Le 15 janvier, le Centre de formation l’Impulsion de Laval a dû suspendre ses cours en raison d’un «problème d’eau» dû au froid durant une journée. Un autre événement similaire s’est produit à l’École hôtelière de Laval où un bris mécanique a causé un dégât d’eau dans le temps des fêtes. Ces cas sont dus à des tuyaux qui ont gelé et ensuite explosé.
«Nous avons 86 écoles réparties dans 110 bâtiments à la grandeur de la ville. Avec la vague de froid extrême durant la période des fêtes, nous avons été relativement chanceux d’en avoir seulement deux de touchés», explique le porte-parole de la CSDL, Jean-Pierre Archambault.
Il admet que la prévention dont a fait preuve l’équipe de maintenance de la CSDL a permis d’avoir peu de conséquences négatives sur les différents bâtiments. «On est content dans les circonstances, raconte-t-il. Ces dégâts d’eau sont dus au grand froid. On a réparé et fait des ajustements au niveau de la tuyauterie.»
Enfin, Jean-Pierre Archambault précise qu’il arrive souvent des situations problématiques durant la période des fêtes, alors que les établissements sont inoccupés. «C’est pour cela que nous avons un plan de maintenance important. On s’assure de limiter les enjeux problématiques.»
Le 15 janvier, le Centre de formation l’Impulsion de Laval a dû suspendre ses cours en raison d’un «problème d’eau» dû au froid durant une journée. Un autre événement similaire s’est produit à l’École hôtelière de Laval où un bris mécanique a causé un dégât d’eau dans le temps des fêtes. Ces cas sont dus à des tuyaux qui ont gelé et ensuite explosé.
«Nous avons 86 écoles réparties dans 110 bâtiments à la grandeur de la ville. Avec la vague de froid extrême durant la période des fêtes, nous avons été relativement chanceux d’en avoir seulement deux de touchés», explique le porte-parole de la CSDL, Jean-Pierre Archambault.
Il admet que la prévention dont a fait preuve l’équipe de maintenance de la CSDL a permis d’avoir peu de conséquences négatives sur les différents bâtiments. «On est content dans les circonstances, raconte-t-il. Ces dégâts d’eau sont dus au grand froid. On a réparé et fait des ajustements au niveau de la tuyauterie.»
Enfin, Jean-Pierre Archambault précise qu’il arrive souvent des situations problématiques durant la période des fêtes, alors que les établissements sont inoccupés. «C’est pour cela que nous avons un plan de maintenance important. On s’assure de limiter les enjeux problématiques.»