Les Lavallois ont jusqu’au dimanche 22 avril pour découvrir cette représentation des dispositifs utilisés pour maintenir les animaux enfermés dans des formats aussi diversifiés que ludiques.
«Je recompose ces espaces dans une mise en scène semblable à ce que ces endroits mettent eux-mêmes en œuvre pour représenter de vastes espaces, et ce, dans une tension entre l’architecture froide des cages et ces fresques autant féeriques qu’artificielles», confie Noémie Weinstein, qui habite Montréal depuis six ans.
Références variées
L’artiste de 31 ans a consacré 2 ans à ce projet. Elle a travaillé à partir de ses photographies et d’images glanées sur Internet afin d’illustrer son propos graphique sur une fausse représentation de la liberté.
«J’apporte aussi souvent l’idée du carrelage pour placer les gens dans l’espace intérieur et renforcer ainsi la perspective d’illusion de cette fausse représentation, ajoute Noémie Weinstein. Toutefois, je suis plus dans le questionnement que la critique. Le zoo n’est pas juste mal. Il y a tout un volet de préservation des animaux.»
Le visiteur pourra ainsi croiser le tigre géant à la gueule ouverte servant d’entrée au zoo de Pyongyang, des œuvres aux références à des établissements semblables de Vincennes (Paris) et Chicago, ainsi que des sérigraphies retouchées à la gouache inspirées de l’Aquarium de Québec ou du Biodôme de Montréal. D’autres parcs zoologiques sont inventés en direct de l’imaginaire de l’artiste.
«À ce jour, j’ai souvent travaillé sur les espaces prisonniers, notamment les salles d’attente d’hôpitaux ou grands hôtels de certaines régions du monde avec des barreaux aux fenêtres, soit des espaces ayant l’air accueillants au premier abord, mais qui ne le sont pas du tout», d’ajouter celle qui est originaire de Normandie, en France.
La Maison des arts de Laval est située au 1395, boulevard de la Concorde Ouest. Information: 450 66724440.
Les Lavallois ont jusqu’au dimanche 22 avril pour découvrir cette représentation des dispositifs utilisés pour maintenir les animaux enfermés dans des formats aussi diversifiés que ludiques.
«Je recompose ces espaces dans une mise en scène semblable à ce que ces endroits mettent eux-mêmes en œuvre pour représenter de vastes espaces, et ce, dans une tension entre l’architecture froide des cages et ces fresques autant féeriques qu’artificielles», confie Noémie Weinstein, qui habite Montréal depuis six ans.
Références variées
L’artiste de 31 ans a consacré 2 ans à ce projet. Elle a travaillé à partir de ses photographies et d’images glanées sur Internet afin d’illustrer son propos graphique sur une fausse représentation de la liberté.
«J’apporte aussi souvent l’idée du carrelage pour placer les gens dans l’espace intérieur et renforcer ainsi la perspective d’illusion de cette fausse représentation, ajoute Noémie Weinstein. Toutefois, je suis plus dans le questionnement que la critique. Le zoo n’est pas juste mal. Il y a tout un volet de préservation des animaux.»
Le visiteur pourra ainsi croiser le tigre géant à la gueule ouverte servant d’entrée au zoo de Pyongyang, des œuvres aux références à des établissements semblables de Vincennes (Paris) et Chicago, ainsi que des sérigraphies retouchées à la gouache inspirées de l’Aquarium de Québec ou du Biodôme de Montréal. D’autres parcs zoologiques sont inventés en direct de l’imaginaire de l’artiste.
«À ce jour, j’ai souvent travaillé sur les espaces prisonniers, notamment les salles d’attente d’hôpitaux ou grands hôtels de certaines régions du monde avec des barreaux aux fenêtres, soit des espaces ayant l’air accueillants au premier abord, mais qui ne le sont pas du tout», d’ajouter celle qui est originaire de Normandie, en France.
La Maison des arts de Laval est située au 1395, boulevard de la Concorde Ouest. Information: 450 66724440.