«Je veux sensibiliser et éduquer le public à la différence, de confier l’auteur lavallois qui peaufine ses recherches dans le domaine depuis une décennie. Ces personnes ne sont pas des fous. Elles ne souffrent pas de maladie mentale. Ce sont des gens qui se sont acceptés comme ils sont.»
Dans la préface, la femme d’affaires et conférencière québécoise Michelle Blanc confie: «On me dit souvent qu’il semble y avoir de plus en plus de transexuel(les). Je réponds qu’il y a plutôt de moins en moins de suicides. Tout comme je l’ai moi-même réalisé, il est possible de vivre une vie heureuse même si elle est marginale.»
La blogueuse souligne à quel point le livre de Jean-Sébastien Bourré deviendra une source précieuse d’information pouvant servir de référence à tout un chacun, dont les praticiens et professionnels de la santé, sexologie et santé mentale.
Éventail large
Avant d’aligner un lexique fort utile en fin de lecture, l’essai de près de 500 pages s’ouvre sur l’évolution des droits LGBT (lesbiennes, gais, bisexuels et transgenres), couvrant la question depuis sa genèse. Elagabal, Jeanne d’Arc, Dora Richter, Colette, les travestis, la réalité trans ne date pas d’hier.
Par la suite, le passionné des droits de l’homme aborde les différents diagnostics, explorant, entre autres, les notions de cisgenre, du corps métamorphosé, d’hermaphrodisme, intersexualité, dysphorie de genre, en passant par la transaffirmation chez les enfants.
«Je suis allé voir dans de nombreuses sources et autant de pays à travers le monde, de mentionner Jean-Sébastien Bourré. Je parle aussi des stéréotypes, de la non-binarité (ne se sentir ni homme ni femme) et comment le mouvement trans peut amener une influence positive, devenir une clef dans l’égalité entre les hommes et les femmes.»
En fin d’ouvrage, l’auteur ne néglige pas les revendications actuelles dans le milieu de la santé, ainsi que le débat sur les toilettes et vestiaires publics.
«Ce livre parle à toutes les générations ai-je pu réaliser en rencontrant des parents et grands-parents soulagés de pouvoir mieux comprendre leur enfant ou petit-enfant», ajoute Jean-Sébastien Bourré, qui collabore actuellement avec la Commission scolaire de Laval pour un plan d’action dans l’intégration d’étudiants montrant un genre autre que le féminin ou masculin.
«Je veux sensibiliser et éduquer le public à la différence, de confier l’auteur lavallois qui peaufine ses recherches dans le domaine depuis une décennie. Ces personnes ne sont pas des fous. Elles ne souffrent pas de maladie mentale. Ce sont des gens qui se sont acceptés comme ils sont.»
Dans la préface, la femme d’affaires et conférencière québécoise Michelle Blanc confie: «On me dit souvent qu’il semble y avoir de plus en plus de transexuel(les). Je réponds qu’il y a plutôt de moins en moins de suicides. Tout comme je l’ai moi-même réalisé, il est possible de vivre une vie heureuse même si elle est marginale.»
La blogueuse souligne à quel point le livre de Jean-Sébastien Bourré deviendra une source précieuse d’information pouvant servir de référence à tout un chacun, dont les praticiens et professionnels de la santé, sexologie et santé mentale.
Éventail large
Avant d’aligner un lexique fort utile en fin de lecture, l’essai de près de 500 pages s’ouvre sur l’évolution des droits LGBT (lesbiennes, gais, bisexuels et transgenres), couvrant la question depuis sa genèse. Elagabal, Jeanne d’Arc, Dora Richter, Colette, les travestis, la réalité trans ne date pas d’hier.
Par la suite, le passionné des droits de l’homme aborde les différents diagnostics, explorant, entre autres, les notions de cisgenre, du corps métamorphosé, d’hermaphrodisme, intersexualité, dysphorie de genre, en passant par la transaffirmation chez les enfants.
«Je suis allé voir dans de nombreuses sources et autant de pays à travers le monde, de mentionner Jean-Sébastien Bourré. Je parle aussi des stéréotypes, de la non-binarité (ne se sentir ni homme ni femme) et comment le mouvement trans peut amener une influence positive, devenir une clef dans l’égalité entre les hommes et les femmes.»
En fin d’ouvrage, l’auteur ne néglige pas les revendications actuelles dans le milieu de la santé, ainsi que le débat sur les toilettes et vestiaires publics.
«Ce livre parle à toutes les générations ai-je pu réaliser en rencontrant des parents et grands-parents soulagés de pouvoir mieux comprendre leur enfant ou petit-enfant», ajoute Jean-Sébastien Bourré, qui collabore actuellement avec la Commission scolaire de Laval pour un plan d’action dans l’intégration d’étudiants montrant un genre autre que le féminin ou masculin.