Dûment autorisé par le Directeur général des élections du Québec depuis le 21 juin, ce parti politique codirigé par le conseiller municipal Alain Lecompte et Cynthia Leblanc n’a que trois candidats confirmés, incluant les co-chefs.
Malgré tout, ceux-ci ont toujours l’intention de présenter des candidats dans les 21 districts électoraux de l’île Jésus. «On essaie très fort, affirme M. Lecompte. Mais même si ça ne se réalise pas, ça ne change rien à notre programme.»
Fini les suiveux
L’Alliance, qui assure l’indépendance d’esprit et de vote à ces futurs candidats et conseillers, veut en finir une fois pour toute avec les lignes de parti qu’il juge antidémocratiques.
«On n’en veut plus des suiveux», lance Alain Lecompte, qui souhaite que les élus votent en leur âme et conscience et non plus comme leur chef.
Si l’Alliance est portée au pouvoir, les élus «reprendront leur rôle de porteur de ballon» dans leur district respectif. Les codirigeants s’engagent à mettre en place un comité plénier qui siégerait chaque semaine et où les conseillers pourraient débattre d’idées et aborder différentes problématiques.
Sous une administration Lecompte-Leblanc, afin de résoudre plus efficacement les problèmes soulevés dans les quartiers, les fonctionnaires et directeurs de services municipaux auraient l’obligation de rencontrer les élus à leur demande. «L’opinion du conseiller prévaudra s’il n’a pas été convaincu», peut-on lire sur le site Web du parti.
La hache dans les comités
L’Alliance abolirait une soixantaine de comités municipaux qu’elle juge inefficaces. Ce grand ménage, qui ferait passer ces comités de 78 à moins de 20, permettrait notamment de libérer les fonctionnaires et les élus qui y siègent, fait-on valoir.
Quant aux comités qui survivraient, on reverrait leur composition. «Des gens d’affaires ne devraient certainement pas être sur le comité centre-ville», estime par exemple Alain Lecompte.
Taxes et référendum
Dénonçant les récentes hausses de taxes, M. Lecompte et Mme Leblanc prévoient la mise en place d’un forum sur la fiscalité qui réunirait un groupe d’experts chargé de revoir les règles fiscales. Le mandat: trouver quelques pistes pour réduire le fardeau fiscal des familles et des gens d’affaires. «Les commerces étouffent: 2,8 % en 2017, c’est énorme», déplore M. Lecompte.
Par ailleurs, M. Lecompte assure qu’il maintiendrait les référendums sur le territoire, et ce, même si la Loi 122 a aboli le droit des citoyens au processus référendaire en matière de zonage.
Mieux encore, il soumettrait à un référendum tous les grands projets, tels la Grande Bibliothèque et le Centre de création artistique qu’il chiffre respectivement à 27,5 et 19,1 M$.
Dûment autorisé par le Directeur général des élections du Québec depuis le 21 juin, ce parti politique codirigé par le conseiller municipal Alain Lecompte et Cynthia Leblanc n’a que trois candidats confirmés, incluant les co-chefs.
Malgré tout, ceux-ci ont toujours l’intention de présenter des candidats dans les 21 districts électoraux de l’île Jésus. «On essaie très fort, affirme M. Lecompte. Mais même si ça ne se réalise pas, ça ne change rien à notre programme.»
Fini les suiveux
L’Alliance, qui assure l’indépendance d’esprit et de vote à ces futurs candidats et conseillers, veut en finir une fois pour toute avec les lignes de parti qu’il juge antidémocratiques.
«On n’en veut plus des suiveux», lance Alain Lecompte, qui souhaite que les élus votent en leur âme et conscience et non plus comme leur chef.
Si l’Alliance est portée au pouvoir, les élus «reprendront leur rôle de porteur de ballon» dans leur district respectif. Les codirigeants s’engagent à mettre en place un comité plénier qui siégerait chaque semaine et où les conseillers pourraient débattre d’idées et aborder différentes problématiques.
Sous une administration Lecompte-Leblanc, afin de résoudre plus efficacement les problèmes soulevés dans les quartiers, les fonctionnaires et directeurs de services municipaux auraient l’obligation de rencontrer les élus à leur demande. «L’opinion du conseiller prévaudra s’il n’a pas été convaincu», peut-on lire sur le site Web du parti.
La hache dans les comités
L’Alliance abolirait une soixantaine de comités municipaux qu’elle juge inefficaces. Ce grand ménage, qui ferait passer ces comités de 78 à moins de 20, permettrait notamment de libérer les fonctionnaires et les élus qui y siègent, fait-on valoir.
Quant aux comités qui survivraient, on reverrait leur composition. «Des gens d’affaires ne devraient certainement pas être sur le comité centre-ville», estime par exemple Alain Lecompte.
Taxes et référendum
Dénonçant les récentes hausses de taxes, M. Lecompte et Mme Leblanc prévoient la mise en place d’un forum sur la fiscalité qui réunirait un groupe d’experts chargé de revoir les règles fiscales. Le mandat: trouver quelques pistes pour réduire le fardeau fiscal des familles et des gens d’affaires. «Les commerces étouffent: 2,8 % en 2017, c’est énorme», déplore M. Lecompte.
Par ailleurs, M. Lecompte assure qu’il maintiendrait les référendums sur le territoire, et ce, même si la Loi 122 a aboli le droit des citoyens au processus référendaire en matière de zonage.
Mieux encore, il soumettrait à un référendum tous les grands projets, tels la Grande Bibliothèque et le Centre de création artistique qu’il chiffre respectivement à 27,5 et 19,1 M$.