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Les sœurs Marilou B. Dupuis et Emmanuelle B. Dupuis ont marqué la scène provinciale du plongeon il y a quelques années. En 2007, les Dupuis se signalent encore. Cette fois-ci, c’est au tour de Gabrielle Sandor-Dupuis et Emmanuelle B. Dupuis de briller.
The Laval-native teams were unable to get their hands on the Dodge Cup, the emblem of supremacy in minor hockey in Quebec. However, Laval shone by bringing back four medals from the most recent provincial Championships played out in the areas of Saguenay Lac St-Jean and the Côte Nord, from April 9th to 13th.
Les déneigeurs de Fabreville ne portent pas Déneigement Avalanche dans leur coeur. Le représentant qui a signé les contrats pour la compagnie de Pointe-Claire non plus.
Le rapport de la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) relativement à l’accident de travail qui a gravement blessé une jeune employée de l’usine Cascades Groupe Tissus de Laval, en juin dernier, ne contient rien de très flatteur pour l’entreprise.
Propriétaire des lieux depuis janvier 2006, Luigi Liberatore souhaite que le débat entourant l’avenir de l’île Saint-Joseph se fasse de façon «constructive et intelligente».
Les Lavallois n’ont pas manqué de travail en 2007, puisque la région a affiché, l’an dernier, le plus bas taux de chômage au Québec avec un score record de 5,1%. Elle répète ainsi l’exploit qu’avait réalisé la région Chaudière-Appalaches en 1989.
Vous connaissez sans doute Eddy et Steve du restaurant Le Village Grec, situé sur le boulevard Samson? Dans le but…
L’organisme sportif Hockey région Laval a intronisé neuf personnes ayant marqué la scène du hockey lavallois au cours des dernières années. Deux membres de l’association du hockey mineur l’Express de Laval, Éric Dazé et André Massicotte, ont été intronisés au Temple de la renommée du hockey lavallois, lors du banquet soulignant le 30e anniversaire de l’organisme au Buffet Lazio, le 7 décembre.
Un chevreuil a connu un après-midi pour le moins bouleversant, samedi, après que le destin l’ait envoyé dans les rues de Saint-Vincent-de-Paul.
Un camion après l’autre, à partir de 7 heures le matin jusqu’à 19 heures: c’est le lot quotidien de Lucie Groleau et Maurice Perron, qui exploitent la ferme de chevaux Bonanza, sur le chemin de l’Équerre. L’activité qui trouble la quiétude du couple depuis cinq mois pourrait bien être illégale.