La soirée prendra place au Château Royal, le jeudi 15 mars. Depuis une décennie, la TCLCF organise un événement régional culturel d’impact pour les militantes féministes.
«Nous avons eu la chance de célébrer le talent et la création de nombreuses femmes artistes, dans une pluralité de disciplines, et ce, avec bonheur, d’affirmer Audrey Nadeau, du comité lavallois d’actions féministes de la TCLCF. Cette année ne fera pas exception à cette tradition.»
Lili Boisvert, animatrice de l’émission Sexplora, et Judith Lussier, ancienne chroniqueuse au journal Métro, forment Les Brutes.
«Ce sont deux filles à l’esprit vif, un brin baveuses, qui jettent un regard drôle et irrévérencieux sur des sujets dans l’air du temps, de continuer Valérie Lépine, agente de mobilisation à la TCLCF. Elles ont une mission dans la vie: abolir le patriarcat et les autres affaires pas chill, que ce soit les stéréotypes de genre, jugements sur la maladie mentale, privilèges, la pression à la sexualité, culture du viol et l’embourgeoisement. Tout y passe, parce que oui, on peut rire de tout.»
Pour le numéro d’ouverture, on accueillera l’artiste autochtone de renommée mondiale Nina Segalowitz. Originaire de Fort Smith, dans les Territoires du Nord-Ouest, cette artiste donne des performances de chant de gorge depuis plus de 20 ans, ce qui l’a menée dans plusieurs pays d’Europe et en Amérique du Nord.
D’autre part, l’artiste-peintre Nancy Vincent ne manquera pas d’émouvoir le public avec ses Femmes du monde! exposées simultanément dans la salle.
«Mes œuvres sont là pour sensibiliser les gens à des violences encore faites aujourd’hui aux femmes, de confier l’artiste. Pensons à l’excision d’Africaines, l’assassinat et disparition de femmes autochtones, le renvoi chez elle d’Asiatiques. Toutefois, j’ai aussi tenu à montrer leur caractère et beauté.»
Pour conclure l’événement de manière bien festive, les spectatrices pourront s’emparer de la piste de danse pour la fin de la soirée.
Thème approprié
«Cette année, la vague de dénonciations d’agressions et de harcèlement ont mis en lumière le sexisme ambiant et les rapports inégaux qui perdurent entre les sexes», a souligné Sandra Barios lors du dévoilement de la programmation du spectacle, le 14 février, devant une trentaine d’intervenantes rassemblées au centre communautaire Saint-Joseph.
La Journée internationale des femmes 2018 se déroulera sur le thème «Féministes tant qu’il le faudra.»
«Dénonçons l’impact sexiste des mesures d’austérité, dont les coupes dans les services publics, la commercialisation des services éducatifs à la petite enfance et la discrimination systémique en emploi qui persiste pour toutes les femmes, d’ajouter Fabiola Geneste. Le mouvement féministe continue de lutter pour que tombent toutes ces barrières qui nous freinent.»
Possibilité d’un don
Ces dernières années, dans un esprit de solidarité avec les femmes en situation de vulnérabilité, la TCLCF invite les spectatrices à faire un don, sur une base volontaire, aux trois maisons d’hébergement pour femmes et enfants victimes de violence conjugale de Laval.
Celui-ci doit prendre la forme de produits d’hygiène neufs et scellés: brosse à dents, dentifrice, savon, shampoing, boîtes de serviettes sanitaires ou tampons. Cela n’est pas obligatoire et reste à la discrétion de chacune.
Information sur le souper-spectacle de la Journée internationale des femmes présenté par la TCLCF, le jeudi 15 mars, dès 17h, au Château Royal (3500, boulevard du Souvenir): 450 682-8739 ou www.tclcf.qc.ca.
La soirée prendra place au Château Royal, le jeudi 15 mars. Depuis une décennie, la TCLCF organise un événement régional culturel d’impact pour les militantes féministes.
«Nous avons eu la chance de célébrer le talent et la création de nombreuses femmes artistes, dans une pluralité de disciplines, et ce, avec bonheur, d’affirmer Audrey Nadeau, du comité lavallois d’actions féministes de la TCLCF. Cette année ne fera pas exception à cette tradition.»
Lili Boisvert, animatrice de l’émission Sexplora, et Judith Lussier, ancienne chroniqueuse au journal Métro, forment Les Brutes.
«Ce sont deux filles à l’esprit vif, un brin baveuses, qui jettent un regard drôle et irrévérencieux sur des sujets dans l’air du temps, de continuer Valérie Lépine, agente de mobilisation à la TCLCF. Elles ont une mission dans la vie: abolir le patriarcat et les autres affaires pas chill, que ce soit les stéréotypes de genre, jugements sur la maladie mentale, privilèges, la pression à la sexualité, culture du viol et l’embourgeoisement. Tout y passe, parce que oui, on peut rire de tout.»
Pour le numéro d’ouverture, on accueillera l’artiste autochtone de renommée mondiale Nina Segalowitz. Originaire de Fort Smith, dans les Territoires du Nord-Ouest, cette artiste donne des performances de chant de gorge depuis plus de 20 ans, ce qui l’a menée dans plusieurs pays d’Europe et en Amérique du Nord.
D’autre part, l’artiste-peintre Nancy Vincent ne manquera pas d’émouvoir le public avec ses Femmes du monde! exposées simultanément dans la salle.
«Mes œuvres sont là pour sensibiliser les gens à des violences encore faites aujourd’hui aux femmes, de confier l’artiste. Pensons à l’excision d’Africaines, l’assassinat et disparition de femmes autochtones, le renvoi chez elle d’Asiatiques. Toutefois, j’ai aussi tenu à montrer leur caractère et beauté.»
Pour conclure l’événement de manière bien festive, les spectatrices pourront s’emparer de la piste de danse pour la fin de la soirée.
Thème approprié
«Cette année, la vague de dénonciations d’agressions et de harcèlement ont mis en lumière le sexisme ambiant et les rapports inégaux qui perdurent entre les sexes», a souligné Sandra Barios lors du dévoilement de la programmation du spectacle, le 14 février, devant une trentaine d’intervenantes rassemblées au centre communautaire Saint-Joseph.
La Journée internationale des femmes 2018 se déroulera sur le thème «Féministes tant qu’il le faudra.»
«Dénonçons l’impact sexiste des mesures d’austérité, dont les coupes dans les services publics, la commercialisation des services éducatifs à la petite enfance et la discrimination systémique en emploi qui persiste pour toutes les femmes, d’ajouter Fabiola Geneste. Le mouvement féministe continue de lutter pour que tombent toutes ces barrières qui nous freinent.»
Possibilité d’un don
Ces dernières années, dans un esprit de solidarité avec les femmes en situation de vulnérabilité, la TCLCF invite les spectatrices à faire un don, sur une base volontaire, aux trois maisons d’hébergement pour femmes et enfants victimes de violence conjugale de Laval.
Celui-ci doit prendre la forme de produits d’hygiène neufs et scellés: brosse à dents, dentifrice, savon, shampoing, boîtes de serviettes sanitaires ou tampons. Cela n’est pas obligatoire et reste à la discrétion de chacune.
Information sur le souper-spectacle de la Journée internationale des femmes présenté par la TCLCF, le jeudi 15 mars, dès 17h, au Château Royal (3500, boulevard du Souvenir): 450 682-8739 ou www.tclcf.qc.ca.