«L’adolescence est une période tellement charnière, plus difficile encore qu’à mon époque, de confier Stéphan Derome. Si le théâtre peut motiver un jeune et l’aider à continuer de s’accrocher, ça vaut de l’or.»
«Jeune, j’étais très timide, de continuer Marcel Leboeuf qui a grandi à Laval. Jamais je n’aurais pensé faire le même métier que les Marcel Sabourin, Jean-Claude Millette, Denise Morel et André Montmorency que j’admirais dans La Ribouldingue. Si on peut éveiller une vocation théâtrale, ce sera tant mieux!»
En trois temps
L’objectif de cette campagne annuelle de financement est de 75 000 $. Tenu le mercredi 2 mai à la Maison des arts de Laval, l’événement débutera par un cocktail où gens des affaires et personnalités artistiques seront jumelés à chacune des tables. Le repas sera animé par l’acteur Jean-Dominique Leduc.
«Chaque année, nous tenons à rapprocher les deux milieux et démystifier notre mission, en montrant tout l’impact que nous avons sur ces jeunes, indique Mario Borges, directeur général du Théâtre Bluff. Notre compagnie est branchée sur la volonté de la transmission de la passion, de l’art.»
Près de 200 invités issus des milieux scolaire, politique, artistique, des affaires et des médias sont attendus. Le clou de la soirée sera la présentation de la pièce Antioche, la dernière création (2017) de la compagnie.
Signée par Sarah Berthiaume et mise en scène par Martin Faucher, cette pièce de 75 minutes raconte le sort de trois jeunes filles emmurées dans une révolte, entre amitié, fantômes et destination exotique.
Retour aux sources
Pour Marcel Leboeuf, son implication revêt un aspect particulier, lui qui a fréquenté les écoles du Mont-de-La Salle, redoutant la collection d’animaux empaillés de certains frères, et Saint-Maxime, quand son père a déménagé la famille à Laval-des-Rapides.
D’ailleurs, ce père a aujourd’hui 92 ans et il habite toujours l’île Jésus, conduisant encore fièrement sa voiture neuve.
«Je suis ici pour transmettre de la passion, ce qui reste impossible à quantifier, souligne Marcel Leboeuf. L’étincelle peut allumer dans l’immédiat comme un an plus tard. Pour moi, ç’a été des ateliers d’improvisation avec la grande Sophie Clément. Pour eux, ce pourrait être Bluff.»
Pour Stéphan Derome, la voie était tracée, lui qui a pris les rênes de la compagnie familiale A. Derome, à l’âge de 24 ans quand son père est tombé malade. Il n’a jamais regretté d’avoir un destin quasi programmé d’avance, travaillant à faire croître son héritage commercial.
«Là, je veux dire à la communauté d’affaires qu’il y a d’autres réalités dont celle très précieuse du théâtre pour ados», mentionne le président de l’entreprise située montée Saint-Aubin, dans Chomedey.
La soirée-bénéfice 2018 du Théâtre Bluff sera présentée le mercredi 2 mai, à la Maison des arts de Laval (1395, boulevard de la Concorde Ouest). Cocktail d’accueil à 18h, spectacle à 20h15. Information: 450 686-6883.
«L’adolescence est une période tellement charnière, plus difficile encore qu’à mon époque, de confier Stéphan Derome. Si le théâtre peut motiver un jeune et l’aider à continuer de s’accrocher, ça vaut de l’or.»
«Jeune, j’étais très timide, de continuer Marcel Leboeuf qui a grandi à Laval. Jamais je n’aurais pensé faire le même métier que les Marcel Sabourin, Jean-Claude Millette, Denise Morel et André Montmorency que j’admirais dans La Ribouldingue. Si on peut éveiller une vocation théâtrale, ce sera tant mieux!»
En trois temps
L’objectif de cette campagne annuelle de financement est de 75 000 $. Tenu le mercredi 2 mai à la Maison des arts de Laval, l’événement débutera par un cocktail où gens des affaires et personnalités artistiques seront jumelés à chacune des tables. Le repas sera animé par l’acteur Jean-Dominique Leduc.
«Chaque année, nous tenons à rapprocher les deux milieux et démystifier notre mission, en montrant tout l’impact que nous avons sur ces jeunes, indique Mario Borges, directeur général du Théâtre Bluff. Notre compagnie est branchée sur la volonté de la transmission de la passion, de l’art.»
Près de 200 invités issus des milieux scolaire, politique, artistique, des affaires et des médias sont attendus. Le clou de la soirée sera la présentation de la pièce Antioche, la dernière création (2017) de la compagnie.
Signée par Sarah Berthiaume et mise en scène par Martin Faucher, cette pièce de 75 minutes raconte le sort de trois jeunes filles emmurées dans une révolte, entre amitié, fantômes et destination exotique.
Retour aux sources
Pour Marcel Leboeuf, son implication revêt un aspect particulier, lui qui a fréquenté les écoles du Mont-de-La Salle, redoutant la collection d’animaux empaillés de certains frères, et Saint-Maxime, quand son père a déménagé la famille à Laval-des-Rapides.
D’ailleurs, ce père a aujourd’hui 92 ans et il habite toujours l’île Jésus, conduisant encore fièrement sa voiture neuve.
«Je suis ici pour transmettre de la passion, ce qui reste impossible à quantifier, souligne Marcel Leboeuf. L’étincelle peut allumer dans l’immédiat comme un an plus tard. Pour moi, ç’a été des ateliers d’improvisation avec la grande Sophie Clément. Pour eux, ce pourrait être Bluff.»
Pour Stéphan Derome, la voie était tracée, lui qui a pris les rênes de la compagnie familiale A. Derome, à l’âge de 24 ans quand son père est tombé malade. Il n’a jamais regretté d’avoir un destin quasi programmé d’avance, travaillant à faire croître son héritage commercial.
«Là, je veux dire à la communauté d’affaires qu’il y a d’autres réalités dont celle très précieuse du théâtre pour ados», mentionne le président de l’entreprise située montée Saint-Aubin, dans Chomedey.
La soirée-bénéfice 2018 du Théâtre Bluff sera présentée le mercredi 2 mai, à la Maison des arts de Laval (1395, boulevard de la Concorde Ouest). Cocktail d’accueil à 18h, spectacle à 20h15. Information: 450 686-6883.