«Les Lavallois habitent beaucoup de résidences extérieures, il y a peu d’immeubles à logements, ce qui vient influencer le nombre de déménagements et, donc, le nombre potentiel d’animaux abandonnés après ceux-ci», d’affirmer Pierre Couture, président et porte-parole du Berger Blanc.
La situation est à mille lieux que celle décriée par la SPA de Montréal qui a récemment dû secourir 751 animaux en 10 jours.
Sur l’île Jésus, d’avril à juin, en trois mois, le Berger Blanc a recueilli 935 animaux errants ou abandonnés. Ce nombre serait comparable aux années passées.
«Il faut dire que la nouvelle stratégie de Ville de Laval, soit de pouvoir refuser un animal en santé à des fins d’euthanasie, incite les gens à le conserver ou l’offrir en adoption», d’ajouter Pierre Couture.