout de son ancienne équipe au compte de 4-2, à Toronto. Parmi ces 10 gains, Bernier en a savouré neuf. Il a réalisé 29 arrêts dans la victoire face aux Leafs.
Le malheur des uns fait souvent le bonheur des autres. En l’absence du gardien numéro un de l’Avalanche du Colorado Semyon Varlamov, le cerbère lavallois a remporté 8 de ses 10 derniers départs.
«J’ai toujours cru en mes moyens, souligne celui qui a joué son hockey mineur à Laval. Je savais que j’allais rebondir et connaître du succès dans la LNH. Après une année difficile à Toronto, j’ai repris confiance à Anaheim avec une série de victoires, 12 en 14. Puis, cette année, tout fonctionne bien.»
En neuf campagnes avec les Ducks, les Maple Leafs, les Kings de Los Angeles et l’Avalanche, Bernier montre une fiche de 123-103-28 avec 16 blanchissages en 274 parties. Il a alloué 2,65 buts et affiche un taux d’efficacité de 0.915.
Bernier n’est pas surpris de son brio. «Je mets les efforts et je suis récompensé, reconnaît-il. Notre succès est une affaire d’équipe. Je joue bien et les gars ont confiance.»
Il doit une fière chandelle à l’entraîneur des gardiens Jussi Parkkila. «Je mets beaucoup de temps avec Jussi. Il est excellent sur l’aspect mental et est bon techniquement. Il a apporté certains changements dans mon jeu. J’utilise encore plus mes jambes. J’ai toujours eu beaucoup de vitesse.»
Un autre Jonathan s’illustre
C’est un autre Jonathan qui lui a volé la vedette, le 23 janvier, au Centre Bell. Sans doute motivé par cette confrontation face à Nathan MacKinnon, son ancien compagnon de trio chez les Mooseheads de Halifax, Drouin a amassé un but et deux passes permettant au Tricolore de l’emporter 4 à 2. Bernier a reçu 39 tirs dans la défaite.
«Ça n’a pas été notre meilleur match, a admis sans détour Bernier au terme de sa défaite. On a manqué de jambes et d’énergie. Ils ont travaillé plus fort que nous.»
Une première pour frérot
Son frère Marc-André, qui a déjà été repêché par les Canucks de Vancouver et qui a passé sa carrière en Europe, a assisté à une première partie de Jonathan dans la LNH. «Ce fut un moment spécial pour moi, avoue-t-il. J’aurais bien aimé pouvoir gagner ce match. Mes parents aussi étaient dans les estrades.»
Sa bête noire
Le Canadien s’avère la bête noire de Jonathan Bernier. Ce dernier a encaissé le dixième revers de sa carrière en temps régulier face au bleu, blanc et rouge. Depuis son entrée dans la LNH, le Lavallois affiche une piètre fiche de 1-10-3 face à la formation montréalaise.
La séquence de victoires de l’ancien porte-couleurs des Régents de Laval-Lanaudière-Laurentides (midget AAA) s’arrête à deux du record d’équipe. Seul Patrick Roy a fait mieux dans l’histoire de la concession, avec 11 triomphes d’affilée lors de la saison 1998-99. Stéphane Fiset a également remporté neuf victoires consécutives dans l’uniforme de l’Avalanche, en 1995.
Retour à Toronto
La veille, le numéro 45 a permis à l’Avalanche d’enregistrer une 10e victoire de suite en venant à bout de son ancienne équipe au compte de 4-2, à Toronto. Parmi ces 10 gains, Bernier en a savouré neuf. Il a réalisé 29 arrêts dans la victoire face aux Leafs.