Plus de 5000 personnes ont voté pour lui. Il annoncera donc les buts et les pénalités du club-école des Canadiens et de leurs visiteurs dès le 6 octobre, jour du match inaugural.
«J’ai toujours cru en mes chances même si je n’ai pas un grand réseau de contacts, lance humblement le vainqueur du concours dans une entrevue accordée au Courrier Laval. J’avais une stratégie et je me suis donné à fond dans cette aventure en faisant du porte à porte.
«J’étais dans la piscine quand Vincent Lucier, président de la Place Bell, m’a annoncé la bonne nouvelle, enchaîne-t-il. Lors de son appel téléphonique, il ne me l’a pas dit immédiatement que j’avais gagné. Quand il m’a signifié d’être prêt le 6 octobre, je ne touchais plus au fond de la piscine.»
Michel Lacroix, la voix du Tricolore, a remis un chandail du Rocket au gagnant avant de se diriger derrière le banc des pénalités et signer l’entente d’une saison, le 13 juin.
Un beau défi
Comment envisage-t-il sa première journée à son poste d’annonceur? «J’aurai beaucoup de sueur sous les bras», admet-il avec humour. Ce sera un challenge extraordinaire. Je suis très bien encadré et je souhaite apporter une belle énergie.»
Il y a une dizaine d’années, Claudio avait rencontré Michel Lacroix au Centre Bell lors d’une journée avec les enfants et les joueurs des Canadiens de Montréal. Il lui avait alors dit sans prétention qu’il aimerait un jour avoir le poste d’annonceur des Canadiens. «Il a dit qu’il me le souhaitait. Ce que j’ai retenu de notre conversation, c’est qu’il a insisté sur le fait d’avoir du plaisir. C’est ce que je vais faire à la barre du Rocket.»
Candidat numéro 9
Claudio avait le numéro 9 parmi les candidats, soit celui de Maurice Richard. Est-ce que cela lui a porté chance? «Je pense que oui. Le numéro 9 était sans doute un numéro de prédilection.»
Plus de 300 personnes avaient posé leur candidature, alors que 4 finalistes ont été retenus. Outre le gagnant, Guy Aubry, Charles-Étienne Auger et Frédéric Abaji étaient les autres finalistes. Michel Lacroix a passé les auditions au quatuor, qui devait annoncer un but et le choix des trois étoiles.
Des Comètes au Rocket
Claudio est une figure connue à Laval. De 2013 à 2015, il a été la voix de la formation féminine semi-professionnelle des Comètes de Laval, de la W-League, au Complexe sportif Bois-de-Boulogne.
L’homme de 47 ans de Duvernay fait partie de la Chambre de commerce de Laval. Il a créé son entreprise de Voice Over. «Je pense que ma polyvalence dans les voix a plu au Rocket.»
Il rêve aux JO
Narrateur de profession, il croit que de présenter sa candidature pour ce poste est un parcours essentiel pour arriver à réaliser son rêve devenir annonceur aux Jeux olympiques.
«J’ai plusieurs rêves, mais celui d’être annonceur pour le Rocket est devenu une réalité.»
À sa retraite, il envisage de prêter sa voix aux Jeux olympiques. Il aimerait annoncer les parties de hockey luge. «Ça me fascine ce sport», termine-t-il.
Plus de 5000 personnes ont voté pour lui. Il annoncera donc les buts et les pénalités du club-école des Canadiens et de leurs visiteurs dès le 6 octobre, jour du match inaugural.
«J’ai toujours cru en mes chances même si je n’ai pas un grand réseau de contacts, lance humblement le vainqueur du concours dans une entrevue accordée au Courrier Laval. J’avais une stratégie et je me suis donné à fond dans cette aventure en faisant du porte à porte.
«J’étais dans la piscine quand Vincent Lucier, président de la Place Bell, m’a annoncé la bonne nouvelle, enchaîne-t-il. Lors de son appel téléphonique, il ne me l’a pas dit immédiatement que j’avais gagné. Quand il m’a signifié d’être prêt le 6 octobre, je ne touchais plus au fond de la piscine.»
Michel Lacroix, la voix du Tricolore, a remis un chandail du Rocket au gagnant avant de se diriger derrière le banc des pénalités et signer l’entente d’une saison, le 13 juin.
Un beau défi
Comment envisage-t-il sa première journée à son poste d’annonceur? «J’aurai beaucoup de sueur sous les bras», admet-il avec humour. Ce sera un challenge extraordinaire. Je suis très bien encadré et je souhaite apporter une belle énergie.»
Il y a une dizaine d’années, Claudio avait rencontré Michel Lacroix au Centre Bell lors d’une journée avec les enfants et les joueurs des Canadiens de Montréal. Il lui avait alors dit sans prétention qu’il aimerait un jour avoir le poste d’annonceur des Canadiens. «Il a dit qu’il me le souhaitait. Ce que j’ai retenu de notre conversation, c’est qu’il a insisté sur le fait d’avoir du plaisir. C’est ce que je vais faire à la barre du Rocket.»
Candidat numéro 9
Claudio avait le numéro 9 parmi les candidats, soit celui de Maurice Richard. Est-ce que cela lui a porté chance? «Je pense que oui. Le numéro 9 était sans doute un numéro de prédilection.»
Plus de 300 personnes avaient posé leur candidature, alors que 4 finalistes ont été retenus. Outre le gagnant, Guy Aubry, Charles-Étienne Auger et Frédéric Abaji étaient les autres finalistes. Michel Lacroix a passé les auditions au quatuor, qui devait annoncer un but et le choix des trois étoiles.
Des Comètes au Rocket
Claudio est une figure connue à Laval. De 2013 à 2015, il a été la voix de la formation féminine semi-professionnelle des Comètes de Laval, de la W-League, au Complexe sportif Bois-de-Boulogne.
L’homme de 47 ans de Duvernay fait partie de la Chambre de commerce de Laval. Il a créé son entreprise de Voice Over. «Je pense que ma polyvalence dans les voix a plu au Rocket.»
Il rêve aux JO
Narrateur de profession, il croit que de présenter sa candidature pour ce poste est un parcours essentiel pour arriver à réaliser son rêve devenir annonceur aux Jeux olympiques.
«J’ai plusieurs rêves, mais celui d’être annonceur pour le Rocket est devenu une réalité.»
À sa retraite, il envisage de prêter sa voix aux Jeux olympiques. Il aimerait annoncer les parties de hockey luge. «Ça me fascine ce sport», termine-t-il.