Les deux individus sont actuellement détenus et rencontrés par les enquêteurs. Au moment d’écrire ces lignes, il était encore trop tôt pour déterminer si le duo serait relâché avec promesse de comparaître ou resterait détenu jusqu’à son passage au palais de justice, prévu pour le mois de juin.
Ces arrestations découlent d’une perquisition que le corps policier avait effectué le 14 mars 2017, dans les bureaux du Syndicat de la STL, avenue Francis-Hughes. Des documents couvrant la période 2004-2015 étaient alors d’un grand intérêt pour les enquêteurs.
Comme les deux suspects n’ont pas encore été formellement accusés, leur identité reste toujours inconnue. Selon les informations recueillies auprès de la Police, des fonds syndicaux auraient été détournés par des subterfuges, une firme de juricomptables ayant découvert le pot aux roses en analysant les documents soumis par les forces de l’ordre.
Les deux individus sont actuellement détenus et rencontrés par les enquêteurs. Au moment d’écrire ces lignes, il était encore trop tôt pour déterminer si le duo serait relâché avec promesse de comparaître ou resterait détenu jusqu’à son passage au palais de justice, prévu pour le mois de juin.
Ces arrestations découlent d’une perquisition que le corps policier avait effectué le 14 mars 2017, dans les bureaux du Syndicat de la STL, avenue Francis-Hughes. Des documents couvrant la période 2004-2015 étaient alors d’un grand intérêt pour les enquêteurs.
Comme les deux suspects n’ont pas encore été formellement accusés, leur identité reste toujours inconnue. Selon les informations recueillies auprès de la Police, des fonds syndicaux auraient été détournés par des subterfuges, une firme de juricomptables ayant découvert le pot aux roses en analysant les documents soumis par les forces de l’ordre.