C’est l’installation de roulottes de chantier sur une partie du parc Jolibourg, le 19 juillet dans Sainte-Dorothée, qui a fortement fait réagir un groupe de citoyens des rues Du Relais et Val-Brillant en bordure du parc.
Furieux de voir s’y établir un QG jusqu’en 2020, ils réclament la relocalisation des roulottes sur un «terrain plus approprié» et la remise en état de l’espace gazonné, aujourd’hui remplacé par un revêtement routier.
«Nous n’avons jamais été consultés ni même avisés. C’est inacceptable», fait valoir Johanne Hémond qui ne s’explique pas le choix d’un site en plein cœur d’un quartier résidentiel, alors que d’autres terrains situés tout près auraient très bien fait l’affaire.
Elle identifie, entre autres, le stationnement municipal du chemin Bord-de-l’Eau de l’ancienne gare de Sainte-Dorothée qu’elle dit à peine utilisé. «Et c’est à plus ou moins 300 mètres de la rue qui mène au pont de l’île Bigras.»
Elle suggère également le terrain vague situé à l’arrière du centre d’achats à l’angle Jolibourg et Bord-de-l’Eau.
Ce soir
Dans une lettre destinée aux médias le 23 juillet, Marie-Claire Lachapelle indique qu’elle et un groupe de citoyens s’inviteront à l’assemblée de ce soir, mercredi 26 juillet, à laquelle sont conviés les résidents de Laval-les-Îles afin de les informer des travaux de reconstruction à venir du pont du chemin des Trilles (qui relie l’île Pariseau à l’île Verte) et du pont du chemin Du Dupont (qui relie l’île Jésus à l’île Bigras). La rencontre est prévue à 19h à l’église Notre-Dame-de L’Espérance sur l’île Bigras.
Hier, mardi, une centaine de tracts ont d’ailleurs été distribués aux maisons de ville de la rue Du Relais incitant les propriétaires à venir y faire valoir leurs droits.
«Les citoyens aux abords du parc Jolibourg sont furieux», écrit-elle en évoquant «une perte de jouissance des lieux» et la sécurité des enfants du secteur qui s’en trouve compromise, soulignant au passage la présence d’un centre communautaire, d’une piscine municipale et de terrains de soccer tout juste à côté.
«Cette rue [Du Relais] est bordée de nombreuses résidences et a une limite de vitesse de 30 km. Les allées et venues du QG au site de construction augmenteront substantiellement le trafic.»
C’est l’installation de roulottes de chantier sur une partie du parc Jolibourg, le 19 juillet dans Sainte-Dorothée, qui a fortement fait réagir un groupe de citoyens des rues Du Relais et Val-Brillant en bordure du parc.
Furieux de voir s’y établir un QG jusqu’en 2020, ils réclament la relocalisation des roulottes sur un «terrain plus approprié» et la remise en état de l’espace gazonné, aujourd’hui remplacé par un revêtement routier.
«Nous n’avons jamais été consultés ni même avisés. C’est inacceptable», fait valoir Johanne Hémond qui ne s’explique pas le choix d’un site en plein cœur d’un quartier résidentiel, alors que d’autres terrains situés tout près auraient très bien fait l’affaire.
Elle identifie, entre autres, le stationnement municipal du chemin Bord-de-l’Eau de l’ancienne gare de Sainte-Dorothée qu’elle dit à peine utilisé. «Et c’est à plus ou moins 300 mètres de la rue qui mène au pont de l’île Bigras.»
Elle suggère également le terrain vague situé à l’arrière du centre d’achats à l’angle Jolibourg et Bord-de-l’Eau.
Ce soir
Dans une lettre destinée aux médias le 23 juillet, Marie-Claire Lachapelle indique qu’elle et un groupe de citoyens s’inviteront à l’assemblée de ce soir, mercredi 26 juillet, à laquelle sont conviés les résidents de Laval-les-Îles afin de les informer des travaux de reconstruction à venir du pont du chemin des Trilles (qui relie l’île Pariseau à l’île Verte) et du pont du chemin Du Dupont (qui relie l’île Jésus à l’île Bigras). La rencontre est prévue à 19h à l’église Notre-Dame-de L’Espérance sur l’île Bigras.
Hier, mardi, une centaine de tracts ont d’ailleurs été distribués aux maisons de ville de la rue Du Relais incitant les propriétaires à venir y faire valoir leurs droits.
«Les citoyens aux abords du parc Jolibourg sont furieux», écrit-elle en évoquant «une perte de jouissance des lieux» et la sécurité des enfants du secteur qui s’en trouve compromise, soulignant au passage la présence d’un centre communautaire, d’une piscine municipale et de terrains de soccer tout juste à côté.
«Cette rue [Du Relais] est bordée de nombreuses résidences et a une limite de vitesse de 30 km. Les allées et venues du QG au site de construction augmenteront substantiellement le trafic.»