«Il faut toujours être prêt, lance d’entrée de jeu le jeune gardien de but. On ne sait jamais quand on pourra avoir besoin de moi.»
Avec la blessure à Charlie Lindgren lors de la période d’échauffement le 25 septembre avant le match face aux Maple Leafs de Toronto, Fucale pourrait peut-être voir un peu d’action avec la troupe de Claude Julien dès demain face à ces mêmes Leafs. «Je ne sais pas si je jouerai bientôt. Je viens de l’apprendre. Ça se déroule vite dans le monde du hockey.»
Une autre bonne nouvelle est qu’il n’aura pas à se taper trois heures d’avion pour se rendre à Montréal, comme par le passé alors que le club-école évoluait à Terre-Neuve.
«À chaque fois que je serai sur la glace lors des parties ou des pratiques, je vois cela comme une opportunité de démontrer ce que je peux faire. Je vais travailler fort pour réussir.»
Un bon camp
Fucale admet avoir reçu de bonnes notes de la direction du Canadien lors de sa participation au camp d’entraînement. «J’aime la manière dont le camp s’est déroulé. J’ai eu de bons mots de la part de Stéphane Waite, entraîneur des gardiens.»
L’émergence de Charlie Lindgren, acquis à titre de joueur universitaire autonome, de même que l’acquisition du vétéran Yann Danis, par le biais du marché des joueurs autonomes, lui a coûté une place avec le club-école du Tricolore, l’an dernier. Cette année, il veut faire partie de l’aventure du Rocket et mériter un des deux postes.
Prêt pour le Rocket
Fucale croit que les deux dernières saisons lui auront permis de devenir un meilleur gardien. «J’ai travaillé fort durant l’été et je me sens plus gros devant le but. J’ai appris des leçons. J’ai fait un saut énorme mentalement et physiquement par rapport à la dernière campagne.»
Fucale sait qu’il doit connaître une grosse saison avec le Rocket puisqu’il écoule la dernière année de son contrat. «Je me sens prêt à faire face à la musique et j’ai bien hâte que la rondelle touche la glace.»
Jouer à la maison
Natif de Laval, Fucale a disputé plusieurs parties dans les arénas de la ville, mais n’a jamais joué au hockey mineur lavallois. «J’habite Rosemère et je trouve cela très plaisant de me retrouver à deux pas de chez moi. Ça va faire changement, moi qui a évolué à Halifax et Terre-Neuve.»
Fucale croit que l’environnement de la Place Bell fait en sorte que les joueurs ont tous les outils pour performer au plus haut niveau. «Toutefois, on doit travailler encore plus fort et ne pas tenir cela pour acquis.»
Match d’ouverture
Comme tous les gardiens présents au camp de préparation du Rocket, Zachary Fucale aimerait être devant le filet le vendredi 6 octobre au match inaugural du club-école du Tricolore. Il fera la lutte à Michael McNiven, Patrick Spano et Charlie Lindgren pour dénicher un des deux postes. Lindgren semble avoir une longueur d’avance.
«Il faut toujours être prêt, lance d’entrée de jeu le jeune gardien de but. On ne sait jamais quand on pourra avoir besoin de moi.»
Avec la blessure à Charlie Lindgren lors de la période d’échauffement le 25 septembre avant le match face aux Maple Leafs de Toronto, Fucale pourrait peut-être voir un peu d’action avec la troupe de Claude Julien dès demain face à ces mêmes Leafs. «Je ne sais pas si je jouerai bientôt. Je viens de l’apprendre. Ça se déroule vite dans le monde du hockey.»
Une autre bonne nouvelle est qu’il n’aura pas à se taper trois heures d’avion pour se rendre à Montréal, comme par le passé alors que le club-école évoluait à Terre-Neuve.
«À chaque fois que je serai sur la glace lors des parties ou des pratiques, je vois cela comme une opportunité de démontrer ce que je peux faire. Je vais travailler fort pour réussir.»
Un bon camp
Fucale admet avoir reçu de bonnes notes de la direction du Canadien lors de sa participation au camp d’entraînement. «J’aime la manière dont le camp s’est déroulé. J’ai eu de bons mots de la part de Stéphane Waite, entraîneur des gardiens.»
L’émergence de Charlie Lindgren, acquis à titre de joueur universitaire autonome, de même que l’acquisition du vétéran Yann Danis, par le biais du marché des joueurs autonomes, lui a coûté une place avec le club-école du Tricolore, l’an dernier. Cette année, il veut faire partie de l’aventure du Rocket et mériter un des deux postes.
Prêt pour le Rocket
Fucale croit que les deux dernières saisons lui auront permis de devenir un meilleur gardien. «J’ai travaillé fort durant l’été et je me sens plus gros devant le but. J’ai appris des leçons. J’ai fait un saut énorme mentalement et physiquement par rapport à la dernière campagne.»
Fucale sait qu’il doit connaître une grosse saison avec le Rocket puisqu’il écoule la dernière année de son contrat. «Je me sens prêt à faire face à la musique et j’ai bien hâte que la rondelle touche la glace.»
Jouer à la maison
Natif de Laval, Fucale a disputé plusieurs parties dans les arénas de la ville, mais n’a jamais joué au hockey mineur lavallois. «J’habite Rosemère et je trouve cela très plaisant de me retrouver à deux pas de chez moi. Ça va faire changement, moi qui a évolué à Halifax et Terre-Neuve.»
Fucale croit que l’environnement de la Place Bell fait en sorte que les joueurs ont tous les outils pour performer au plus haut niveau. «Toutefois, on doit travailler encore plus fort et ne pas tenir cela pour acquis.»
Match d’ouverture
Comme tous les gardiens présents au camp de préparation du Rocket, Zachary Fucale aimerait être devant le filet le vendredi 6 octobre au match inaugural du club-école du Tricolore. Il fera la lutte à Michael McNiven, Patrick Spano et Charlie Lindgren pour dénicher un des deux postes. Lindgren semble avoir une longueur d’avance.