Les enquêteurs n’ont pris que deux semaines avant d’intervenir, craignant les risques d’incendie et de moisissure.
«Souvent, les gens qui installent une plantation trafiquent la boîte électrique, ce qui augmente les chances d’incendie, observe Franco Di Genova, du Service de la police de Laval. Également, des concurrents sur le marché de la drogue peuvent être tentés d’utiliser des armes comme des cocktails Molotov.»
Quasi bredouille
Sur place, les policiers n’ont trouvé qu’un peu d’équipement servant à une telle plantation. La forte odeur de cannabis encore présente sur les lieux laisse croire que les plants ont été coupés récemment, une fois rendus à pleine maturité.
Les enquêteurs poursuivent leurs recherches pour trouver la ou les personnes ayant contracté les baux de ces deux logements et s’il s’agit de sous-location ou non.