Les Immeubles Val-Martin s’accaparent la part du lion, alors que l’enveloppe de 3,6 M$ dont ils héritent est proportionnelle aux 233 nouvelles unités destinées aux familles à faible et moyen revenus.
Le projet Pie-X et ses 42 logements touchent pour leur part un montant de 546 254 $, pendant que la ressources d’hébergement pour femmes et enfants victimes de violence conjugale le Bouclier d’Athéna met la main sur une somme de 236 331 $ en appui aux 17 nouvelles unités à venir.
Ces fonds sont financés à parts égales entre la Ville et la Société d’habitation du Québec.
Par voie de communiqué, le 28 mars, le maire Demers soulignait l’importance d’investir dans le logement abordable et la volonté de son administration de se positionner comme leader en la matière. «Ces investissements concrétisent nos intentions de favoriser l’inclusion sociale et l’épanouissement de la collectivité lavalloise», déclarait-il.
Quant au conseiller municipal Nicholas Borne, qui préside aux destinées de l’Office municipal d’habitation (OMH) de Laval et de la Commission de l’habitation et du logement social, il ajoutait que près d’un ménage lavallois sur quatre occupe un logement dont le loyer est trop élevé par rapport à ses revenus. «Nous visons [à] assurer l’accès à des logements salubres et sécuritaires à ces ménages, tout en favorisant la mixité sociale, faisait-il valoir. Nous maintenons le cap sur cet objectif, inspiré de la Politique régionale de développement social, pour qu’un maximum de citoyens puisse occuper ces habitations.»
Les Immeubles Val-Martin s’accaparent la part du lion, alors que l’enveloppe de 3,6 M$ dont ils héritent est proportionnelle aux 233 nouvelles unités destinées aux familles à faible et moyen revenus.
Le projet Pie-X et ses 42 logements touchent pour leur part un montant de 546 254 $, pendant que la ressources d’hébergement pour femmes et enfants victimes de violence conjugale le Bouclier d’Athéna met la main sur une somme de 236 331 $ en appui aux 17 nouvelles unités à venir.
Ces fonds sont financés à parts égales entre la Ville et la Société d’habitation du Québec.
Par voie de communiqué, le 28 mars, le maire Demers soulignait l’importance d’investir dans le logement abordable et la volonté de son administration de se positionner comme leader en la matière. «Ces investissements concrétisent nos intentions de favoriser l’inclusion sociale et l’épanouissement de la collectivité lavalloise», déclarait-il.
Quant au conseiller municipal Nicholas Borne, qui préside aux destinées de l’Office municipal d’habitation (OMH) de Laval et de la Commission de l’habitation et du logement social, il ajoutait que près d’un ménage lavallois sur quatre occupe un logement dont le loyer est trop élevé par rapport à ses revenus. «Nous visons [à] assurer l’accès à des logements salubres et sécuritaires à ces ménages, tout en favorisant la mixité sociale, faisait-il valoir. Nous maintenons le cap sur cet objectif, inspiré de la Politique régionale de développement social, pour qu’un maximum de citoyens puisse occuper ces habitations.»