«Strauss demeure un incontournable de l’opérette, de confier Simon Fournier, directeur artistique et musical de l’OBQ depuis 2001. Cette œuvre est une histoire d’amour s’attardant à la naissance d’un héros sur une musique très somptueuse et sincère. Si certains airs accentuent la comédie, elle est rarement loufoque.»
«L’humour passe surtout dans les dialogues, de continuer le metteur en scène, Yvon Bilodeau. Tout se passe dans un marais habité par des Tziganes et dont hérite le héros qu’ils choisiront pour leader. Il y a un rapport de force et à la guerre intéressant qui mène à une réconciliation réjouissante.»
L’argument
L’action débute quand Sandor Barinkay, le baron tzigane, apprend qu’il peut tenter de récupérer ses terres et le trésor caché par son père il y a 20 ans. Ces derniers ont été volés par Zsupan, riche éleveur de porcs. S’ajoutent à ce conflit, un jeu de jalousies et rivalités autour de deux femmes, Arséna, la fille de Zsupan, et Saffi, une belle bohémienne qui est la fille du dernier pacha de Hongrie. La guerre survient en Hongrie et les hommes des deux camps y sont enrôlés.
Les armées seront victorieuses. Les bohémiens, avec Sandor à leur tête, se feront décorer pour leur bravoure dans un heureux dénouement.
Trio d’interprètes
Parmi les solistes, le public retrouvera le comédien bien connu Richard Fréchette (Carnero), ainsi que les jeunes talents hautement prometteurs Ruben Shaym Brutus (Barinkay, Le Baron) et Audrey Larose-Zicat (Saffi).
«Je suis un politicien défenseur du droit et de la morale, s’amuse à clamer Richard Fréchette. L’ordre passe par moi qui deviens ainsi le contrepoint à ces jouvenceaux voulant s’émanciper. J’adore Carnero, car c’est un contre-emploi pour moi.»
«Le personnage de Barinkay est imposant avec tout ce que je dois communiquer sur scène, de souligner Ruben Shaym Brutus. Musicalement, tous les registres sont exploités avec des airs facilement reconnaissables pour les gens.»
«Ma bohémienne gentille et introvertie va se transformer en défenderesse des valeurs humanistes de son peuple, d’ajouter Audrey Larose-Zicat. J’adore l’humour franc et direct de ce livret, sans compter la musique puissante où l’on reconnaît le style de Strauss avec la valse viennoise qui revient souvent sous toutes ses couleurs.»
Frédérique Drolet (Arséna), Éric Thériault (Zsupan), Rachèle Tremblay (Czipra), Arminè Kassabian (Mirabella), Guillaume Beaudoin (Ottokar) et Dominic Lorange (Homonay) complètent la distribution, aux côtés d’un chœur de 30 personnes et un orchestre de 12 musiciens entourant le pianiste Giancarlo Scalia.
L’Opéra Bouffe du Québec présente «Le Baron Tzigane», de Johann Strauss jr, mise en scène d’Yvon Bilodeau, les 10, 11 et 17 novembre, à 20h, ainsi que les 12, 18 et 19 novembre, à 15h, à la Maison des arts de Laval (1395, boulevard de la Concorde Ouest). Information: 450 667-2040.
«Strauss demeure un incontournable de l’opérette, de confier Simon Fournier, directeur artistique et musical de l’OBQ depuis 2001. Cette œuvre est une histoire d’amour s’attardant à la naissance d’un héros sur une musique très somptueuse et sincère. Si certains airs accentuent la comédie, elle est rarement loufoque.»
«L’humour passe surtout dans les dialogues, de continuer le metteur en scène, Yvon Bilodeau. Tout se passe dans un marais habité par des Tziganes et dont hérite le héros qu’ils choisiront pour leader. Il y a un rapport de force et à la guerre intéressant qui mène à une réconciliation réjouissante.»
L’argument
L’action débute quand Sandor Barinkay, le baron tzigane, apprend qu’il peut tenter de récupérer ses terres et le trésor caché par son père il y a 20 ans. Ces derniers ont été volés par Zsupan, riche éleveur de porcs. S’ajoutent à ce conflit, un jeu de jalousies et rivalités autour de deux femmes, Arséna, la fille de Zsupan, et Saffi, une belle bohémienne qui est la fille du dernier pacha de Hongrie. La guerre survient en Hongrie et les hommes des deux camps y sont enrôlés.
Les armées seront victorieuses. Les bohémiens, avec Sandor à leur tête, se feront décorer pour leur bravoure dans un heureux dénouement.
Trio d’interprètes
Parmi les solistes, le public retrouvera le comédien bien connu Richard Fréchette (Carnero), ainsi que les jeunes talents hautement prometteurs Ruben Shaym Brutus (Barinkay, Le Baron) et Audrey Larose-Zicat (Saffi).
«Je suis un politicien défenseur du droit et de la morale, s’amuse à clamer Richard Fréchette. L’ordre passe par moi qui deviens ainsi le contrepoint à ces jouvenceaux voulant s’émanciper. J’adore Carnero, car c’est un contre-emploi pour moi.»
«Le personnage de Barinkay est imposant avec tout ce que je dois communiquer sur scène, de souligner Ruben Shaym Brutus. Musicalement, tous les registres sont exploités avec des airs facilement reconnaissables pour les gens.»
«Ma bohémienne gentille et introvertie va se transformer en défenderesse des valeurs humanistes de son peuple, d’ajouter Audrey Larose-Zicat. J’adore l’humour franc et direct de ce livret, sans compter la musique puissante où l’on reconnaît le style de Strauss avec la valse viennoise qui revient souvent sous toutes ses couleurs.»
Frédérique Drolet (Arséna), Éric Thériault (Zsupan), Rachèle Tremblay (Czipra), Arminè Kassabian (Mirabella), Guillaume Beaudoin (Ottokar) et Dominic Lorange (Homonay) complètent la distribution, aux côtés d’un chœur de 30 personnes et un orchestre de 12 musiciens entourant le pianiste Giancarlo Scalia.
L’Opéra Bouffe du Québec présente «Le Baron Tzigane», de Johann Strauss jr, mise en scène d’Yvon Bilodeau, les 10, 11 et 17 novembre, à 20h, ainsi que les 12, 18 et 19 novembre, à 15h, à la Maison des arts de Laval (1395, boulevard de la Concorde Ouest). Information: 450 667-2040.