Cette mesure rehaussera les services de psychologie destinés aux jeunes en difficulté.
Parmi les objectifs principaux, on vise à diminuer de nombreux délais pour l’accès notamment à une évaluation psychologique pour la clientèle jeunesse, à un premier service de suivi psychologique, ainsi qu’à augmenter le taux de prise en charge des jeunes bénéficiant de ces services et contribuer au respect des ordonnances émises par la Cour du Québec – Chambre de la jeunesse pour les évaluations et suivis ordonnés en protection de la jeunesse.
On veut également contribuer au respect du standard ministériel pour le traitement des demandes d’expertises psychosociales de la Cour supérieure en matière de garde d’enfant et permettre le développement de mesures compensatoires ou facilitantes afin d’assurer l’accès à des services psychologiques jeunesse.
L’annonce officielle a été faite le 29 novembre par la voix du ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, ainsi que par la ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux Saines habitudes de vie, Lucie Charlebois.
«Cet investissement démontre l’importance que nous accordons aux enjeux de santé mentale», a ajouté la députée du comté de Mille-Îles et ministre responsable de la Lutte contre l’intimidation, Francine Charbonneau.
Cette mesure rehaussera les services de psychologie destinés aux jeunes en difficulté.
Parmi les objectifs principaux, on vise à diminuer de nombreux délais pour l’accès notamment à une évaluation psychologique pour la clientèle jeunesse, à un premier service de suivi psychologique, ainsi qu’à augmenter le taux de prise en charge des jeunes bénéficiant de ces services et contribuer au respect des ordonnances émises par la Cour du Québec – Chambre de la jeunesse pour les évaluations et suivis ordonnés en protection de la jeunesse.
On veut également contribuer au respect du standard ministériel pour le traitement des demandes d’expertises psychosociales de la Cour supérieure en matière de garde d’enfant et permettre le développement de mesures compensatoires ou facilitantes afin d’assurer l’accès à des services psychologiques jeunesse.
L’annonce officielle a été faite le 29 novembre par la voix du ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, ainsi que par la ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux Saines habitudes de vie, Lucie Charlebois.
«Cet investissement démontre l’importance que nous accordons aux enjeux de santé mentale», a ajouté la députée du comté de Mille-Îles et ministre responsable de la Lutte contre l’intimidation, Francine Charbonneau.