La seule mention au tableau des trois dernières années est le 1,5 M$ consenti à la rénovation de la salle André-Mathieu
«Il y a un rattrapage à faire en culture à Laval et le maire Demers le dit, révèle Francine Charbonneau. Mais le rattrapage ne se réalisera pas à la vitesse grand V! Il faut faire valoir les besoins de la population et nous avons commencé à parler de projets. Il est toutefois encore trop tôt pour en divulguer la teneur.»
Cependant, les 46 M$ attribués pour la construction de la Place Bell touchent par ricochet la culture puisque des spectacles sont à prévoir dans l’amphithéâtre de la rue Claude-Gagné. «Et ça attiré un club de hockey! C’est un projet qui a été travaillé de longue haleine et un investissement exceptionnel non récurrent», dit l’élue au sujet de ce bâtiment de 10 000 sièges et 2 patinoires.
Réseau routier
En tête de liste des dollars saupoudrés sur le territoire viennent les 58,2 M$ injectés dans le réseau routier au cours de la période 2017-2019. Les usines de filtration ont aussi eu leur part du gâteau avec 46,8 M$, utilisés dans la mise à niveau des installations de Chomedey, Pont-Viau et Sainte-Rose.
Côté éducation, la Commissions scolaire de Laval a reçu plus de 30 M$ pour la construction, l’agrandissement ou le réaménagement de cinq établissements, alors que le Collège Montmorency s’est agrandi au coût de 4,8 M$, afin d’accueillir encore plus d’étudiants.
L’implantation des mesures préférentielles pour bus de la Société de transport a elle aussi bénéficié du support financier du provincial, à hauteur de 23,5 M$.
Logement, santé et nature
En matière de logements sociaux, les paliers provincial et fédéral se sont donné la main pour assurer la reconstruction de 124 logements dans les Immeubles Val-Martin (18,2 M$) et tout récemment, le ministre Gaétan Barrette était de passage à Laval pour annoncer la création de 224 places et l’ajout d’effectifs dans les CHSLD (12,4 M$)
Finalement, 2,5 M$ ont été octroyés à la Ville afin de permettre les travaux d’aménagement du nouveau pavillon d’accueil au Parc de la Rivière-des-Mille-Îles.
«C’est difficile de trouver une fierté pour un investissement en particulier, mais on a un orgueil pour le transport en commun. À Laval, on a développé de l’expertise en électrification et on a fait des avancés avec des projets. Le citoyen qui attend l’autobus sur le coin de la rue, il est couvert et sur son cellulaire, il peut regarder s’il y a du retard. C’est une innovation qu’on ne retrouve pas partout au Québec», mentionne Francine Charbonneau.
Petits investissements
Si dans son bilan la ministre fait ressortir les investissements le plus imposants, elle accorde aussi une importance à ceux moins élevés en dollars, mais tout aussi nécessaires dans une communauté.
«Je pense à ceux qui ont été faits auprès d’organismes aidant les réfugiés syriens, par exemple. C’est Laval qui a accueilli le plus de familles dans la province et il fallait qu’elles soient bien installées et pas isolées. Nous n’avons pas investi des millions, mais on a fait toute une différence. Un 45 000 $ par ci et un 60 000 $ par-là peuvent donner du souffle à des regroupements», conclut-elle.
La seule mention au tableau des trois dernières années est le 1,5 M$ consenti à la rénovation de la salle André-Mathieu
«Il y a un rattrapage à faire en culture à Laval et le maire Demers le dit, révèle Francine Charbonneau. Mais le rattrapage ne se réalisera pas à la vitesse grand V! Il faut faire valoir les besoins de la population et nous avons commencé à parler de projets. Il est toutefois encore trop tôt pour en divulguer la teneur.»
Cependant, les 46 M$ attribués pour la construction de la Place Bell touchent par ricochet la culture puisque des spectacles sont à prévoir dans l’amphithéâtre de la rue Claude-Gagné. «Et ça attiré un club de hockey! C’est un projet qui a été travaillé de longue haleine et un investissement exceptionnel non récurrent», dit l’élue au sujet de ce bâtiment de 10 000 sièges et 2 patinoires.
Réseau routier
En tête de liste des dollars saupoudrés sur le territoire viennent les 58,2 M$ injectés dans le réseau routier au cours de la période 2017-2019. Les usines de filtration ont aussi eu leur part du gâteau avec 46,8 M$, utilisés dans la mise à niveau des installations de Chomedey, Pont-Viau et Sainte-Rose.
Côté éducation, la Commissions scolaire de Laval a reçu plus de 30 M$ pour la construction, l’agrandissement ou le réaménagement de cinq établissements, alors que le Collège Montmorency s’est agrandi au coût de 4,8 M$, afin d’accueillir encore plus d’étudiants.
L’implantation des mesures préférentielles pour bus de la Société de transport a elle aussi bénéficié du support financier du provincial, à hauteur de 23,5 M$.
Logement, santé et nature
En matière de logements sociaux, les paliers provincial et fédéral se sont donné la main pour assurer la reconstruction de 124 logements dans les Immeubles Val-Martin (18,2 M$) et tout récemment, le ministre Gaétan Barrette était de passage à Laval pour annoncer la création de 224 places et l’ajout d’effectifs dans les CHSLD (12,4 M$)
Finalement, 2,5 M$ ont été octroyés à la Ville afin de permettre les travaux d’aménagement du nouveau pavillon d’accueil au Parc de la Rivière-des-Mille-Îles.
«C’est difficile de trouver une fierté pour un investissement en particulier, mais on a un orgueil pour le transport en commun. À Laval, on a développé de l’expertise en électrification et on a fait des avancés avec des projets. Le citoyen qui attend l’autobus sur le coin de la rue, il est couvert et sur son cellulaire, il peut regarder s’il y a du retard. C’est une innovation qu’on ne retrouve pas partout au Québec», mentionne Francine Charbonneau.
Petits investissements
Si dans son bilan la ministre fait ressortir les investissements le plus imposants, elle accorde aussi une importance à ceux moins élevés en dollars, mais tout aussi nécessaires dans une communauté.
«Je pense à ceux qui ont été faits auprès d’organismes aidant les réfugiés syriens, par exemple. C’est Laval qui a accueilli le plus de familles dans la province et il fallait qu’elles soient bien installées et pas isolées. Nous n’avons pas investi des millions, mais on a fait toute une différence. Un 45 000 $ par ci et un 60 000 $ par-là peuvent donner du souffle à des regroupements», conclut-elle.