En gestation depuis deux ans, ce projet initié par son président Georges Tanous est devenu réalité avec la participation du gouvernement du Québec qui allonge 1,6 M$ puisés à même le Programme de soutien à la réalisation de projets de démonstration de taxis électriques, qui a pris fin le 31 mars.
L’annonce en a été faite le 22 mai par la ministre régionale Francine Charbonneau devant le quartier général de la coopérative bordant le boulevard Saint-Martin ouest, à Chomedey.
«Nous voulons faire du Québec un leader nord-américain de la mobilité durable», a rappelé la ministre tout en saluant l’initiative de l’équipe de M. Tanous.
Mme Charbonneau a appuyé sur le plan d’électrification des transports de 420 M$ visant à mettre sur la route 100 000 véhicules électrique d’ici la fin 2020.
La contribution gouvernementale est égale à la somme investie par la Coop des propriétaires de taxi de Laval dans ce projet qui totalisera 3,4 M$
La Ville contribue
Également présent au point de presse, le maire Marc Demers a annoncé l’octroi d’une première enveloppe de 112 000 $, soit l’équivalent de 4000 $ à l’achat de chacun des 28 véhicules électriques.
«Cette subvention sera octroyée à partir de la réserve du programme de compensation des gaz à effet de serre, dont les fonds proviennent d’une tarification spécifique imposée aux promoteurs», a indiqué le maire.
Par ailleurs, la Ville assumera 50 % du coût de l’infrastructure de recharge, et ce, jusqu’à concurrence de 300 000 $. Le projet comprend le déploiement à travers l’ensemble du territoire d’une trentaine de bornes de recharge. La moitié d’entre elles sera accessible au public.
Cette implantation, qui devrait être complétée en octobre prochain, est la première de deux étapes de ce projet qui s’étendra sur une période de trois ans.
Étude
La seconde phase du projet consistera à évaluer des véhicules en conditions réelles d’utilisation. Cette évaluation s’effectuera à compter du mois d’octobre prochain et se poursuivra jusqu’à l’automne 2021.
Aux fins de l’exercice, les voitures seront équipées d’un système de collecte de données et l’évaluation portera sur la performance des véhicules et de l’infrastructure de recharge, leur rentabilité financière de même que sur la satisfaction de la clientèle et des chauffeurs.
«Un tel projet va nous permettre de mieux comprendre les conditions réelles d’utilisation de voitures électriques et de nous adapter en conséquence, a fait valoir M. Tanous. C’est le cas notamment du transport adapté qui représente un important défi sur le niveau résiduel d’autonomie de la batterie de ces véhicules.»
En gestation depuis deux ans, ce projet initié par son président Georges Tanous est devenu réalité avec la participation du gouvernement du Québec qui allonge 1,6 M$ puisés à même le Programme de soutien à la réalisation de projets de démonstration de taxis électriques, qui a pris fin le 31 mars.
Dans l’ordre habituel, on reconnaît Georges Tanous, président de la Coop des propriétaires de taxi de Laval, la ministre régionale Francine Charbonneau et le maire Marc Demers. ©Photo – Photo 2M.Media – Mario Beauregard
L’annonce en a été faite le 22 mai par la ministre régionale Francine Charbonneau devant le quartier général de la coopérative bordant le boulevard Saint-Martin ouest, à Chomedey.
«Nous voulons faire du Québec un leader nord-américain de la mobilité durable», a rappelé la ministre tout en saluant l’initiative de l’équipe de M. Tanous.
Georges Tanous, président de la Coop des propriétaires de taxi de Laval. ©Photo – Photo 2M.Media – Mario Beauregard
Mme Charbonneau a appuyé sur le plan d’électrification des transports de 420 M$ visant à mettre sur la route 100 000 véhicules électrique d’ici la fin 2020.
La contribution gouvernementale est égale à la somme investie par la Coop des propriétaires de taxi de Laval dans ce projet qui totalisera 3,4 M$
La Ville contribue
Également présent au point de presse, le maire Marc Demers a annoncé l’octroi d’une première enveloppe de 112 000 $, soit l’équivalent de 4000 $ à l’achat de chacun des 28 véhicules électriques.
«Cette subvention sera octroyée à partir de la réserve du programme de compensation des gaz à effet de serre, dont les fonds proviennent d’une tarification spécifique imposée aux promoteurs», a indiqué le maire.
Par ailleurs, la Ville assumera 50 % du coût de l’infrastructure de recharge, et ce, jusqu’à concurrence de 300 000 $. Le projet comprend le déploiement à travers l’ensemble du territoire d’une trentaine de bornes de recharge. La moitié d’entre elles sera accessible au public.
Cette implantation, qui devrait être complétée en octobre prochain, est la première de deux étapes de ce projet qui s’étendra sur une période de trois ans.
Étude
La seconde phase du projet consistera à évaluer des véhicules en conditions réelles d’utilisation. Cette évaluation s’effectuera à compter du mois d’octobre prochain et se poursuivra jusqu’à l’automne 2021.
Aux fins de l’exercice, les voitures seront équipées d’un système de collecte de données et l’évaluation portera sur la performance des véhicules et de l’infrastructure de recharge, leur rentabilité financière de même que sur la satisfaction de la clientèle et des chauffeurs.
«Un tel projet va nous permettre de mieux comprendre les conditions réelles d’utilisation de voitures électriques et de nous adapter en conséquence, a fait valoir M. Tanous. C’est le cas notamment du transport adapté qui représente un important défi sur le niveau résiduel d’autonomie de la batterie de ces véhicules.»