Les citoyens désirent que ce nouveau site soit un endroit verdoyant où arbres, fleurs et zones ombragées sont présents. Qu’il soit aussi un lieu de repos et de rencontre avec des bancs, des tables à pique-nique, des fontaines d’eau, un stationnement pour les vélos et des toilettes. Finalement, ils souhaitent pouvoir y jouer, que ce soit dans des jeux d’eau, modules de jeux, aire de glisse, basket-ball, mini soccer ou patinoire. Ces éléments se retrouvent au cœur de la proposition d’aménagement présentée.
La Ville et la CSDL semblent avoir dissipé les inquiétudes de la quarantaine de citoyens ayant assisté à cette dernière rencontre d’information. On se souvient que les résidents du quartier avaient pu exprimer leurs besoins pour les activités et équipements lors de deux autres rencontres, les 15 et 29 janvier.
À l’écoute
Roxane Borgès-Da Silva, citoyenne engagée, est à l’origine de la mobilisation et des nombreuses démarches menant à ces consultations publiques. Elle affirme que la Ville et la CSDL ont écouté les citoyens. «Nous avions trois éléments d’inquiétude: le nombre de cases de stationnement, la circulation et la location du gymnase aux organismes, précise Mme Borgès-Da Silva. Ils ont fait leur travail.»
Le nombre de cases de stationnement passera de 102 à 84. Des mesures d’apaisement, comme des dos d’âne, ont été proposées pour faciliter la circulation et rendre l’endroit sécuritaire. Enfin, la location du gymnase après les heures de classe sera gratuite pour les organismes.
«J’ai quand même encore deux inquiétudes, ajoute-t-elle. La circulation pose problème et la solvabilité de ce beau projet est-elle réaliste? Combien ça va coûter?»
Mme Borgès-Da Silva admet que son travail de mobilisation a porté ses fruits. «Ce sera sans doute le plus beau parc-école de Laval. Ça fera des jaloux.»
Prêt pour la rentrée 2019
Pour sa part, Daniel Hébert, conseiller municipal de Marigot, mentionne que les demandes des participants ont été entendues et les futurs élèves pourront bénéficier d’une école moderne et stimulante dès septembre 2019. Pour sa part, Louise Lortie, présidente de la CSDL, rappelle que cette démarche s’inscrit dans sa vision de faire de l’école un lieu de rassemblement pour toute la communauté. «Nous contribuons à faire de l’école un milieu de vie stimulant qui favorise la réussite, mais aussi, une vie de quartier dynamique et inclusive.»
Une occasion manquée
Le chef de l’opposition officielle, Michel Trottier, a réagi par voie de communiqué. Il juge que la proposition d’aménagement du parc-école de Cluny manque de vision et de cohérence en allant à l’encontre de la politique de mobilité active de la Ville. Il réitère que les parcs et les espaces verts devraient être protégés en tout temps.
«Les citoyens ont été mis devant le fait accompli en perdant plus de la moitié de leur parc de quartier, déplore-t-il. Malgré les efforts de la Ville, il n’en demeure pas moins qu’un nouvel îlot de chaleur verra le jour dans ce secteur.»
Enfin, M. Trottier est d’avis que la Ville a manqué une opportunité de favoriser le transport actif en proposant un stationnement de 84 places pour le personnel de l’école.
Le plan d’aménagement présenté est disponible en ligne sur repensonslaval.ca/cluny
Les citoyens désirent que ce nouveau site soit un endroit verdoyant où arbres, fleurs et zones ombragées sont présents. Qu’il soit aussi un lieu de repos et de rencontre avec des bancs, des tables à pique-nique, des fontaines d’eau, un stationnement pour les vélos et des toilettes. Finalement, ils souhaitent pouvoir y jouer, que ce soit dans des jeux d’eau, modules de jeux, aire de glisse, basket-ball, mini soccer ou patinoire. Ces éléments se retrouvent au cœur de la proposition d’aménagement présentée.
La Ville et la CSDL semblent avoir dissipé les inquiétudes de la quarantaine de citoyens ayant assisté à cette dernière rencontre d’information. On se souvient que les résidents du quartier avaient pu exprimer leurs besoins pour les activités et équipements lors de deux autres rencontres, les 15 et 29 janvier.
À l’écoute
Roxane Borgès-Da Silva, citoyenne engagée, est à l’origine de la mobilisation et des nombreuses démarches menant à ces consultations publiques. Elle affirme que la Ville et la CSDL ont écouté les citoyens. «Nous avions trois éléments d’inquiétude: le nombre de cases de stationnement, la circulation et la location du gymnase aux organismes, précise Mme Borgès-Da Silva. Ils ont fait leur travail.»
Le nombre de cases de stationnement passera de 102 à 84. Des mesures d’apaisement, comme des dos d’âne, ont été proposées pour faciliter la circulation et rendre l’endroit sécuritaire. Enfin, la location du gymnase après les heures de classe sera gratuite pour les organismes.
«J’ai quand même encore deux inquiétudes, ajoute-t-elle. La circulation pose problème et la solvabilité de ce beau projet est-elle réaliste? Combien ça va coûter?»
Mme Borgès-Da Silva admet que son travail de mobilisation a porté ses fruits. «Ce sera sans doute le plus beau parc-école de Laval. Ça fera des jaloux.»
Prêt pour la rentrée 2019
Pour sa part, Daniel Hébert, conseiller municipal de Marigot, mentionne que les demandes des participants ont été entendues et les futurs élèves pourront bénéficier d’une école moderne et stimulante dès septembre 2019. Pour sa part, Louise Lortie, présidente de la CSDL, rappelle que cette démarche s’inscrit dans sa vision de faire de l’école un lieu de rassemblement pour toute la communauté. «Nous contribuons à faire de l’école un milieu de vie stimulant qui favorise la réussite, mais aussi, une vie de quartier dynamique et inclusive.»
Une occasion manquée
Le chef de l’opposition officielle, Michel Trottier, a réagi par voie de communiqué. Il juge que la proposition d’aménagement du parc-école de Cluny manque de vision et de cohérence en allant à l’encontre de la politique de mobilité active de la Ville. Il réitère que les parcs et les espaces verts devraient être protégés en tout temps.
«Les citoyens ont été mis devant le fait accompli en perdant plus de la moitié de leur parc de quartier, déplore-t-il. Malgré les efforts de la Ville, il n’en demeure pas moins qu’un nouvel îlot de chaleur verra le jour dans ce secteur.»
Enfin, M. Trottier est d’avis que la Ville a manqué une opportunité de favoriser le transport actif en proposant un stationnement de 84 places pour le personnel de l’école.
Le plan d’aménagement présenté est disponible en ligne sur repensonslaval.ca/cluny