«Puccini nous plonge dans un polar quasi Hitchcockien avec des personnages remplis d’imperfection, dont l’héroïne qui est loin d’être la jeune fille romantique et fleur bleue», raconte Frédéric-Antoine Guimond, metteur en scène.
Pendant qu’un prisonnier politique se cache dans une église de Rome, le baron et chef de police Scarpia prend plaisir à exciter la jalousie de la bouillante cantatrice Tosca dont le peintre Mario achève le portrait afin de desservir ses sombres desseins.
«Nous sommes en pleine histoire de complot, crime et passion, de continuer Frédéric-Antoine Guimond. On ne se gêne pas pour montrer un désir dénué de sentiments, une femme plus possessive qu’amoureuse et un ténor plutôt coureur de jupons sans toutefois trahir ses idéaux. Avec sa trame dramatique efficace, l’œuvre n’est pas très longue et rythmée notamment par ce que je considère comme les deux plus arias de Puccini.»
Le rôle-titre sera interprété par Brigitte Holleran, alors que Mario sera joué par le ténor Jaime Sandoval et Scarpia par Charles Brocchiero.
«Le public aura droit à un excellent trio, très équilibré, de préciser le metteur en scène. L’art lyrique est un exercice complet et c’est important que les interprètes aillent en ce sens autant dans le jeu que le chant.»
Mentionnons que la soprano Brigitte Holleran a chanté sur plusieurs scènes à Montréal et Moncton, en plus de créer le premier opéra du directeur musical du TALL Sylvain Cooke, Évangéline, en 2013, à Laval et en tournée du côté de la France.
Le Théâtre d’art lyrique, sous la direction de Sylvain Cooke, présente l’opéra «Tosca», de Puccini, mise en scène de Frédéric-Antoine Guimond, les vendredi 16 février, à 20h, et dimanche 18 février, à 14h, au Théâtre Marcellin-Champagnat (1275, avenue du Collège). Information: 450 687-2230.
«Puccini nous plonge dans un polar quasi Hitchcockien avec des personnages remplis d’imperfection, dont l’héroïne qui est loin d’être la jeune fille romantique et fleur bleue», raconte Frédéric-Antoine Guimond, metteur en scène.
Pendant qu’un prisonnier politique se cache dans une église de Rome, le baron et chef de police Scarpia prend plaisir à exciter la jalousie de la bouillante cantatrice Tosca dont le peintre Mario achève le portrait afin de desservir ses sombres desseins.
«Nous sommes en pleine histoire de complot, crime et passion, de continuer Frédéric-Antoine Guimond. On ne se gêne pas pour montrer un désir dénué de sentiments, une femme plus possessive qu’amoureuse et un ténor plutôt coureur de jupons sans toutefois trahir ses idéaux. Avec sa trame dramatique efficace, l’œuvre n’est pas très longue et rythmée notamment par ce que je considère comme les deux plus arias de Puccini.»
Le rôle-titre sera interprété par Brigitte Holleran, alors que Mario sera joué par le ténor Jaime Sandoval et Scarpia par Charles Brocchiero.
«Le public aura droit à un excellent trio, très équilibré, de préciser le metteur en scène. L’art lyrique est un exercice complet et c’est important que les interprètes aillent en ce sens autant dans le jeu que le chant.»
Mentionnons que la soprano Brigitte Holleran a chanté sur plusieurs scènes à Montréal et Moncton, en plus de créer le premier opéra du directeur musical du TALL Sylvain Cooke, Évangéline, en 2013, à Laval et en tournée du côté de la France.
Le Théâtre d’art lyrique, sous la direction de Sylvain Cooke, présente l’opéra «Tosca», de Puccini, mise en scène de Frédéric-Antoine Guimond, les vendredi 16 février, à 20h, et dimanche 18 février, à 14h, au Théâtre Marcellin-Champagnat (1275, avenue du Collège). Information: 450 687-2230.