«Quand on magasine son financement, il est nécessaire de connaître ses chiffres sur le bout de nos doigts et savoir vulgariser son projet, de prévenir Marc St-Gelais, conseiller principal financement-conseil chez Développement économique Laval. Un banquier n’est pas un scientifique!»
Le principe de base à respecter: arriver avec un montage financier et des prévisions budgétaires réalistes.
«Il n’y a rien de pire que de demander plus d’argent trois mois plus tard parce qu’on s’est mal préparé», de spécifier M. St-Gelais.
Institution bancaire
La première porte où cogner demeure sa banque ou caisse populaire. «Ces gens nous connaissent depuis longtemps, ils comprendront souvent mieux notre projet, sans négliger qu’un prêt traditionnel demeurera toujours moins dispendieux, avec un taux plus intéressant, de dire Marc St-Gelais. Quoiqu’en retour, les conditions seront plus rigides, le risque étant réduit au minimum.»
D’ordinaire, un conseiller de compte personnel recommandera l’entrepreneur à un collègue du compte commercial. Parce que le client n’est pas un inconnu pour eux, ces gens seront plus proactifs et défendront mieux son projet si les choses vont moins bien.
Sources gouvernementales
D’autres d’institutions peuvent supporter un démarrage ou une expansion en acceptant un risque plus grand et des conditions plus flexibles, que ce soit la Banque de développement du Canada ou Investissement Québec.
Développement économique Laval propose aussi divers programmes et un accompagnement personnalisé à toutes les étapes d’une démarche de financement.
Dans cette danse des acronymes, il est bon de se renseigner sur le Fonds local d’investissement (FLI) qui peut octroyer un prêt annuel allant jusqu’à 150 000 $, ainsi que le Fonds local de solidarité Laval (FLSL), qui est géré par un conseil d’administration en collaboration avec la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ).
Le Fonds d’économie sociale (FES, jusqu’à 75 000 $) et Fonds Jeune promoteur (FJP, pour 35 ans et moins), dont les subventions proviennent de la Ville de Laval, tout comme le programme de Soutien aux travailleurs autonomes (STA) d’Emploi Québec restent aussi un outil judicieux.
«Pour le FLI, notre rôle de créateur d’emploi sur le territoire lavallois nous autorise à prendre plus de risques que d’autres organismes, de souligner André Hubert, directeur adjoint au Développement des entreprises et entrepreneuriat chez Développement économique Laval. Concernant le FJP, on n’a pas tous le même patrimoine familial et ce fonds permet au jeune d’avoir une mise de fonds solide. Mais il y a des règles, bien sûr.»
«La plupart du temps, nous sommes là pour compléter le montage financier, ce que ne peut assurer une institution bancaire, de continuer Marc St-Gelais. Nous pouvons diriger la personne vers la source la plus appropriée de financement et même participer aux rencontres pour l’aider à expliquer son projet.»
Notons que des programmes plus spécifiques existent pour un projet en environnement ou pour des personnes handicapées ou immigrantes.
Autres conseils
Capital de risque, facturage, crédit-bail, strapbooting, d’autres exercices sont possiblement de mise pour bien réussir son entrée sur le marché des affaires.
«Il peut être judicieux de réduire au maximum nos coûts de fonctionnement, mentionne Marc St-Gelais. Dans la vie comme en entreprise, il est important de respirer pour pouvoir se donner du recul et s’ajuster avec notre projet.»
«Quand on magasine son financement, il est nécessaire de connaître ses chiffres sur le bout de nos doigts et savoir vulgariser son projet, de prévenir Marc St-Gelais, conseiller principal financement-conseil chez Développement économique Laval. Un banquier n’est pas un scientifique!»
Le principe de base à respecter: arriver avec un montage financier et des prévisions budgétaires réalistes.
«Il n’y a rien de pire que de demander plus d’argent trois mois plus tard parce qu’on s’est mal préparé», de spécifier M. St-Gelais.
Institution bancaire
La première porte où cogner demeure sa banque ou caisse populaire. «Ces gens nous connaissent depuis longtemps, ils comprendront souvent mieux notre projet, sans négliger qu’un prêt traditionnel demeurera toujours moins dispendieux, avec un taux plus intéressant, de dire Marc St-Gelais. Quoiqu’en retour, les conditions seront plus rigides, le risque étant réduit au minimum.»
D’ordinaire, un conseiller de compte personnel recommandera l’entrepreneur à un collègue du compte commercial. Parce que le client n’est pas un inconnu pour eux, ces gens seront plus proactifs et défendront mieux son projet si les choses vont moins bien.
Sources gouvernementales
D’autres d’institutions peuvent supporter un démarrage ou une expansion en acceptant un risque plus grand et des conditions plus flexibles, que ce soit la Banque de développement du Canada ou Investissement Québec.
Développement économique Laval propose aussi divers programmes et un accompagnement personnalisé à toutes les étapes d’une démarche de financement.
Dans cette danse des acronymes, il est bon de se renseigner sur le Fonds local d’investissement (FLI) qui peut octroyer un prêt annuel allant jusqu’à 150 000 $, ainsi que le Fonds local de solidarité Laval (FLSL), qui est géré par un conseil d’administration en collaboration avec la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ).
Le Fonds d’économie sociale (FES, jusqu’à 75 000 $) et Fonds Jeune promoteur (FJP, pour 35 ans et moins), dont les subventions proviennent de la Ville de Laval, tout comme le programme de Soutien aux travailleurs autonomes (STA) d’Emploi Québec restent aussi un outil judicieux.
«Pour le FLI, notre rôle de créateur d’emploi sur le territoire lavallois nous autorise à prendre plus de risques que d’autres organismes, de souligner André Hubert, directeur adjoint au Développement des entreprises et entrepreneuriat chez Développement économique Laval. Concernant le FJP, on n’a pas tous le même patrimoine familial et ce fonds permet au jeune d’avoir une mise de fonds solide. Mais il y a des règles, bien sûr.»
«La plupart du temps, nous sommes là pour compléter le montage financier, ce que ne peut assurer une institution bancaire, de continuer Marc St-Gelais. Nous pouvons diriger la personne vers la source la plus appropriée de financement et même participer aux rencontres pour l’aider à expliquer son projet.»
Notons que des programmes plus spécifiques existent pour un projet en environnement ou pour des personnes handicapées ou immigrantes.
Autres conseils
Capital de risque, facturage, crédit-bail, strapbooting, d’autres exercices sont possiblement de mise pour bien réussir son entrée sur le marché des affaires.
«Il peut être judicieux de réduire au maximum nos coûts de fonctionnement, mentionne Marc St-Gelais. Dans la vie comme en entreprise, il est important de respirer pour pouvoir se donner du recul et s’ajuster avec notre projet.»